La « mort » par piqûre de scorpion n’est pas une fatalité, quel que soit le côté du dard qui nous concerne
Un combat moralNous sommes bien tous amenés, dans certains contextes ou face à certaines personnes, à adopter des comportements ou des postures dont nous savons pertinemment que les conséquences, qu’elles soient hypothétiques ou certaines, peuvent mener à des catastrophes personnelles comme collectives. N’ayons pas pour autant le moral en dessous de zéro : la « mort » par piqûre de scorpion n’est pas une fatalité, quel que soit le côté du dard qui nous concerne.Lorsque nous nous sentons prêts à être nous-mêmes enfermés dans ce rôle, un peu de yoga et de sang-froid ne peuvent pas faire de mal. C’est un combat moral, tout personnel, que chacun doit mener. Et lorsque l’on se sait confronté à la bête, à l’incarnation changeante en fonction de lieux et/ou de circonstances bien précis, essayons déjà de les éviter en ne le redécouvrant pas candidement à chaque occasion. Ayons l’honnêteté de l’admettre au moment de clore cette digression : si se faire piquer une fois est presque toujours de la faute du scorpion, se faire piquer quinze fois (jusqu’à l’Antarès !) est très souvent de la responsabilité de la grenouille.
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