Le Chemin inondé
Vous vous trouvez à présent sur le Chemin Inondé. Vos affaires ont mis du temps à sécher et vous voyez ces grosses pierres, idéales pour vous installer et prendre un peu de répit et lire la suite de la description en profitant du calme de l’endroit et de la fraicheur des arbres ou d’un rayon de soleil réconfortant, cela dépend de l’heure.
Si vous décidez de vous asseoir un moment pour lire la suite, rendez-vous en 2.
Si vous souhaitez aller plus vite, vous êtes pressé et avez encore des caches à faire filez directement en 1
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La cache est un petit tube transparent dans le panneau que vous voyez ici. Vous la sortez discrètement de son logement, l’ouvrez sans vous casser un ongle. Tirez un dé, sur un 6 vous poussez le cri du géocacheur « Aïe ! », autrement tout se passe bien.
Ensuite, il faut faire sortir ce satané logbook de son conteneur. Là encore il faut avoir le coup de main et tapoter le tube sans l’abimer. Vous jetez un dé, sur un chiffre pair le logbook sort sans difficulté. Un chiffre impair vous oblige à perdre un peu de temps pour le sortir précautionneusement.
Une fois le logbook extrait du tube vous sortez de votre sac votre plus belle plume, votre encrier et y apposez votre paraphe ou un coup de tampon vite fait. Puis vous enroulez le parchebook et le reglissez dans sa boite que vous remettez en place vite fait. Vous n’avez pas que ça à faire, rappelons-le. Je trouve déjà étonnant que vous ayez lu jusque-là. Allez, filez ! Mais n’oubliez pas de loguer aussi sur l’appli, sapristi.
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Vous choisissez votre pierre pour poser votre séant et reposer vos gambettes. Tirez un dé. Sur un 1 ou un 2 c’est la pierre du milieu qui sera votre trône passager, sur les autres chiffres vous en choisirez une autre.
Confortablement posé, vous avez décidé de respirer un peu et de lire plus avant cette description longue comme un jour sans pain mais qui peut-être vous aidera à trouver le Graal, qui, je vous le rappelle, est l’objet de votre quête du moment. Rendez-vous en 6.
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Après avoir profondément inspiré, puis expiré trois ou quatre fois pour vous reconnecter au moment présent et vous recentrer sur l’essentiel, vous entamez donc la lecture de ce descriptif. (Ce que vous êtes déjà en train de faire en vrai mais pour l’histoire c’est mieux si vous commencez à découvrir la suite après avoir repris de l’air en pleine conscience posé sur ce Chemin Inondé). Donc, vous lisez ce descriptif, rendez-vous au début. Non, je plaisante, rendez-vous en 7.
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Les appels ne semblaient pas concerner Mamie, ils ont disparu et elle est encore là. Mais elle est sur le départ. Et se lève, vous l’aidez et elle vous souhaite une belle fin de journée et de prendre bien soin de vous. Vous lui rendez la pareille et heureux et réconfortés par cette rencontre vous décidez de vite loguer cette cache et de filer vous aussi, en 16, ou de vous assoir de nouveau pour finir cette histoire, en 5.
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Le titre de la cache, c’est le Chemin Inondé. Vous voyez et entendez le petit cours d’eau qui passe. Comment ce serpenteau peut ou a pu devenir un dragon avalant la vallée jusqu’à l’étang ? La nature est surprenante.
Mais plus encore, l’esprit humain. Car il ne s’agit point ici d’un cours d’eau débordant mais simplement de Pierre.
Pierre est ce gentil garçon que monsieur le maire envoya cartographier la commune afin qu’il ne traine plus dans ses pattes à la mairie. Depuis deux ans qu’il l’avait pris sous son aile à la mairie M. le Maire avait constaté les progrès réels et sérieux du jeune garçon, mais sa marge de progression était encore bien belle et même à ce rythme il n’envisageait pas de voir Pierre se faire respecter par ses administrés avant la fin de son mandat.
Pierre était un peu tête en l’air, lunaire, inadapté. En un autre temps, et encore aujourd’hui dans le dos du maire, on le traitait de simplet. Il connaissait son surnom et l’assumait parfaitement tant qu’on ne le bousculait pas.
La mission de Pierre avait donc été de parcourir la commune et ses autours, de noter tout ça sur un gros cahier et de rapporter son travail à la mairie pour ceux qui font les traits sur les cartes et les découpages pour les propriétés.
Il avait simplement noté « chemin inondé » à cet endroit et on avait repris cette appellation officiellement. Voilà donc le pourquoi du comment.
Ce qui est cocasse c’est que le technicien qui fit le panneau que vous voyez là a dans sa famille un Pierre, et que ceux qui en ont fait la pause aussi. Y’a des pierres partout me direz-vous, et vous n’avez pas tort.
