Amis géocacheurs/géocacheuses, bonjour !
Vous pensez connaître Montmartre ? Oui, bien sûr, qui n’a jamais entendu parler de Montmartre, un des quartiers les plus connus et les plus populaires de Paris. Le Sacré-Cœur, la place du Tertre, le funiculaire,…
Ce quartier, pourtant, recèle des petits endroits moins connus, un peu caché.
Des endroits – c’est aussi un des apports positifs du COVID – que j’ai eu l’occasion de découvrir durant le confinement, ayant la chance de vivre dans un chouette appart où tout Montmartre se trouvait dans mon rayon d’1km !
Avec ce multi, je vous propose de partir à la découverte de ces petits coins plus ou moins secrets de Montmartre, certes fréquentés mais moins que l’est du quartier, côté Sacré-Cœur.
Espérant que cette ballade vous permettra de découvrir des lieux que vous ne connaissez pas encore et que ce petit jeu de piste vous plaira, alors, bon géocaching !
Commençons par le commencement : un peu d’histoire sur Montmartre :
Montmartre est un quartier du 18e arrondissement de Paris (France) dominé par la basilique du Sacré-Cœur. Depuis le xixe siècle, il a accueilli de nombreux artistes tels que Picasso ou Modigliani et est devenu le symbole d'un mode de vie bohème.
Jusqu'en 1860, Montmartre est une commune du département de la Seine. Cette année-là, en vertu de la loi d'extension de la capitale, la commune est annexée par Paris à l’exception d’une petite partie qui est attribuée à la commune de Saint-Ouen. La majorité du territoire de l'ancien Montmartre est donc intégré dans ce qui devient le 18e arrondissement de Paris, baptisé « des Buttes-Montmartre » et constitué des quartiers administratifs des Grandes-Carrières, de Clignancourt, de la Goutte-d'Or et de la Chapelle. De même que le quartier du Marais, Montmartre n'a aujourd'hui aucune limite géographique précise : c'est un quartier parisien historique et non un quartier administratif.
Connu pour ses rues étroites et escarpées flanquées de longs escaliers, ce secteur très touristique du nord de Paris abrite le point culminant de la capitale sur la butte Montmartre, une des buttes-témoins gypseuses formées de part et d'autre de la Seine et dénommées les « collines de Paris ». À 130,53 mètres, altitude du sol naturel à l’intérieur du cimetière du Calvaire, il jouxte l’église Saint-Pierre de Montmartre.
Vous êtes prêts ? Alors c’est parti !
- Rendez-vous au 1er WP, près du Moulin de la Galette.
LE MOULIN DE LA GALETTE
Le moulin de la Galette est le seul moulin à vent en état de marche de la butte Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris, rue Lepic. Son moulin frère est visible à l'angle de la rue Lepic et de la rue Girardon. L'ensemble désignait jadis un célèbre bal public ouvert par la famille de meuniers Debray, depuis le xixe siècle.
Le moulin de la Galette est en réalité constitué de deux moulins à vent : le Blute-fin et le Radet entre lesquels s'est ouvert un bal public qui prendra le nom de « moulin de la Galette »1.
Ces deux moulins sont perchés sur un petit tertre au milieu du maquis de Montmartre, sur lequel les Romains avaient autrefois établi un temple dédié au dieu Mars (mens Marlis : mont de Mars) qui jouxtait un autre dédié à Mercure2,3,4. Ce lieu peut également être lié au mons Martyrum, le « mont des Martyrs » (la rue des Martyrs y mène) pour les victimes des persécutions antichrétiennes5 (Denis et ses deux compagnons Rustique et Éleuthère).
(!) INDICE A TROUVER : Face au moulin se trouve un bistrot traditionnel. Compter le nombre de voyelles du 1er mot du titre, ce chiffre (A) sera votre 1er indice.
