Musée mémorial des parachutistes
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      Le Musée mémorial des parachutistes est le seul musée dépositaire de l'identité de l'ensemble des troupes aéroportées françaises.
Il vous propose de découvrir leur histoire, leurs traditions, leur patrimoine et leur actualité. Ouvert à un large public, le musée retrace l'histoire des parachutistes français depuis leur création, à la veille de la Seconde guerre mondiale, à nos jours. Les troupes aéroportées sont présentées à travers un large panorama historique composé de mises en scÚnes contenant des mannequins équipés, des armes et des véhicules.
Construit sur les bases de la salle d'honneur de lâĂcole des troupes aĂ©roportĂ©es situĂ©e au nord de Pau, il fait partie dâun ensemble qui occupe la Lande du Pont Long, haut lieu de lâhistoire de lâaĂ©ronautique du XXĂšme siĂšcle.
Le Musée mémorial des parachutistes est gratuit pour tous.
Il a la volonté de permettre à un plus grand nombre d'avoir accÚs au riche patrimoine des armées, notamment grùce à l'action des nombreux bénévoles impliqués pour vous accompagner.
Le Musée mémorial :
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Le MusĂ©e mĂ©morial des parachutistes est un musĂ©e de tradition de l'armĂ©e de terre, câest-Ă -dire quâil Ă©tait originellement vouĂ© Ă la formation interne des nouveaux militaires mais quâil sâest progressivement ouvert au public et collabore aujourdâhui avec des rĂ©seaux culturels professionnels.
Le MusĂ©e est situĂ© Ă lâĂcole des troupes aĂ©roportĂ©es (ETAP) au nord de la ville de Pau. FondĂ©e en 1946, lâETAP est une Ă©cole chargĂ©e de former des parachutistes militaires de diffĂ©rents corps de lâarmĂ©e française (armĂ©e de terre, marine nationale, armĂ©e de lâair et gendarmerie) sous la direction de lâarmĂ©e de terre.
Inauguration de la salle d'honneur de l'ETAP en 1964
Le MusĂ©e trouve son origine dans la salle dâhonneur de lâETAP, un espace dâexposition permanent destinĂ© au personnel de lâĂ©cole oĂč sont rappelĂ©s les exploits des anciens et le souvenir de ceux qui se sont sacrifiĂ©s au cours de leur mission. Elle permet de rendre hommage Ă tous ceux qui ont contribuĂ© Ă l'histoire, de perpĂ©tuer les traditions et de les transmettre aux jeunes gĂ©nĂ©rations. La salle dâhonneur en tant que bĂątiment indĂ©pendant Ă lâentrĂ©e de lâĂ©cole a Ă©tĂ© construite en 1964.
En 1984, la salle dâhonneur, de part son importance, devient officiellement un musĂ©e. Le 5 octobre 1997, aprĂšs travaux dâagrandissement, le MusĂ©e des parachutistes est inaugurĂ© sous sa forme actuelle, toujours sur les bases de la salle dâhonneur.
Histoire des troupes aéroportées
Le premier saut en parachute de lâhistoire est effectuĂ© par le français AndrĂ©-Jacques Garnerin (1769-1823), aprĂšs sâĂȘtre dĂ©crochĂ© dâun ballon Ă hydrogĂšne qui soutenait la nacelle dans laquelle il avait pris place le 22 octobre 1797 Ă Paris.
Durant la PremiĂšre Guerre mondiale, la perte de nombreux pilotes et observateurs en ballon pousse les militaires Ă sâintĂ©resser Ă la technique et Ă mettre au point un parachute afin de permettre aux aĂ©rostiers de sâĂ©chapper en cas dâattaque. De nombreux aĂ©rostiers français, obligĂ©s de sauter de leur ballon dâobservation en perdition, durent la vie Ă un parachute, contrairement aux pilotes qui ne furent Ă©quipĂ©s de ce moyen de sauvetage que tardivement.
