En 1840, le conseil municipal examine les droits de la commune et de M. Seydoux concernant les « changements et améliorations à faire à la fontaine publique et la construction d’un lavoir couvert », M. Seydoux étant propriétaire du terrain sur lequel est située l’ancienne fontaine et du mur sur lequel s’appuie en partie la couverture du lavoir.
Actuellement le lavoir est à l'abandon mais visible depuis la cache.