Il n'y a pas un jour sans qu'un joueur ne me demande quand je mets en ligne une nouvelle énigme, et bien voilà c'est chose faite.
Les coordonnées trouvées seront affinées dans le checker, il est donc impératif de checker.
Dans un jardin, un petit blond joue au ballon, une vieille sans argent semble passer des nuits, voir des jours sans sommeil. Sur le pont au sol traine un gland, un bouchon de liège et des chaussures sales.
Une belle fontaine trone au milieu de la place, la fontaine est alimentée par des vannes, le sens des tours est indiqué dessus. Le bar d'en face avec sa façade en chaux et son chaudron en enseigne est noir de monde. J'en profite pour goûter aux délices de la patisserie, quel plaisir, c'est de l'art.
Les ventes de rosiers sont en chute libre, ce n'est plus la fête, une dernière ramasse, la fin de la cagnotte, la touche finale et il faudra trouver une autre corde à son arc.
Un héron velu se promène dans le marais en quête d'herbe grasse, quel port, quel orgueil. Sur l'aire de repos, un belvédere avec vue sur les champs de buis, le manoir, la tour et la chaudière orange. Il est en deuil, la force et la folie des jeux, ont sonné le glas des bonnes résolutions.
Le déluge vient de s'abattre sur la forteresse, le donjon contrôlant le grand val et la montagne, abrite dans la salle le mage à la verrue. Cette histoire nous est racontée dans les romans de la table ronde. Un hérisson tente de pénétrer dans le potager bio en passant à travers les lilas.
Devant le syndicat, la chaussée est déformée par les lourdes charges transportées en provenance des moulins de la lande. Le puits possède un arceau tirant sur le blanc.
Mon union joyeuse avec ce camarade qui aime le piano et la flute à bec. Ils sont venus des étables et des landes pour lui donner un tonnerre d'applaudissment.
Le château, la forêt, un champ, les roches aux couleurs vives, mais rien n'enlèvera la tâche au coin de mon cerveau, cette série de viols qui m'enmèneront dans la tombe. Le lion et la couleuvre, une bonne fable oubliée sur l'abondance et le sort des faux jumeaux.
Quarante noeuds de vent, la flèche de la girouette sur la fontaine, provient des forges de la plaine. Dans le salon, des bergères au poil couleur citron, sur le mur, un tableau représente le mont mais tout semble faux.
Les clefs de l'étable ont été perdues par ce gars gras, il ne joue pas le jeu. Un homme vieux au menton dégarni se regarde dans le miroir. Par monts et par vaux, la grenade finira par exploser.
