Dévastée il y a près d’un siècle, cette terre de combats est aujourd'hui un vaste plateau de 10 000 ha recouvert d’une forêt domaniale gérée par l’ONF. Cette forêt, loin d'enfouir dans l’oubli les vestiges de la guerre a permis de conserver les traces du champ de bataille : sol labouré par les obus, tranchées et ouvrages fortifiés, villages en ruine...