Voici une série de 5 caches. Le parcours passe par un gué entre les caches 3 et 4 s’il devient infranchissable vous pouvez, de la cache 3, poursuivre le sentier jusqu’au parking. De là le chemin carrossable sur la rive gauche vous amène au pont du TGV, passez dessous le chemin, interdit à tout véhicule, arrive au gué. Du parking au gué, il y a environ 2Km, il est possible de rejoindre le pont en voiture.
Mais avant de loguer frénétiquement lisez ce qui suit.
Une veille norvégienne courbée par le poids des ans, vivant dans une cabane délabrée au fin fond d’une forêt lugubre, m’a décrit les Trolls dans ces termes.
« Ceux qui les ont vus les décrivent comme des humains, sauf qu’ils n’ont que quatre doigts à chaque main et chaque pied. Ils ont un long nez, sont poilus et ont une chevelure hirsute et possèdent une queue terminée par une touffe de poils, comme celle des vaches. Les mères trolls s’occupent de leurs enfants et font la cuisine en touillant leur marmite avec leur long nez, tandis que les pères trolls sont par moment d’une humeur irascible. Quant aux enfants trolls, ils font des tours de magie les plus incroyables. Malgré leur apparence effrayante, ils sont plutôt braves et naïfs.
Toutefois, grâce à quelques-uns de leurs dons surnaturels, ils peuvent tromper les humains. Ainsi, il arrive que des filles trolls se changent en de très belles jeunes femmes et séduisent les garçons les plus crédules pour les attirer dans la montagne. Celles que l’on appelle alors « huldre » (ou nymphes des bois) les font prisonniers ou les abandonnent dans la forêt. Pour éviter de se faire prendre, il suffit de les regarder de dos et de voir si elles ont une queue de vache, car celle-ci ne disparaît pas quand elles se transforment et elles ne peuvent ensuite pas la cacher. Il arrive aussi que ce soit les jeunes femmes qui se font enlever par les trolls et se perdent dans la montagne.
Quand on se promène dans la montagne, dans la forêt ou à travers la lande, et si l’on s’attarde jusqu’à la nuit, il est possible d’apercevoir des trolls. Lorsque l’on en croise un, il est recommandé de ne pas le contrarier, si l’on ne veut pas le regretter plus tard. En tout cas, une chose est sûre, si l’on ne les voit pas, eux nous voient. »
Maintenant vous ne pouvez plus dire je ne savais pas, alors avant de loguer regarder autour de vous, ils sont peut être encore là.