Bon maintenant que vous savez tout et trop, allons chercher cette boite voulez-vous. En 16 !
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Un couple de jeunes damoiselles en survet’ fluo arrive par le petit chemin derrière vous. Vous vous redressez un peu en vous demandant si elles vont se demander ce que vous faites. Tirez un dé, de 1 à 3 elles passent sans vous regarder ni vous saluer (vous pouvez glisser en 8), de 4 à 6 elles font une halte sur une pierre proche et commencent à s’étirer les ischio-jambiers en continuant leur discussion bruyamment et essouflément.
Si vous décidez de leur souhaiter le bon jour, rendez-vous en 21 (oui oui, si loin).
Si par contre, imitant leur étrange coutume sans salut ni discrétion, vous vous levez et étirez, vous aussi, vos ischios, allez en 15.
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Vous reprenez la lecture.
Aller c’est bon, vous n’êtes pas là pour ça. Vous pouvez aller chercher la boite en vrai en 16.
Ou bien vous voulez en savoir plus, curieux que vous êtes. Passez en 8.
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Alors de quoi ça parle ce Chemin Inondé ? Hop hop hop, deux secondes l’ami ! Je sais que vous n’aimez pas passer à côté d’une aventure et vous vous demandez ce qu’il se serait passé si votre dé en avait décidé autrement. Alors deux options, soit vous allez revoir au début directement, soit vous poursuivez votre lecture. Moi je vous conseille de poursuivre, c’est votre destin d’aventurier. Poursuivre, oui, mais pour aller où ?
Vous avez besoin de vous recentrer sur la base, que faîtes-vous ici, assis sur un cailloux un portable à la main ? Ah oui, vous cherchez une cache (rendez-vous en 19). Ou bien vous ne voyez plus vraiment, reposez-vous encore et laissez-vous porter jusqu’en 13.
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Vous débutez en géocaching et appréciez ces infos sur le comment on appréhende une cache ? En plus vous aimez lire sur un écran ? Alors filez vite voir ce site du GNIA. Puis revenez quand même…
Alors c’était bien ? Vous venez de découvrir que les géocacheurs se réunissent parfois en association pour partager leur passion mais aussi la faire découvrir. N’hésitez pas à y retourner fouiller.
Pour notre affaire, vous entendez les oiseaux qui appellent leurs petits pour la soupe, le soleil se glisse derrière la colline et la nature se prépare à un repos bien mérité. Votre ventre gargouille.
Vous en avez assez, ce qui peut se comprendre, peut-être même votre séant devient douloureux, et vous souhaitez aller loguer. Préparez votre stylo et hop en 16.
Sinon, une fois qu’on a lu le titre, les cotations, et la description, il y a parfois un indice à découvrir, qui va peut-être vous aider à découvrir la boite. Je dis « peut-être » car il arrive que l’indice vous paraisse écrit en chinois alcoolisé et que finalement il ne vous aide pas beaucoup. Des fois souvent c’est « voir spoiler », « voir checker ».
Les frères Spoiler et Checker sont vos amis et sont là pour vous aider. Je précise cependant que frère Checker n’est là quasi exclusivement que sur les caches de type Mystery ou Multi lorsqu’il s’agit de vérifier le fruit de vos calculs, il peut alors héberger frère Spoiler. Mais ici ce n’est pas le cas. Seul frère Spoiler se cache dans la page. Et encore, quand je dis se cache, c’est une estampe numérique que vous pourrez consulter dans la catégorie « Photos » ou « voir la galerie de photos » sur un ordi.
Vous décidez d’aller voir frère Spoiler car il est temps d’avancer, allez-y. Merci pour votre temps. Vous récupérez 3 points de pugnacité et ensuite filez en 16.
Vous en voulez encore ? Vous n’avez pas peur du noir ? Alors on se retrouve en 20 pour la suite.
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Ben levez-vous quand même, et arrêter de fixer votre portable, ce n’est pas comme ça que vous allez la trouver ! Et soyez précautionneux, et discrets. Merci beaucoup pour votre visite.
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Celle de droite, la plus carrossée des deux, fait un pas vers vous, menaçante, le regard noir de rimmel pas waterproof et semblant déterminée à en découdre par d’autres moyens que l’usage de la langue. Sa consœur l’imite, nettement moins déterminée et effrayante mais imposante quand même. Vous avez l’impression que votre plus grand sourire ne pourra les aider à comprendre la farce, somme toute potache, que vous venez de leur jouer. Il faut assumer les conséquences de vos agissements et remonter vos manches.