En remontant la rue Lepic, vous prenez à gauche la rue Girardon qui vous mène au 2ème WP : la place Marcel Aymé avec sa célèbre « statue de l’Homme » :
LA STATUE DE L’HOMME
Il s’agit d’une sculpture originale représentant un homme incrusté dans un mur, en référence à une nouvelle de l'écrivain français Marcel Aymé.
(!) INDICE A TROUVER : La statue a une partie dorée. Compter les extrémités de cette partie. Ce chiffre (B) sera votre 2nd indice.
Au-dessus de la place, vous prenez la rue Norvins, qui vous mène au 3ème WP : la commanderie du Clos Montmartre.
COMMANDERIE DU CLOS MONTMARTRE
En 1983, Maurice His – Président de la République de Montmartre, entouré d’amoureux du vin, créa la seule confrérie vineuse de Paris dont la tenue d’apparat des compagnons est rouge lie de vin rehaussée d’or et d’argent. Maurice His, succéda Robert Rivière -l’homme des P’tits Poulbots- C’est désormais Gilles Guillet, le Grand Maître qui règne sur ce miracle Montmartrois, une ancienne fontaine à eau devenu « temple bachique ». C’est là, à l’angle de la rue Norvins et de la rue Lepic, qu’est érigée une curieuse bâtisse octogonale, de style néo-renaissance datant de 1835, ancienne fontaine entourée d’un jardin agrémenté de ceps de vignes, où loge l’auguste « Commanderie du Clos de Montmartre ». Le Grand Maître, entouré de son conseil, tient de sa main de fer dans un gant de velours, les mannes du passé et les rêves d’avenir du vin de Montmartre.
(!) INDICE A TROUVER : Sur le kiosque est indiqué le numéro de rue. Notez-le, il constitue votre 3ème indice (C).
Prenez un peu de temps pour regarder les panneaux affichés autour du Clos, qui vous feront revivre les belles années des cabarets de Montmartre.
Dirigez-vous maintenant vers la rue des Saules, que vous allez descendre. Là, vous passez sous un autre lieu célèbre de Montmartre : le restaurant La Bonne Franquette.
LA BONNE FRANQUETTE
Maison du 16ème siècle au cœur du vieux Montmartre, La Bonne Franquette fait vivre la tradition montmartroise de gaîté, de convivialité, d’accueil d’artistes, de vignerons comme d’amateurs de bon vin et de bonne chère, fidèle à sa devise « Aimer, Manger, Boire et Chanter ». Anciennement "Aux Billards en Bois", le nom "La Bonne Franquette" aurait été donné en 1925 par Francisque Poulot. Juché au sommet de la Butte, légèrement à l'écart de la place du Tertre, le restaurant dépayse touristes comme parisiens par son atmosphère typique et son ambiance villageoise propres au vieux Montmartre.
La Bonne Franquette fut à la fin du 19ème siècle et au début du 20ème un rendez-vous d'artistes : Pissarro, Sisley, Cézanne, Toulouse-Lautrec, Renoir, Monet, Zola… s'attablaient assoiffés sous les tonnelles du jardin après l'ascension de la Butte… En voisins venaient aussi Suzanne Valadon et Utrillo, installés en 1896 à l’angle de la rue des Saules et de la rue Cortot, tout près de chez Aristide Bruant. Et le célèbre marchand de couleurs pour les peintres, le Père Tanguy, y montait à pied depuis la rue Clauzel pour rencontrer les artistes.
Vincent Van Gogh, qui habitait au 54 rue Lepic avec son frère Théo, y a peint en 1886 son célèbre tableau "La Guinguette", dans les tons sombres de ses premières œuvres des Pays-Bas et de Bruxelles. Ce tableau appartient au groupe d’œuvres réalisées entre 1886 et 1887 des « peintures de Montmartre », dont il préférait l’ambiance pastorale à celle des scènes urbaines de Paris.
(!) INDICE A TROUVER : Sur la façade du restaurant, depuis la rue, est dessiné un célèbre cuisinier français. Qui est-ce ?
Le nombre de lettres de son prénom vous donnera le 4ème indice (D).