Les précurseurs et la Seconde Guerre mondiale
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Les soviĂ©tiques sont les premiers au cours des annĂ©es 30 Ă former des unitĂ©s combattantes utilisant le parachute pour aller au combat. En 1935, trois officiers français rejoignent lâUnion soviĂ©tique pour apprendre lâart du saut en parachute : les capitaine Geille et Durieux de lâarmĂ©e de lâair, et le commandant Pechaud Chalret du Rieu de lâarmĂ©e de terre.
Une fois brevetĂ© et rentrĂ© en France, le capitaine Geille prend la charge de la formation des premiĂšres unitĂ©s parachutistes expĂ©rimentales de lâinfanterie de lâair. Il travaille Ă la crĂ©ation du centre dâinstruction de parachutisme de lâarmĂ©e de lâair Ă Avignon-Pujaut. Mais il faut attendre 1936 pour la crĂ©ation de deux groupes dâInfanterie de lâair. Le scepticisme des armĂ©es de terre et de lâair font que ces unitĂ©s ne seront utilisĂ©es que pour des missions secondaires.
LâefficacitĂ© des opĂ©rations aĂ©roportĂ©es allemandes au dĂ©but de la Seconde Guerre mondiale va faire prendre conscience aux alliĂ©s quâils ne peuvent plus nĂ©gliger cette forme de combat. Seront rapidement mises sur pieds des unitĂ©s parachutistes anglaises et amĂ©ricaines au sein desquelles les parachutistes français seront prĂ©sents. Ils prendront ensuite place au sein des Forces Françaises Libres ou au sein des ArmĂ©es dâAfrique.
En septembre 1940 est crĂ©Ă©e en Angleterre par le capitaine BergĂ© la 1Ăšre compagnie dâinfanterie de lâair. Le succĂšs de leurs opĂ©rations donne lâidĂ©e au commandement des FFL dâutiliser les parachutistes au Bureau Central de Renseignement et dâAction (BCRA). Le reste de la compagnie rejoint le Moyen Orient et le Special Air Service (SAS) du Major Stirling. Le Peloton Parachutiste du Levant devient le French Squadron SAS. A cĂŽtĂ© des SAS, la crĂ©ation du 1er RĂ©giment de Chasseurs parachutistes marque la renaissance des parachutistes de lâarmĂ©e dâAfrique.
De son cÎté, le Bataillon de Choc reçoit une formation parachutiste américaine et une formation amphibie anglaise. Les volontaires de toutes armes et de toutes armées qui le composent seront toujours aux avant-postes de la 1Úre Armée française.
Deux unitĂ©s au recrutement trĂšs particulier font aussi leur apparition : dâun cĂŽtĂ©, le groupe des commandos dâAfrique, formĂ© autour dâun noyau de gaullistes dâAfrique du Nord ; de lâautre cĂŽtĂ©, le groupe des commandos de France du capitaine dâAstier de la Vigerie formĂ© dâĂ©vadĂ©s de France. Elles seront dissoutes Ă la fin de la guerre.
In Memoriam : la crypte
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Au cĆur du MusĂ©e mĂ©morial des parachutistes se trouve une crypte en l'honneur des parachutistes qui sont tombĂ©s au combat et des unitĂ©s dissoutes . La crypte est un espace qui existe depuis la crĂ©ation de la salle d'honneur de lâĂcole des troupes aĂ©roportĂ©es (ETAP), autour de laquelle s'est dĂ©veloppĂ© le musĂ©e. Elle est un lieu de mĂ©moire collective et permet aux visiteurs, civils et militaires, d'avoir une pensĂ©e pour tous ceux qui se sont sacrifiĂ©s.
La crypte est divisée en plusieurs espaces. A gauche et à droite, sont exposés les fanions des unités parachutistes dissoutes de la Seconde Guerre mondiale, de la Guerre d'Indochine, de la Guerre d'Algérie et du monde contemporain.