JOGUEUSES PAS TIBULAIRES
FORCE 12 ENDURANCE 14
Si vous parvenez à vous en sortir, elles disparaissent par le chemin d’où elles sont venues, rendez-vous au 17.
Si par contre elles vous terrassent, vous pouvez boire une potion et vous rendre au 17 aussi parce que finalement elles n’ont plus rien à faire ici.
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Je crois que vous les avez agacées. Elles se regardent l’air de se demander comment réagir à vos singeries. La plus sage, surement, mais aussi probablement la cheffe, fait un signe de tête et elles repartent sans un mot. Voilà des moldus écartés. Allez vous rasseoir en 7.
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Parfois, quand on est bien, on ne voit pas le temps passer, on part dans ses pensées, on rêve, on médite, on respire et on prend le temps. Le bien-être, c’est peut-être ça, aussi. Quelque chose de simple, ou on se sent bien. Vous profitez de ce moment, ici et maintenant et gagnez 12 points de sérénité.
Puis vous décidez de vous remettre à votre lecture, vous recherchez une cache après tout, en 19.
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On peut dire que vous aimez lire vous. Soit vous attendez quelqu’un, soit quelqu’un vous attend depuis le temps. « Tu viens » entendez-vous crier au loin. C’est bizarre, vous cherchez du regard qui peut appeler, et surtout qui se fait appeler. Parce que en vrai, je ne sais pas, mais dans l’histoire, vous êtes seul et avec un sac à dos (je précise l’existence du sac à dos, qui n’a rien à voir avec l’appel lancé et relaté plus tôt, mais qui peut être utile pour la suite de l’aventure, vous y avez déjà mis plein de trucs alors ne l’oubliez pas).
Vous apercevez finalement une mamie crapahutant vers vous depuis le petit chemin que vous avez emprunté (et remis parce que vous êtes bien élevé) pour venir. Elle souffle un peu et semble envisager les rochers comme une promesse de pause salutaire. Elle ne répond pas à qui l’appelle et vient s’asseoir à côté de vous. Pas sur le caillou d’à côté, non, littéralement à côté de vous sur le même bout de rocher.
« Bonjour » qu’elle vous lance souriante et soufflante. « Belle journée pour une promenade, c’est calme ici, en plus avec le temps qu’il fait ce serait dommage de rester à la maison, alors j’ai dit à Georges que je sortais faire ma boucle, mais je crois qu’il n’a rien entendu, de toutes façons il ne m’écoute plus, cela fait 60 ans qu’on est mariés, mais aujourd’hui il n’entend plus rien, il a des appareils pourtant, c’est le docteur Germon qui lui a dit d’en mettre… »
Pendant qu’elle vous raconte tout un tas de trucs qui ne seront pour la plupart pas utile dans votre quête, vous vous demandez si vous allez pouvoir finir de lire ce descriptif, et même trouver la cache si elle reste là. C’est le piège ! Il va falloir l’affronter.
MAMIE
FORCE 2 ENDURANCE 148
Vous le sentiez, vous ne pourriez pas, même avec les meilleurs tirages de dé et les meilleurs onguents et potions, en venir à bout. Vous devez donc attendre son départ patiemment ou décider de revenir une autre fois. Ce qui serait dommage quand même, quoique cette petite balade est toujours sympathique.
Vous avez le temps et faites causette. C’est toujours sympa les rencontres, en plus elle a des bonbons dans sa poche et vous en offre un, à la menthe. Vous l’acceptez et allez en 4.
Ou vous vous excusez de prendre congé et rangez vos affaires afin de reprendre votre aventure sans avoir pu loguer cette cache toute simple. Dommage, mais on ne peut pas tout loguer non plus, et puis maintenant vous avez découvert un chouette coin où vous aurez plaisir à revenir. A bientôt j’espère.
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Vous imitez à la perfection la posture des deux sportives. Elles le remarque rapidement, ce qui les arrête et dans leurs jacassements et dans leurs mouvements. Elles vous fixent interdites. Joignant le geste à la parole, vous tentez une imitation de leur caquetage (vous abusez).
Tirez un dé. Un chiffre pair ? Allez en 12. Un impair ? Vite en 11.
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Vous regardez autour de vous, il n’y a plus personne, plus de bruit, c’est bon ! Vous pouvez la chercher. Bonne recherche, merci pour votre temps et votre passage. Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à lui mettre un PF, plus ce serait trop et impossible. Merci à vous. Et découvrez le GNIA !
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Voilà une aventure qui méritera d’être contée dans un log et qui sera surement une partie palpitante que les ménestrels enjoliveront de générations en générations, louant vos exploits de géocacheurs à travers les mondes et les âges. Ulysse38 avait déjà pas loin de 1500 caches trouvées et 17 caches posées quand il fit un FTF à Troie… comme quoi, on en rajoute souvent un peu. Mais ceci est une autre histoire.