(MAJ : le dessin n'étant temporairement pas visible, celui que vous devez trouver ici porte le célèbre nom de famille de Bocuse... ;)
Vous profitez de l’endroit pour lire les panneaux en l’honneur de Van Gogh, juste de l’autre côté sur le muret, qui témoignent de l’œuvre du peintre réalisée sur Montmartre (quartier source d’inspiration de tant de peintres.. !).
Vous descendez maintenant la rue des Saules, direction les vignes de Montmartre !
LES VIGNES DU CLOS MONTMARTRE
L'existence de vignes à Montmartre est attestée dès 9441.
Au xiie siècle, des vignes sont plantées par les dames de l'abbaye de Montmartre fondée par Adélaïde de Savoie2.
L'appauvrissement de l'abbaye amène celle-ci à vendre ses parcelles de vigne. Au xvie siècle, les habitants de Montmartre, localité située alors hors Paris, sont principalement laboureurs-vignerons. Les vignes sont cultivées du sommet de la Butte jusqu'aux plaines environnantes. Tour à tour vin blanc puis rouge, le vin de Montmartre est connu sous différentes appellations : « le clos Berthaud », « La Goutte d'or », « Le Sacalie », « La Sauvageonne » ou encore plus tard, « Le Picolo3 ».
Au xviie siècle, le vin de Montmartre est un petit vin réservé à la consommation locale.
Au début du xviie siècle, à l'emplacement actuel du Clos-Montmartre, s'élève une guinguette champêtre. Son nom, Le Parc de la Belle Gabrielle, vient du voisinage d'une maison qui aurait appartenu à Gabrielle d'Estrées, maîtresse du roi Henri IV. Au xviiie siècle, la colline est recouverte aux 3/4 de vignes et le vin, non soumis aux droits d'octroi car en dehors de Paris, a favorisé l'ouverture de tavernes et cabarets2.
À la mort d'Aristide Bruant, la ville de Paris rachète le lieu. En 1930, il est prévu d'y construire des immeubles. C'est sans compter sur la mobilisation des habitants du quartier qui s'opposent à ces constructions. Le préfet de l'époque les entend et rend le terrain inconstructible.
Après la disparition complète de ses vignes en 1928, Montmartre est replanté cinq ans plus tard de 2 000 pieds de gamay et de pinot noir provenant du domaine de Thomery près de Fontainebleau. Situés dans le 18e arrondissement de Paris à l'angle de la rue des Saules et de la rue Saint-Vincent, les 2 000 m2 du Clos-Montmartre s'étendent à l'emplacement de l'ancien square de la Liberté, aménagé par le dessinateur Francisque Poulbot, fondateur de la république de Montmartre, en 1929. L'exposition au nord du Clos-Montmartre en fait une sorte d'aberration viticole, ce qui explique que sa vendange a lieu fort tard, c'est-à-dire à la mi-octobre par les personnels publics-vignerons du service des parcs et jardins de la Ville de Paris5.
En 1933, la ville de Paris, répondant aux vœux de la société Le Vieux Montmartre, crée le Clos-Montmartre en plantant 2 000 pieds de vigne (0,15 hectare) au nord de la butte, afin de limiter l'expansion immobilière. La première Fête des vendanges en 1934, parrainée par Mistinguett et Fernandel, a lieu en présence du président de la République Albert Lebrun6. Mais il n'y avait pas encore de raisin ! Donc on achète du raisin aux Halles et on accroche des grappes avec du fil afin que les parrains puissent les couper.
Cette vigne (il reste aujourd'hui 1 762 pieds selon les propos de Gilles Guillet, grand maître de la Commanderie du Clos-Montmartre dans l'émission Les Escapades de Petitrenaud) aujourd'hui « comprend les variétés les plus classiques des provinces viticoles de France, ainsi qu'une sélection d'hybrides vigoureux et fertiles ». L'ensemble est embelli par des plantations décoratives.
(!) INDICE A TROUVER : Combien la vigne compte-elle de pieds, d’après le panneau ? Ce nombre constituera votre 5ème indice (F).
