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Welcome....Bienvenue à Marignane Traditional Geocache

Hidden : 1/4/2022
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


BIENVENUE A MARIGNANE 

Marignane (en occitan provençal [maɾiˈɲanɔ], Marinhana selon la norme classique ou Marignano selon la norme mistralienne) est une commune française située dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, dans le département des Bouches-du-Rhône. Elle est baignée par les rives des étangs de Berre et de Bolmon et traversée par le canal du Rove.

La ville est connue dans la région pour héberger l'aéroport Marseille-Provence ainsi que le siège social et l'une des usines de conception et d'assemblage de la société Airbus Helicopters (anciennement Eurocopter), fabricant d'hélicoptères civils et militaires.

Marignane est située au sud-est de l'étang de Berre, dans une plaine anciennement marécageuse bordée au sud par la chaîne de l'Estaque et à l'est par le plateau de l'Arbois. La ville est séparée de l'étang proprement dit par une lagune, l'étang de Bolmon ; la langue de terre entre les deux étangs, accessible depuis le nord de la ville, est dénommée le Jaï.

Elle est traversée d'est en ouest par le ruisseau de la Cadière et son affluent le Raumartin, ainsi que par le canal de Marseille au Rhône.

Le seul relief de la commune est un petit plateau, nommé la plaine Notre-Dame, qui culmine à 104 mètres d'altitude, à l'est de la commune.

Marignane est une commune urbaine. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant cinquante communes et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris).

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des cent mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit

Le quartier du Centre fait par ailleurs partie du Programme national de revitalisation des quartiers anciens dégradés (PNRQAD).

Antiquité

À l'âge du bronze, les habitats étaient dispersés et aucune trace n'apparaît à ce jour sur Marignane sinon des traces plus anciennes du Chasséen au sud de la chapelle Notre-Dame-de-Pitié (découvertes Sicard portées à la carte archéologique de la Gaule - CAG -).

Cette présence semble être liée à des événements particuliers plutôt qu'au mouvement général dû à l'expansion de la cité grecque de Massalia à la fin du vie siècle av. J.-C.

Au second âge de fer, le territoire semble s'être organisé autour et depuis l'oppidum de Notre-Dame-de-Pitié, tardivement édifié vers 380 av. J.-C. et précocement abandonné vers 180 av. J.-C. Nous n'avons aujourd'hui aucune indication sur ce qu'était le territoire entre la fin de l'occupation de l'oppidum (180 av. J.-C.) et la fondation de la cité romaine par Caius Marius en 104 av. J.-C. avancée par Nicolas-Claude Fabri de Peiresc à la fin du xvie siècle.

La première trace de la présence romaine concerne la christianisation de Marignane et de Berre-l'Étang. D'ailleurs plusieurs sites d'habitats étaient sur ce territoire à l'époque romaine.

Pomponius Mela (10 av. J.-C. – 54 apr. J.-C.), indique dans son traité de géographie la description des peuples et des pays des bords de la Méditerranée depuis la villa qu'il occupait dans le territoire du peuple des Aruas (Aryens).

La tradition rapportait que Marignane aurait été fondée par Caius Marius, général et homme politique romain. Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), conseiller au Parlement d'Aix écrivit dans son Histoire Abrégée de Provence à propos de la ville :

« et pendant que les barbares estoient allés ravager l'Espagne, il (Caïus Marius) campa premièrement en Camargue, puis sur le bord de l'estang des Anatiques où il édifia Marignane et les Maritimes au port voisin »

— Nicolas-Claude Fabri de Peiresc, Histoire Abrégée de Provence

Les écrits de l'abbé Roquebrune qui parle d'un effroyable massacre sur les flancs de la colline Notre Dame de Pitié pourraient alors correspondre aux combats, rapporté par Plutarque dans la Vie des hommes illustres, menés par Caius Marius lorsqu'il écrasa les Cimbres et les Teutons en 102 av. J.-C..

