Série: La quête du Saint-Graal
"Quand je pense à la chance que vous avez de faire partie d'un clan dirigé par des cerveaux du combat psychologique, qui se saignent... aux quatre parfums du matin au soir !"
Karadoc rejoint Lancelot qui taille une flèche avec son couteau. Karadoc demande si c'est un couteau auquel Lancelot tient, mais ce dernier ne tient apparemment pas à lui parler. Cela n'arrête pas l'expert en nourriture qui explique que son couteau à lui il s'en fiche. Lancelot lui demande s'il se rend compte qu'il n'écoute pas, mais ça ne change rien. Lancelot s'énerve en demandant ce que ça peut faire ce qu'il pense de son couteau, puis cède finalement en expliquant que cet objet lui a été offert par son père le Roi Ban, qu'il le considère comme son porte-bonheur et qu'il lui doit sans aucun doute ses victoires et son courage. Cela laisse Karadoc perplexe, il veut savoir s'il peut l'emprunter, ce à quoi Lancelot répond sèchement qu'il n'a qu'à se trouver un porte-bonheur à lui au lieu de lui casser les pieds.
Dans un souterrain. Arthur s'impatiente car Perceval et lui attendent Karadoc. Ce dernier finit par arriver en faisant du bruit, un chaudron dans les mains. Karadoc dit qu'il est obligé de l'avoir sur lui au cas ou il y ait des méchants. Arthur demande ce qu'on peut faire avec un chaudron, Perceval précise que ce n'est pas un chaudron mais le compotier de la grand-mère de Karadoc. Ce dernier explique que c'est son porte-bonheur, ce qui inquiète Perceval qui lui n'en a pas.
"Tout à l’heure, on a vu que le chapelet de saucisses n’était pas un objet redondant. Et pourtant, on a pu lui trouver une utilisation périmétrique en s’en servant comme un fouet."
Petit Clin d'oeil à Mr. ASTIER et grand merci !