Vous remontez maintenant la rue des Saules et tournez à gauche, dans la rue Cortot, pour vous rendre au château d’eau de Montmartre !
LE CHATEAU D’EAU DE MONTMARTRE
La fontaine de l'ancien Réservoir fait partie du premier château d'eau de Montmartre, situé 9 bis rue Norvins. C'est en 1835 qu'une tour octogonale servant de château d'eau est édifiée près du rendez-vous de chasse ayant prétendument appartenu à Catherine de Médicis, sur l'actuelle place Jean-Baptiste-Clément. La construction de ce château d'eau dans le style néo-Renaissance est attribuée à l'architecte Titeux de Fresnoy, et les sculptures à Bandeville. Ce réservoir est surélevé et, en 1865, il est alimenté par les eaux de la Dhuis pour pallier les graves difficultés d'approvisionnement en eau de l'ancien village de Montmartre en raison de son relief et de son altitude. Il est alimenté par une pompe hydraulique installée sur les rives de la Seine à Saint-Ouen, une seconde pompe à feu, installée passage Cottin, servant de relais. Ce passage se trouve près de la rue Ramey. Le château d'eau de Montmartre est désaffecté en 1927, lors de la construction des grands réservoirs de Montmartre, rue Azaïs, voisins du Sacré-Cœur1.
Aujourd'hui, le château d'eau de Montmartre fait office de siège pour la Commanderie du Clos Montmartre, une association loi de 1901, réunissant les amoureux du vin de Paris.
(!) INDICE A TROUVER : En regardant le haut du château d’eau, compter le nombre de fenêtre entre chaque gargouilles/goutières. Ce chiffre (G) sera votre 6ème indice.
Vous reprenez la rue Cortot dans l’autre sens, passez devant la jolie Maison Rose, et continuez en face dans la rue de l’Abreuvoir, une des plus jolies rues de Montmartre, particulièrement belle au printemps avec les massifs de glycines des maisons attenantes en fleurs.
Au bout, vous tournez à gauche dans la rue Girardon et vous arrêtez au niveau du square Suzanne Buisson.
LE SQUARE SUZANNE BUISSON
Ce square occupe l’emplacement du parc du château des Brouillards, folie édifiée en 1772. Il porte le nom de Suzanne Buisson, née en 1883, femme politique, résistante, morte en déportation. L’entrée, place Casadessus, est marquée par une rotonde de style Art-Déco. Une statue de Fernand Guignier, représentant Saint-Denis, marque l’emplacement de la fontaine aurait lavé son corps.
(!) INDICE A TROUVER : Saint-Denis est un des personnages-clés de ce square. Qu’a « perdu » Saint-Denis ? Additionner le nombre de lettres de ce que Saint-Denis a perdu, ce chiffre (K) vous donnera le 7ème indice.
Vous redescendez légèrement la rue Girardon pour revenir là où vous avez dû passé juste avant, au niveau de la statue de Dalida.
LA STATUE DE DALIDA
Iolanda Gigliotti, dite Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire (Égypte) et morte le 3 mai 1987 à Paris 18e (France), est une chanteuse et actrice italienne naturalisée françaisea.
Issue d'une famille italienne installée en Égypte, elle est élue Miss Égypte 1954 et tourne plusieurs films au Caire. Résidant en France à partir de 1954, elle connaît son premier succès de chanteuse avec le titre Bambino en 1956. Se façonnant un répertoire regroupant plus de sept cents chansons interprétées en plusieurs langues, elle devient une grande figure de la chanson française et bénéficie d'une popularité dépassant la scène francophone.
Parmi ses chansons les plus connues, figurent Come prima, Les Gitans, Gondolier, Les Enfants du Pirée, Itsi bitsi petit bikini, La Danse de Zorba, Bonsoir mon amour, Le Temps des fleurs, Darla dirladada, Paroles... Paroles..., Gigi l'amoroso, Il venait d'avoir 18 ans, Salma Ya Salama, Laissez-moi danser, Gigi in paradisco et Mourir sur scène. Embrassant plusieurs styles musicaux, tels que le twist, la pop et le raï, elle est également une des premières artistes françaises à interpréter des chansons disco avec les titres J'attendrai et Bésame mucho.
