Le chant grégorien « Dies irae »,
« jour de colère »,
se retrouve dans d’innombrables formes de la culture moderne
Si le message du Dies Irae
existe sous plusieurs formes depuis le VIe siècle,
le chant tel que nous le connaissons aujourd’hui
est intégré au corpus grégorien dès le XIIIe siècle.
Chanté pour la messe des défunts,
les premières notes du Dies Irae
sont encore aujourd’hui associées à la mort.
Alors que le Requiem passe progressivement
de l'église à la salle de concert lors du XVIIIe siècle,
le Dies Irae résonne par son texte ou son thème
à travers les œuvres de compositeurs
tels que Lully, Charpentier, Mozart ou Verdi.
Ce n’est qu’en 1830,
en accompagnement strictement musical
de l’orgie diabolique dans la cinquième partie de
la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz,
que le célèbre thème du Dies Irae
est finalement libéré de ses connotations religieuses.
Dès ce moment, nombreux sont les compositeurs qui,
font appel au Dies Irae
pour illustrer la mort, le désespoir, le surnaturel ou le macabre.
Pour trouver cette cache, il faudra répondre aux questions suivantes. Au point de référence, il vous faut relever les informations chiffées figurant sur le poste de transformation Botanic. Soit ABC les trois premiers chiffres ; soit DEF les trois derniers.
La cache est aux coordonnées suivantes :
N 47° 46.[A][C-D][D-E] W 003° 23.[F][F-A][E]
(Vérification N=9 et W=7)
Soyez discret !