Cette demeure ( 20S99) incarne par son décor la vie dans son foisonnement végétal avec des guirlandes de fleurs qui couvrent la partie supérieure. Dans les parties basses nénuphars, roseaux, fleurs de sagittaire crée un univers poétique. Cette flore rappelle le renouvellement cyclique de la nature par rapport à l’existence éphémère de ses éléments et ainsi rappelle à l’homme sa finitude en tant qu’individu.
On trouve aussi un décor composé par des éléments ayant marqués la vie du propriétaire : Un sabre, la légion d’honneur et le mot Brienne.
Ce dernier nom évoque la bataille dans laquelle Charles-Auguste s’illustra et où il reçut les stigmates du grand guerrier, avec pas moins de 14 blessures dont le visage balafré, la main gauche sectionnée et le corps criblé de coups de lance.
Cette mise en morceaux de son corps ne s’arrêta pas là car c’est l’une de ses jambes qu’il perdit à la suite d’un début de gangrène en juin 1864. Celle-ci fut mise de côté afin qu’il la retrouve dans sa dernière demeure et au moment du jugement dernier.
Ce général qui était très aisé était l’une des plus grandes fortunes de la ville. Ses héritiers se partagèrent ses multiples propriétés mais ils donnèrent en entière possession à la ville de bordeaux son un hôtel particulier.
Il faudra invoquer avec Certitude ses lares patronymiques en minuscule afin qu’elles vous amènent auprès de sa mystery.
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Cornelius 47