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Saint-Amarin Maria Munsch 1898 - 1987
MEIN STÄDTCHEN
Ich weiss ein flottes Städtchen,
Mit vielen schönen Plätzchen,
Umgeben von Wald und Flur,
Wohin man nur schauen tut.
Man schätzt die Hügel dieser Gegend,
Die alle so schöne Aussicht geben,
Reich an Blumen, an saftiges Gras ;
Besucht manchmal von eineme Has’.
Gesundes Wasser, gute Luft,
Beschert uns den besten Duft.
Die Vöglein singen und zwitschern
In vielen Hecken und so manchen Ecken.
Das Vogelbächlein schlängelt sich hinab ins Tal,
Wo wir es bewundern von überall.
Ein Heiliger wanderte inst nach dem
Städtchen drin
Un gab ihm den Namen Sankt-Amarin.
MA PETITE VILLE J’ai connaissance d’une petite ville, Pleine de jolies endroits, Entourée de bois et de champs. Partout où l’on porte le regard. On apprécie le relief des collines environnantes Qui permettent de découvrir de belles vues Riches en fleurs et en herbe savoureuse, Souvent visitées par des lapins avares. Une eau claire et un air excellent Distribuent le meilleur arome. Les oiseaux chantent et gazouillent, Cachés dans les buissons et autres coins. Le petit Vogelbach serpente vers la vallée Où on l’admire de partout. Jadis un saint cheminait vers la petite ville Et lui donna le nom de Saint-Amarin.
Version française : Bernard Herrgott
UNSER TÀL VOR HUNDERT JOHR
Zwischen’m Hìrschebàcherkopf ùn d’r
Brandschlucht,
Zwei flotte Üssìchtspùnkte,
Do fìnd’ m’r fàscht àlle nötige Heilpflànze
Àwer oj noch wohlschmeckende Teekrittle.
Ùn wer se kenna lehrt
Brücht se nìt hole vù wit har.
Àwer Wiede, Farn ùnd Gìnschter
Fahle oj nìt mìnder. Holùnder,
Haagebùtte ùn àllerlei Beere
Kà’t m’r fer d’ G’sùndheit verzehre.
Dàs ìsch e Gottesgàb wù n`is schankt
ùnser Tàl.
Mìr sìn ùmgah’ vù Barg, Wàld ùn Flùr,
Àlles fer d’beschte ùn bìllige Kur.
Mìr sìn àlle schön zefriede,
D’rum sìn mìr oj ìn dr Heimet geblìewe
Mange wàndre jùng scho üs,
Kehre àwer no Johre wieder en’s Hüs ;
Denn do sìn se gebore,
Ùn wìsse d’rùm wù se àneg’here.
NOTRE VALLON IL Y A UN SIÈCLE Entre le Hirschbachkopf et la Brandschlucht, Deux remarquables points de vues, On y trouve presque toutes les plantes médicinales Mais aussi de savoureuses herbes pour tisanes. Et ceux qui apprennent à les connaitre N’ont pas besoin de les chercher ailleurs. Mais le saule, la fougère et le genêt Sont également présents. Le sureau, l’aubépine et autres baies Améliorent aussi la santé. Tout cela est un don divin que nous offre notre vallée. Montagnes, forêts et campagne nous entourent, Ce qui nous offre une cure de qualité à bon marché. Nous vivons tous, ici, de manière satisfaisante Et ne ressentons pas le besoin de partir. Certain, jeunes, par contre, quittent notre vallée, Mais adultes, ils reviennent au foyer. Parce que nés ici, Ils redécouvrent l’excellence de.leurs origines.
Version française : Bernard Herrgott