Au centre se trouve un marbre oĂč est gravĂ©e une partie de la priĂšre du para de l'Aspirant Zirnheld, encadrĂ© par cinq drapeaux de rĂ©giments parachutistes dissous (14e RĂ©giment de chasseurs parachutistes - RCP, 3e RCP, 9e RCP, 18e RCP et 2e RĂ©giment de Parachutistes coloniaux). Au dessus des drapeaux, deux reliques symboliques sont exposĂ©es : d'un cĂŽtĂ©, une boĂźte contenant de la terre de Dien Bien Phu, bataille de la fin de la guerre d'Indochine qui s'est dĂ©roulĂ©e de novembre 1953 au 7 mai 1954 oĂč ont pĂ©ri prĂšs de 2 300 hommes dans les rangs français ; et d'autre part, une pierre de l'immeuble Drakkar Ă Beyrouth oĂč ont pĂ©ri 58 parachutistes des 1er et 9e RCP lors d'un attentat le 23 octobre 1983.
Le livre des morts
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A l'entrĂ©e de la crypte se trouve le livre des morts oĂč sont inscrits les noms de tous les parachutistes morts au combat depuis la crĂ©ation des premiĂšres unitĂ©s parachutistes françaises durant la Seconde Guerre mondiale.
Livre des morts oĂč sont inscrits tous les parachutistes morts pour la France
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La 11Ăšme Brigade Parachutiste, la brigade de lâurgence
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HĂ©ritiĂšres des unitĂ©s aĂ©roportĂ©es du second conflit mondial, puis des bataillons parachutistes qui se sont illustrĂ©s en Indochine, les 10e et 25e divisions parachutistes ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es en 1956, respectivement aux ordres des gĂ©nĂ©raux Massu et Sauvagnac, durant le conflit algĂ©rien. Ces divisions sont dissoutes en 1961 pour donner successivement naissance Ă la division lĂ©gĂšre dâintervention, Ă la division dâintervention en 1963, Ă la 11e division parachutiste en 1971, puis enfin Ă la 11e brigade parachutiste en 1999.
Forte de 8 500 hommes et femmes, tous parachutistes, la 11e BP est une des brigades interarmes des forces terrestres. Comme les autres grandes unitĂ©s, elle est appelĂ©e Ă sâengager dans le cadre des missions intĂ©rieures, sur le territoire national, Ă participer au dispositif des forces prĂ©-positionnĂ©es dans les DOM/COM, en Afrique et aux Ămirats Arabes Unis, enfin Ă intervenir sur les thĂ©Ăątres dâopĂ©rations extĂ©rieures.
La 11e BP est la seule brigade Ă disposer dâune capacitĂ© de mise Ă terre par la 3e dimension, ce qui la qualifie naturellement pour tous les types de missions nĂ©cessitant lâengagement des troupes aĂ©roportĂ©es :
- intervention dans lâurgence Ă langue distance ;
- interventions en zones dâaccĂšs difficile ;
- rĂ©tablissement dâune zone aĂ©roportuaire ;
- réserve interarmes dans des conflits aux contours incertains.
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Composition
La 11e BP est composĂ©e dâun Ă©tat-major (dont un poste de commandement aĂ©rolargable G08), dâune compagnie de commandement et de transmissions parachutiste, de 8 rĂ©giments, dâune Ă©cole (ETAP) et dâun centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM 11). La 11e BP est dĂ©ployĂ©e dans le grand Sud-Ouest : son Ă©tat-major est stationnĂ© Ă Toulouse et ses rĂ©giments se rĂ©partissent entre Tarbes, Pamiers, Castres, Carcassonne, Montauban et ToulouseâŠexception faite du 2e REP stationnĂ© Ă Calvi.
Les unitĂ©s de la 11e BP aujourdâhui
Cliquer sur lâinsigne pour accĂ©der Ă la page Facebook de lâunitĂ©.
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Le 35Ăšme RĂ©giment d'Artillerie Parachutiste
Le 35Ăšme RĂ©giment d'Artillerie Parachutiste, situĂ© Ă Tarbes, est lâunique rĂ©giment dâartillerie parachutiste de lâarmĂ©e française. Il est un rĂ©giment dâappui de la 11e BP, arme lâĂ©chelon national dâurgence des troupes aĂ©roportĂ©es. Il est crĂ©Ă© Ă Vannes en 1873. Il prend part aux combats de la PremiĂšre Guerre mondiale, de la Seconde Guerre mondiale (notamment Ă Dunkerque), en Indochine et en AlgĂ©rie. RĂ©giment d'appui de la 11e BP, il fournit de multiples capacitĂ©s d'appuis feux et d'intĂ©gration des intervenants.
