Rien de mieux qu’un appareil photo pour immortaliser votre passage à Cosne sur Loire. Mais les détails sont parfois cachés et les clichés de cette multi ne sont pas forcément vus par les visiteurs de la cité. Alors regardez bien et notez les références trouvées grâce aux images numérotées.
A = WP1(coordonnées du départ) , B = WP2 , E = WP3 , F = WP4 , G = WP5 , H WP6 , I = WP7 , J = WP8 , K = WP9 , D = WP10 , M = WP11 , N = WP12 , O = WP13 , L = WP14 , C= WP15
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Mais avant, un petit résumé des choses à voir dans la ville de Cosne Cours sur Loire.
Le Cinéma Éden de Cosne-Cours-sur-Loire est situé au 2 Rue Saint-Agnan, 58200 Cosne-Cours-sur-Loire. La ville de Cosne Cours sur Loire a gardé un cinéma datant de 1929, le Cinéma Éden, son bâtiment est construit en 1913, sur la rue de Saint Agnan.
Il est inscrit à l’inventaire Supplémentaire des monuments Historiques en 1999. Sa façade est datée de 1929, avec son fronton de style Art Déco, semi circulaire est réalisé en émaux de Briare, et en émaux de Venise pour le tympan, c’est une création architecturale des années 30.
Le Nohain coule le long de sa façade au nord.
La façade de 1934 est réalisée par Roger Charton en style Art déco.
Le Cinéma Éden de Cosne Cours sur Loire a été racheté par la municipalité en 1988. Il possède deux salles de projection, numérisées.
Le Pont de Cosne-Cours sur Loire, c’est en 1833, que les rives nivernaises et berrichonnes de la Loire furent reliées par un pont situé a Cosne Cours sur Loire. Avant cette date, le fleuve se franchissait par de nombreux bacs.
Le premier pont en béton construit par l’Entreprise Chritiani et Nielsen en 1928 qui fut bombardé, ce grand pont fut détruit par des bombardements en 1940 et, il fallut le remplacer par plusieurs passerelles provisoires de 1940 à 1960. Le Pont, dis le nouveau « pont » est inauguré le 7 juin 1959. il est Bâti par l’entreprise Beaudin de Châteauneuf, cette entreprise est à l’origine du Pont du Maréchal Joffre à Orléans et du Pont Charles de Gaulle à Paris. Le pont suspendu, fait le lien entre la ville de Cosne Cours sur Loire et le département du Cher. Le pont est suspendu, c’est un pont-route. Principalement édifié en acier.
Le pont suspendu est le petit frère du pont de Tancarville, il traverse la Loire à Cosne, c’est un élément incontournable du paysage de la ville, il est même devenu un symbole identitaire largement repris dans les publications, affiches et cartes postales.
Le Château de Cosne Cours sur Loire, le Donjon de l’ancien château fort qui protégeait la ville au Moyen âge est daté du début du XIIIe siècle. Dès 259, il est attesté de la présence de deux pouvoirs qui se disputent les terres, l’Echevêché d’Auxerre, et le seigneur Laïc possesseur du Château, le baron de Donzy, le suzerain de l’époque, le comte de Nevers.
Le château est construit dès le Ve siècle, il est ensuite renforcé au IXe siècle par la tour Fraicte (traduction littérale de la dénomination latine Turris Fracta, soit tour brisé sa mission surveiller la Loire).
L’enceinte du Château fort de Cosne Cours sur Loire est construite au XIIe siècle. Les ruines du château sont Inscrites par arrêté du 25 octobre 1971 aux Monuments Historiques. Au XIIe siècle,
la ville de Cosne est assiégée à plusieurs reprises par Hugues le Manceau, en guerre contre l’évêque d’Auxerre et le comte de Nevers.
Le quai a été construit avec les pierres de la tour froide, (La tour était à 9 ou 12 mètres de la Loire). Le Quai s’étend du pont sur la Loire à l’extrémité de la place de la Pêcherie.
La partie du quai située en amont a été édifiée en 1751 par Babaud de la Chaussade pour le service des forges. Les vestiges du château médiéval sont situés Rue Alphonse Baudin, entièrement reconstruit au XIIIe siècle sur plan octogonal il possédait des murailles, 4 tours rondes et 2 tours carrées, l’ensemble est abaissé sur ordre de Richelieu en 1640, à l’exception du donjon porche doté d’un arc gothique visible depuis la rue Duguet.
En 1860, le Château fut partiellement démoli pour permettre la construction d’une prison elle est désaffectée en 1929. Actuellement les bâtiments encore présents abritent des salles de réunion et la cour sert de parking.
Les anciennes forges de Pierre Babaud de la Chaussade (1706-1792), il fonda en 1735, les Forges de La Chaussade qui devinrent par la suite les Forges Royales de La Chaussade où étaient fabriqués des ancres, des canons, des mousquets, des clous, et d’autres accessoires pour la Marine Royale.
La production était acheminée par la Loire qui était un fleuve navigable à cette époque. En 1781 elles deviennent la propriété du roi. À partir de 1860, les forges commencèrent à péricliter avec l’arrivée du chemin de fer qui remplaça peu à peu les voies navigables de France.
Les forges fermèrent définitivement en 1872, les ateliers en déclin sont alors rattachés aux forges de Guérigny. Aujourd’hui, il ne reste que la « grille d’entrée des anciennes Forges Royales de La Chaussade (fin du XVIIe siècle) avec une plaque où est écrit un extrait d’une lettre de Madame de Sévigné qui a visité les lieux le 30 septembre 1673.
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Pour trouver la cache finale, remplacer les lettres pour le numéro correspondant sur la photo.
N 47. 2 M+A . B-N C+J D+O
E 2 . 5 E-I . F+K G-L H-O
