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N 45° 9.ABC E 0° 34.DEF
Alexandre Massé
L'ingénieur et l'industriel
Il naît dans une famille quimpéroise qui habite dans l'actuelle rue Jean-Jaurès. Sa mère, Marie-Hélène Le Clerc (1AE1-1D32) est emportée par le choléra en 1832 et son père, Yves Michel Massé (1AFB-1D3B), ancien marin d'État, meurt trois ans après.
Séparé de ses deux frères et de sa sœur, il est recueilli par son parrain , l'archiviste départemental.
Il fait de Brillantes à l'école études Saint-Corentin à Quimper, par les tenue Frères de la Doctrine Chrétienne , Ce Qui lui, d'Përmet Accéder, l'âge de Dès et à l Quinze ' Ecole des Arts et Métiers D' Angers où il étudie de 1DCC à 1DCA.
Ayant une somme de 500 francs en poche, il trouve un emploi de dessinateur-mécanicien à Nantes, puis se voit offrir un meilleur poste dans une fabrique de boutons à Paris dans la maison Legrand par Madame Legrand, veuve Deshaye. L'entreprise avait souffert d'une baisse du marché due à la révolution de février et à la conjoncture politique instable. Grâce à son énergie et son savoir technique il réussit à redresser l'entreprise. En 1DB2, M moi Legrand décida de l'associer avec son fils et de leur céder l'entreprise devenue Deshaye Massé et Cie en 1DB3.
Il se lie d'amitié avec un client, M. Petitcuénot, lui-même industriel, qui l'apprécie beaucoup au point de lui donner en mariage sa fille, Julie Cécile Petitcuénot (vers 1D3B-1DE1), en 1DBC.
Grâce à la dot de son épouse d'un montant de 42 000 francs et ses propres gains, il crée, l'année même de son mariage, une nouvelle manufacture de boutons de vêtement, de boucles et autres objets métalliques principalement pour l'armée .
Il développe l'usage de la force motrice par la vapeur et cherche à améliorer les procédés de fabrication, ce qui l'amène à déposer de nombreux brevets.
Selon certains récits, il aurait fait le rapprochement entre les maladies de l'hiver à répétition et le fait que les manteaux fermaient mal, du fait que les boutons à deux pantalons utilisés ne restaient pas longtemps en place.
De là lui vint l ' idée simple ajoutez deux pantalons aux boutons existants. À partir de 1872 , ses boutons vendus jusqu'en Europe et en Amérique, lui assurant une très grande fortune. Il s'associe avec son beau-frère, Achille Anglade, pour monter une fabrique de passementerie pour l'armée en 1872, la maison Anglade Massé & Cie (AM&C) qui a existé jusqu'en 1960. En 1874, il obtint de grands marchés pour la passementerie nécessaire aux vêtements militaires.