Devise :Â Droit devant |
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Le 1er RĂ©giment de Chasseurs parachutistes
Le 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes, situé à Pamiers, est constitué en 1943 au Maroc. Il est le plus ancien régiment parachutiste français. Il est issu de la premiÚre Compagnie d'Infanterie de l'Air formée en 1941en Algérie, à partir des effectifs des Groupements d'Infanterie de l'Air récemment dissous. On le trouve dÚs les campagnes de libération de la France, puis en Indochine et en Algérie.
Devise :Â Vaincre ou mourir |
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Le 2Ăšme RĂ©giment Etranger de Parachutistes
Le 2Ăšme RĂ©giment Etranger de parachutistes, situĂ© Ă Calvi, est le seul rĂ©giment de la LĂ©gion Ă©trangĂšre encore en activitĂ©. CrĂ©Ă© en 1948 en AlgĂ©rie, il est notamment le seul rĂ©giment de la brigade Ă former et Ă breveter lui-mĂȘme ses personnels aux techniques parachutistes grĂące Ă son Centre d'EntraĂźnement au Saut. Il sert en Indochine, en AlgĂ©rie et s'illustre particuliĂšrement en 1978 lors de l'opĂ©ration Bonite au ZaĂŻre.
Devise :Â More Majorum |
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Le 3Ăšme RĂ©giment Parachutiste d'Infanterie de Marine
Le 3Úme Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine est situé à Carcassonne. Il a été créé en 1948 à Vannes et a porté successivement les noms de 3Úme Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes, 3Úme Bataillon de Parachutistes Coloniaux (1951) et de 3Úme Régiment de Parachutistes Coloniaux. Il est s'est particuliÚrement illustré au cours de la guerre d'Indochine, grand moment des parachutistes coloniaux, mais on le retrouve aussi au cours du conflit d'Algérie.
Devise :Â Ătre et durer
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Le 8Ăšme RĂ©giment Parachutiste d'Infanterie de Marine
Le 8Úme Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine, situé à Castres, a été créé en 1951 en Indochine sous le nom de 8Úme bataillon de parachutistes coloniaux. Il a participé à toutes les opérations militaires conduites par la France, d'Indochine en Algérie, d'Afrique au Moyen-Orient en passant par le Centre Europe.
Devise :Â Volontaire |
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Le 1er RĂ©giment de Hussards Parachutistes
Le 1er Régiment de Hussards Parachutistes, situé à Tarbes, est un régiment de cavalerie blindée français. Il est le seul régiment blindé de la 11e BP. Il a été créé en 1720 comme le 1er régiment de hussards. Il devient en 1946 le 1er régiment de hussards parachutistes.
Devise : Omnia si perdas, famam servare memento ("Si tu as tout perdu, souviens-toi qu'il reste l'honneur") |
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Le 1er RĂ©giment du Train Parachutiste
Le 1er RĂ©giment du Train Parachutiste, situĂ© Ă Francazal, est spĂ©cialisĂ© dans la livraison par air. Il est le seul rĂ©giment de lâarmĂ©e de terre spĂ©cialisĂ© dans lâappui Ă la projection et au soutien par voie aĂ©rienne (aĂ©rotransport, aĂ©roportage, aĂ©rolargage). CrĂ©Ă© en 1999, il assure tout type de largages : de personnel et de matĂ©riel. Il assure aussi le pliage et lâentretien des parachutes Ă matĂ©riel. Il est l'un des instruments privilĂ©giĂ©s de lâengagement dâurgence.
Devise :Â Par le ciel, partout, pour tous |
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Le 17Ăšme RĂ©giment du GĂ©nie Parachutiste
Le 17Ăšme RĂ©giment du GĂ©nie Parachutiste est situĂ© Ă Montauban. Il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1946 en AlgĂ©rie, hĂ©ritier des sapeurs de 17e RĂ©giment colonial du gĂ©nie qui franchirent le Rhin en 1945. Il assure toutes les missions du GĂ©nie dâassaut parachutiste dans un cadre dâemploi aĂ©roportĂ©, hĂ©liportĂ©, mĂ©canisĂ©. Il dĂ©tient une capacitĂ© unique en Europe qui consiste Ă rĂ©tablir ou crĂ©er une piste dâatterrissage. Sa vocation lui permet de larguer soldats et engins sur des zones inaccessibles par la route. Cette spĂ©cificitĂ© garantie aux ArmĂ©es de disposer dâune plateforme aĂ©roportuaire partout dans le monde.
