Ce n'est pas moins de trente établissements qui existaient dans la commune au moment de l'acmée de cette activité en 1920.
Le processus de production comprenait plusieurs étapes, tout d'abord il fallait recevoir la marchandise d'outre-mer (qui avait déjà été salé sur place) ensuite on devait la laver puis la faire sécher. Cela impliquait une forte emprise foncière et un besoin important de main d'oeuvre.
L'activité a définitivement cessé au milieu des années 1970 et il ne demeure plus que quelques reliques de-ci de-là.
Jean G. loua tout d'abord cette propriété au 159 dans le cadre d'un bail de métayage. Une partie de celle-ci devait être dédiée à la culture du seigle dont la récolte devait revenir au propriétaire.
Un autre secteur était dédié à un verger et à la vigne.
A part cette zone de polyculture, jean disposa du reste afin d'y installer son activité de sècherie.
En 1846 fortune faite, il racheta le bien et fit agrandir la demeure, lui donna un toit en ardoise signe de réussite et garda les tuiles creuses pour les bâtiments d'exploitation.
Par la suite le domaine ne fut pas démembré et fut agrémenté d'un parc à la place de la zone de production. Aujourd'hui il est désormais dédié à un institut de formation.
Donner avec Certitude le patronyme de Jean en un mot il faudra.
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certitude.
Cornelius47