
Les Momies au cinéma
Amours impossibles, châtiments atroces et malédictions, vengeances cruelles, mélange entre érotisme et mort composent les trames de ces récits macabres, qui font frémir pour leur plus grand plaisir des générations de spectateurs.

En 1932, Karl Freund met en scène la première Momie d’Universal Pictures. Incarnée par Boris Karloff, dans la veine des films de monstres comme Dracula ou Frankenstein, cette momie présente un visage directement inspiré par la tête de Séthi Ier.
Universal Pictures produit encore cinq autres films entre 1940 et 1955 : La Main de la momie (The Mummy’s Hand) ; La Tombe de la momie (The Mummy’s Tomb) ; Le Fantôme de la momie (The Mummy’s Ghost) ; La Malédiction de la momie (The Mummy’s Curse) ; Deux Nigauds et la momie (Abbott and Costello meet the Mummy).
Le producteur britannique Hammer Film suit la tendance et produit de son côté quatre films de 1959 à 1971. Le dernier d’entre eux, La Momie sanglante (Blood from the Mummy’s Tomb), fut remarqué.
En 1999, Universal Pictures relance le genre, avec La Momie, une adaptation du film de 1932, réalisée par Stephen Sommers. Fort de son succès il réitéra l'exercice en 2001avec Le Retour de la momie.

Les intrigues – avec peu d’originalité – tournent autour de trois thèmes principaux : un amour interdit entre l’épouse du pharaon et son amant comme dans Le Retour de la momie ; un coupable embaumé vivant et enfermé dans un cercueil, parfois avec des scarabées à l’intérieur ; une vengeance atroce d’un cadavre revenu à la vie.
Les films de momies sont généralement considérés comme mauvais par la critique.
Ce qui ne nous empêche pas de remarquer à quel point les pratiques funéraires des anciens Égyptiens ont donné naissance à d’étonnants fantasmes macabres, pourvoyeurs d’obscurs frissons et de trames alambiquées.
Et maintenant une série d'affiches avant de passer à l'énigme



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