Vous vous remettez de vos émotions et vous souvenez de votre mission. Vous avez besoin de souffler ; comme Ulysse38, posez-vous en 3.
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Vous êtes désormais parés pour trouver cette boite. L’aventure va prendre fin. Vous préparez votre plus belle plume en prévision. L’excitation monte. Allez-vous découvrir un trésor, une boite richement travaillée ou un tube en plastique ? Pour le savoir, ne vous faites plus prier, rendez-vous en 16. C’est vrai c’est gênant maintenant. C’est sympa le géocaching, on trouve des petites boites de partout, on se balade, on se cultive, on découvre… Ici finalement, vous n’avez fait que vous abimer les yeux sur votre portable. Aller ! Courage, il est temps de boire votre potion de trouver cette boite et de la loguer. Ensuite vous pourrez rédiger votre plus beau commentaire pour décrire l’aventure que vous avez vécue. Merci pour votre visite, merci d’avoir lu jusqu’ici. Bonne balade ! 16 ?
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La cache ne doit pas être loin, c’est une traditionnelle, donc pas d’énigme à résoudre avant, les coordonnées doivent être celles de la boite, à… disons 10m près. Elle doit être suffisamment camouflée pour ne pas attirer l’attention des non-initiés, mais on doit quand même pouvoir la trouver sans retourner tout le terrain. J’ajoute qu’on ne peut l’enterrer, sauf cas exceptionnels… Là ce n’est pas le cas.
Vous commencez à trouver cette lecture pénible. Elle est où cette boite à la fin ?
Vous décidez de partir à sa recherche, en route vers le 10.
Finalement vous êtes bien là et souhaitez continuer l’aventure. Rendez-vous en 22.
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Au loin, vous entendez une plainte animale, vous posez instinctivement la main sur votre ceinture. Tirez un dé, sur un 2 ou un 5 vous constatez que votre bâton a disparu et qu’il va être compliqué d’affronter le loup à mains nues… heureusement, ce n’est qu’une histoire, vous ne craignez rien, puis vous avez cette potion de courage de la sorcière que vous pouvez boire à tout moment.
Vous reprenez votre lecture en vous disant que, quand même, il va falloir y aller à ce numéro 16 que vous évitez depuis si longtemps. Si si, je le vois bien, vous avez compris que c’est la fin alors vous faites mine d’être intéressés par mes bêtises juste pour rester assis là tranquille. Je ne peux vous blâmer. Mais il va falloir avancer quand même.
Une fois que vous avez vu toute la page, frère Spoiler compris si il est là, vous devriez trouver la boite.
Mais… il est vrai… que des fois… cela ne suffit pas. Et là, il faut vous mettre à éplucher les logs des précédents trouveurs. Et je précise « trouveurs » parce qu’il arrive que la boite ait été signalée introuvée, auquel cas, ne perdez pas trop de temps sur place. Un peu passer à côté, pas six ou sept joueurs confirmés.
La nuit tombe vraiment, allez en 16.
Bon ok, vous êtes accro, allez en 18.
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Malheureusement ces pimbêches sont plus occupées par leur bavardage que par la politesse et votre salut s’envole dans le sous-bois tel le moineau craintif ayant attrapé de quoi nourrir ses petits qu’il file rejoindre à tire d’ailes.
Vous perdez 3 points de charisme et décidez de retourner à votre quête. Tournez la tête, gardez votre sourire pour qui le mérite et inspirez, soufflez en 3.
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Lorsque l’on cherche une cache, on a dit, regarder quel type de cache c’est ? C’est fait. Ensuite il peut être utile de jeter un œil, même distrait, aux infos de difficulté, de terrain et de taille de la boite. Inutile de chercher des heures et de gratter toute la forêt à la recherche d’une T(pour Terrain)5, qui signifie qu’en théorie, sans équipement spécial, vous ne pourrez y accéder. Elle est surement perchée haut dans un arbre qui ne se monte pas en tongs.
La difficulté est un indice, pas plus. Certaines boites sont ultra faciles à dénicher pour qui a beaucoup de caches au compteurs alors que le débutant y passera de longues minutes avant d’abandonner dépité. Comme tout, c’est relatif, à prendre avec des pincettes, mais quand même, si vous passez la journée sur une D1/T1 ce n’est pas forcement que ce n’est pas votre jour, c’est peut-être plutôt qu’elle a disparu.
On continue ?
Oui en 14.
Oh que oui, j’ai envie d’en savoir plus sur le géocaching, je vais en 9.
Non, faut aller la récupérer maintenant en 16.