Des érudits locaux qui participèrent à l'élaboration de l'encyclopédie départementale des Bouches-du-Rhône, retinrent pour leur part Marinius qui y avait séjourné dans la cité, comme fondateur de la ville. Marinius aurait donc donné son nom à Marignane lorsqu'il y meurt en 479. Ce dernier avait été nommé par Majorien (empereur romain de 456 à 461) pour commander les armées romaines qui étaient présentes dans la basse région rhodanienne. Marinius avait obtenu l'admiration de Rome par sa stratégique réussie contre les Huns à Badriacum. Sa dépouille fut ramenée à Rome par Bimardus.

Moyen Âge

Selon A. Longnon, à l'époque carolingienne (ixe siècle) et au xe siècle, MarignanaCadarascumIstrum et Fossa étaient les seules villes autour de l'étang de Berre et, au début du règne de Henri Ier, en 1032, Marignana — avec les premiers chevaliers du pays d'Oc — et Fos étaient des fiefs.

Les membres de la famille des Baux ont été entre autres, seigneurs de Marignane et en particulier, ceux issus de l'union de Bertrand Ier des Baux et de Tiburge d'Orange.

Un château fut fondé sur les emprises d'une construction templière, hypothèse renforcée par le fait que Guillaume et Raymond des Baux furent de la première croisade et bienfaiteurs et membres de l'Ordre. Les Templiers avaient des biens dans cette seigneurie de Marignane et en particulier sur le site de Saint-Michel de Gignac, aujourd'hui sur la commune du Rove.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l'Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Marignane, François des Baux, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier.


Le miracle de Saint Isarn : après l’un de ses long parcours à cheval en Provence, Isarn, épuisé s’arrête au prieuré de Marignane. Le bedeau le reçu dans l’église et lui installa une couche dans la sacristie pour qu’il s’y repose. La Vie de Saint Isarnrapporte que c’était lors d’une veillée liturgique à Marignane. Les dévotes priaient chacune devant son cierge. Alors que l’une d’elles s’était absentée, le clerc prit son cierge et le plaça au chevet de l’abbé pour qu’il ait de la lumière à son réveil. De retour, la dévote rentra dans une colère et protesta « J’ai apporté la chandelle pour Saint Victor, pas pour n’importe quel abbé », un miracle se produisit qui força la femme à laisser le cierge auprès de Saint-Isarn : elle s’empara violemment du cierge qui alors s’éteignit. Elle ne put jamais le rallumer sinon au chevet du saint. Le texte de la Vita rajoute : « c’est que Dieu avait visiblement préféré réserver (à Isarn) un luminaire destiné à son glorieux martyr ».

Ce témoignage est tiré de la Vita Isarni (la vie de saint Isarn) où elle est l’unique mention explicite du culte de saint Victor avec d’autre raison que de justifier un transfert de dévotion vers l’abbé Isarn.

Époque moderne

Les limites du territoire sous l'Ancien Régime, ne sont pas celles d'une cité avec ses bornes administratives telles que nous les connaissons aujourd'hui, elles sont celles de l'emprise du seigneur : la seigneurie.

Au sommet de son expansion territoriale, la seigneurie de Marignane recouvrait Marignane, mais aussi Saint-Victoret et les territoires de Gignac et du Rove allant jusqu'aux calanques méditerranéennes.

Marquisat érigé en 1647 en faveur de Jean-Baptiste de Covet de Marignane.

Révolution française

À Marignane, le comité de surveillance est institué en 1793. Il se recrute en partie chez les simples paysans, parfois illettrés, et son institution marque en quelque sorte l'apogée démocratique de la Révolution. Le comité, chargé de la surveillance de l'application des lois, consacre une grande part de son activité à les lire, les recopier, discuter de leur portée, et surtout à les faire connaître à l'ensemble de la population. Il participe ainsi à la formation politique et démocratique des citoyens

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans.

En 2019, la commune comptait 32 384 habitants, en diminution de 4,71 % par rapport à 2013 (Bouches-du-Rhône : +2,51 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Sources : Wikipédia

Additional Hints (Decrypt)

Nvznagér

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)