Souffrant d’une dépression — en raison notamment d'une succession de drames personnels —, elle se suicide quelques mois après avoir été l'actrice principale du film dramatique égyptien Le Sixième Jour. Sa vie privée et sa mort font d'elle une icône au destin tragique.
(!) INDICE A TROUVER : Plusieurs « attributs » de Dalida apparaissent dorés sur la statue, vous pourrez deviner facilement pourquoi. Combien de ces attributs ont-ils dorés ? Ce chiffre (M) sera votre 8ème et avant-dernier indice.
(Avant de partir, n’hésitez pas à faire une petite photo de vous également en train de « dorer » la statue, que vous pourrez me partager dans les logs... J )
Depuis la statue, vous voyez une mignonne petite allée partir entre les immeubles. Vous la prenez, profitez de ce petit passage un peu « caché », puis arrivez place Casadessus, puis rue Simon Dereure, que vous descendez. Vous prenez alors 20m à gauche l’avenue Junot juste pour arriver devant la jolie villa Léandre.
LA VILLA LEANDRE
Il y a encore un siècle, ce quartier n’était encore qu’un vaste bidonville. Ce que l’on appelait le maquis de Montmartre était, au XIXe siècle, composé d’une population miséreuse, habitant une multitude de petits chalets faits de matériaux de récupération. Un ensemble de cabanes de fortune où cohabitaient, dans une ambiance de village, des familles parmi les plus pauvres de Paris, des artistes bohèmes et de nombreux chiffonniers.
Construite en 1926, la Villa Léandre fait donc partie de ces petites voies privilégiées, calmes, discrètes, nées sur les ruines du maquis le plus célèbre de Paris. Avec ses petites maisons de style anglo-normand ou Art nouveau, ses pavés et ses petits jardinets qui rivalisent d’originalité, la petite impasse semble nous transporter loin de Paris, hors du temps.
Cette impasse n’est pas sans rappeler d’autres ruelles parisiennes comme le square des peupliers ou la Cité Florale, mais aussi quelques-unes des rues les plus emblématiques de la capitale britannique : les minuscules jardinets fleuris, les bow-windows so british, les maisons de briques aux toits d’ardoises, les petits pavillons blancs aux volets colorés… Londres se dévoile ici par petites touches ! Au numéro 10, une petite inscription fait même un clin d’oeil à l’adresse la plus connue de Londres : le 10 Downing Street, résidence du Premier ministre britannique.
(!) INDICE A TROUVER : Dans la villa, vous pourrez admirer plusieurs maisons en brique rouge. Une en particulier retient votre attention : celles avec un oiseau apparaissant sur sa devanture. Vous avez noté le numéro (PQ) de cette maison ? Parfait, c’est votre 9ème et dernier indice !
Ne vous reste plus maintenant qu’à vous rendre à la cache finale, qui n’est pas bien loin, dans un de ces endroits si typiques de ce quartier…
Coordonnées de la cache finale :
N 48° 53.(D*K+(Q-P)*M+9).3 E 02° (F+B+C+1).(A-G)
/!\ : vous risquez forcément de croiser beaucoup de « moldus » le long de votre ballade, et notamment à proximité de la cache finale. Je vous demande donc d’être bien discrets et de veiller à bien replacer la cache (une petite boîte métallique) là où vous l’avez trouvé.
A ce titre, je vous recommande de faire ce géocaching plutôt de nuit. Montmartre est très bien éclairé et également très joli et agréable de nuit (et beaucoup plus tranquille !!). Le relevé des indices ne présentant aucune difficulté visuelle, vous profiterez ainsi davantage de cette agréable petite ballade, dans une ambiance plus « secrète »..
Bon géocaching ! J
Vérification de la solution donnée :
