Une chapelle de Saint-Roch, ou « de la croix boisée » fut construite près de la maladrerie de Beauregard. Les asiles destinés au Moyen Age à recueillir les malheureux atteints de la lèpre avaient ordinairement, non loin d’eux, une chapelle où ces infortunés pouvaient assister aux offices, sans se mêler aux autres fidèles. Les premiers renseignements concernant cette chapelle datent de 1636. Elle possédait vraisemblablement une cloche jusqu’en 1789 ; elle fut incendiée deux fois par le feu du ciel.
L’oratoire actuel, de très petite dimension, s’appuie sur un fût en gros-œuvre du XIXe siècle, portant une croix de pierre peut être un peu plus ancienne. Source 10 siècles d'histoire ( Louis DAVOUST - Ed Siloé )
Appelée aussi "chapelle de la croix boisée", cette construction d'aspect archaïque se présente comme un oratoire appuyé contre un fût en gros oeuvre du XIXe siècle, qui porte une croix de pierre peut-être plus ancienne.
Mentionnée sur la carte de Jaillot, cette chapelle doit sans doute son existence à la maladrerie voisine. Elle est frappée à deux reprises par la foudre.
Au village de Saint-Roch fonctionnaient des fours à chaux, éteints peu avant le XXe siècle.
Cette chapelle, soigneusement entretenue, toit de Bardeaux, frappe par sa faible profondeur, il s'agit en fait d'un oratoire; la porte est surmontée d'une petite statue de Saint Roch rappelant la statue à l'intérieur. Source petit patrimoine.
Pour information, cette cache est une réédition suite à un archivage. Elle avait été publiée en novembre 2018 avec un FTF des Fouilloux.
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