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L'Église Saint-Étienne Traditional Geocache

Hidden : 3/15/2022
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


À propos de la cache

 

Placée au pied de l'église, vous n'aurez pas de mal à la débusquer avec les coordonnées GPS précises et les indices précis. Prenez soin s'il vous plaît, de bien recacher cette cache et d'être discret lors de votre traque afin de garantir la pérennité de cette dernière. 

 

L'Église Saint-Étienne

 

 

Datant du XIIème siècle, l’église fut détruite et reconstruite plusieurs fois. Édifiée sur un ancien temple romain dédié à la déesse Palès, déesse des pâturages et des bergeries, elle est de style roman.

Sur le site de l’actuel village de Pailhès, on connait une implantation gallo-romaine, puis une villa Puliarius est mentionnée en 960. L’église et le prieuré Saint-Étienne, doivent être de peu postérieurs à la donation faite en 1036 par Étienne, évêque de Béziers, au chapitre de Saint-Nazaire de Béziers, des rentes qu’il détient à Pailhès.

En 1203, le vicomte de Béziers, Raymond-Roger, autorise le chapitre de Saint-Nazaire à fortifier l’église de Pailhès, autorisation renouvelée en 1326 et 1338.

Malgré la proximité du château, l’église a toujours été celle d’un prieuré du chapitre de Saint- Nazaire de Béziers. Les troubles du XVIe siècle l’ont gravement endommagée et en 1594, le consul fut condamné à la réparer. En 1783, il est fait mention de la nécessité d’une réparation du toit de l’église.

Les travaux du XIXe siècle ont concerné le clocher qui a été exhaussé en 1843 et le presbytère qui a connu des réfections en 1813 et en 1870. Ces reprises ont été insuffisantes puisque ce bâtiment menaçant ruine a dû être démoli en 1992, ce qui a permis de dégager le chevet de l’église. Celui-ci a révélé trois types de maçonneries. Dans la partie inférieure, de gros blocs non raillés, du type utilisé pour les fondations, apparaissent aujourd’hui en élévation sur deux mètres. Sur ce niveau, de plan circulaire, s’élève le chevet polygonal à maçonnerie soignée en pierres de taille. Dans l’axe, se trouve une baie romane de dimensions modestes mais soigneusement appareillée qui avait été obstruée. La partie supérieure, dont la maçonnerie est de moindre qualité, semble résulter d’un surhaussement postérieur.

L’église possède des objets classés : l’autel cippe (IXe-Xe siècles), une statue de la vierge à l'enfant (fin du XVIIIe-XIXe siècle) et dans le retable, une gloire en stuc doré du XVIIIe ou XIXe siècle.

L'intérieur de l'église possède également trois fresques peintes dues à Nicolaï Greschny, un fresquiste et peintre d’icônes du XXe siècle. Né en Estonie en 1912 et décédé en 1985, Nicolaï Greschny s’était installé à Marsal dans le Tarn. Il a peint plus d’une centaine de fresques, principalement sur les murs d’églises situées dans le sud et le sud-ouest de la France, comme sur la chapelle de Notre-Dame de Consolation, à côté de Béziers.

Le clocher carré dispose de trois cloches dont une fixe servant de tintements pour l'horloge et deux de volée en sonnerie rétro-équilibrée (La#3 et Ré#4).

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Qnaf ha gebh. A'uéfvgrm cnf à l zrgger yn znva, vy a'l n evra dhv zbeq ;-)

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)