C’est en 1681 qu’apparaît pour la première fois le terme « long-cours ». Selon le livre troisième, titre VI, article LIX de l’Ordonnance de Louis XIV touchant la Marine, parue au mois d’août 1681 :
« Les voyages de France en Moſcovie, Groenland, Canada aux Bancs & Iſles de Terre neuve, & autres coſtes & Iſles de l’Amerique, au Cap-vert, coſtes de Guinée ; Et tous autres qui ſe feront au delà du Tropique, ſeront reputez voyages de Long-cours. » (« reputez », tel que dans le texte).
Une définition avait bien été donnée à ce terme en 1673 dans un règlement concernant les droits et vacations des officiers de l’amirauté, mais elle était moins nette et moins précise.
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Par la loi du 14 juin 1854, les énumérations de destinations de l’Ancien Régime, et reprises dans le code du commerce de 1807, sont remplacées par la définition d’une zone limitée par les méridiens et les parallèles :
« Sont réputés voyages au long-cours ceux qui se font au-delà des limites ci-après déterminées : au sud, le 30e degré de la latitude nord ; au nord, le 72e degré de latitude nord ; à l’ouest, le 15e degré de longitude du méridien de Paris ; à l’est, le 44e degré de longitude du méridien de Paris. »
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Au cours du XIXe siècle, un bateau pratiquant une navigation au long-cours est désigné par le mot « long-courrier ». Plus tôt, on employait le terme de « courrier » pour désigner les véhicules qui transportaient les dépêches de la poste.
De nos jours, le terme « long-courrier » est utilisé pour qualifier les vols lointains. Il n’existe pas vraiment une définition pour ce terme et chacun (compagnie aérienne, guide de voyage, voyagiste, etc.) y va de sa compétence. Cependant, une explication est donnée par l’ICAO (International Civil Aviation Organization) pour un avion de type long-courrier. Il s’agit d’un avion pouvant parcourir une distance supérieure à 3 000 milles marins (ou nautiques), soit 5 536 km. Il perdure donc tout de même une référence nautique. 1 mille marin = 1 852 mètres.
Avec l’évolution des conditions de mise au point d’une cache de type défi/challenge, il n’est plus possible de faire référence à une zone délimitée par un/des méridien/s et/ou un/des parallèle/s, et c’est bien dommage car nous aurions demandé qu’un joueur ait trouvé x caches au-delà du quadrilatère délimité par les latitudes et longitudes mentionnées précédemment.
À la place, et pour valider ce défi/challenge, vous devrez avoir parcouru au moins 100 000 nautiques, soit 185 200 km de cache à cache.
La cache se trouve aux coordonnées indiquées.
Ci-dessous, un vérificateur de Challenge Project-GC à utiliser afin de tester votre éligibilité.
Ceux qui ne sont pas éligibles peuvent toujours inscrire leur pseudonyme sur le journal de bord. Ils pourront inscrire « Trouvée » sur le site, lorsque la condition sera atteinte. Le PàT (Premier à Trouver ou FTF, en bon français) sera accordé à celui qui sera le premier inscrit avec la condition validée.
Naturellement, avec 131 580 nautiques parcourus, soit 243 687 km, nous validons nous-mêmes ce défi/challenge.
Veillez à ce que la zone des commentaires ne devienne pas un forum de discussions. Merci.
D'ici vous aurez une très belle vue.