Devise :Sapeur suis, para demeure |
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La 11Ăšme Compagnie de Commandement et de Transmissions Parachutiste
La 11Ăšme Compagnie de Commandement et de Transmissions Parachutiste est localisĂ©e Ă Toulouse. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1999 suite Ă la dissolution de la 14Ăšme Compagnie Trans Para du 14Ăšme RĂ©giment Parachutiste de Commandement et de Soutien. Elle a pour vocation dâapporter le soutien au QG de la 11e BP et de complĂ©ter les moyens de transmissions des rĂ©giments si nĂ©cessaire. |
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CFIM 11e BP
Le Centre de Formation Initiale des Militaires du rang de la 11e BP est situĂ© Caylus. CrĂ©Ă©s en 2010, les CFIM sont chargĂ©s dâassurer la formation gĂ©nĂ©rale initiale de lâensemble des engagĂ©s volontaires initiaux de lâarmĂ©e de Terre durant 12 semaines. |
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L'Ecole des troupes aéroportées
LâEcole des troupes aĂ©roportĂ©es est chargĂ©e de la formation des parachutistes des trois armĂ©es et de la gendarmerie. Elle est est situĂ©e sur le camp Aspirant Zirnheld au nord de la ville de Pau (voir la page dĂ©diĂ©e Ă lâETAP). Elle trouve son origine Ă la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la crĂ©ation dâun centre Ă©cole des troupes aĂ©roportĂ©es (CETAP) le 16 avril 1946. Le 1er juin 1947, le CETAP devient lâETAP. Elle est chargĂ©e de la formation individuelle et collective, technique et tactique des parachutistes, cadres ou militaires du rang des trois armĂ©es et de la gendarmerie. |
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Horaires :
Le musée est ouvert tous les jours, de 14 heures à 17 heures.
Accueil des groupes sur réservation le matin de 09 heures à 12 heures.
Fermetures exceptionnelles :
1er janvier 1er mai 1er novembre 25 décembre
Durée moyenne de visite : de 1 heure 30 à 2 heures. DerniÚre visite conseillée 1 heure avant la fermeture.
Visite générale :
Lors de la visite du musĂ©e, vous ĂȘtes accompagnĂ© d'un bĂ©nĂ©vole de la SociĂ©tĂ© des Amis du MusĂ©e des Parachutistes. La visite dure environ 1 heure et demie.
Vous avez aussi la possibilité de visiter librement le musée, à votre rythme, sans guide.
L'histoire des troupes aéroportées est illustrée sous la forme de cinq tableaux, ponctués par des films explicatifs (disponibles en français, en anglais, en espagnol ou en allemand).
Accessibilité
Le parking, situé en face du musée, est gratuit et accessible aux voitures, autocars et vélos.
Le musée est accessible aux poussettes.
Pour le confort de la visite, nous vous conseillons de venir 1 heure et demie avant la fermeture
L'ensemble du musée est accessible aux personnes à mobilité réduite. La visite du musée est de plain pied avec de larges espaces de circulation.
Les chiens-guides sont acceptés dans le musée. Un fauteuil roulant est disponible à l'accueil du musée sur demande.
RĂ©glement
Habillement
LâentrĂ©e au MusĂ©e mĂ©morial nâest autorisĂ©e quâaux visiteurs habillĂ©s de maniĂšre respectueuse.
Bagages, sacs et sacs Ă dos
Le MusĂ©e mĂ©morial ne dispose pas de vestiaire, ni de consigne, aussi les bagages, et les sacs dont lâune des dimensions exceÌde 40 centimeÌtres sont interdits. Pour les petits sacs aÌ dos une toleÌrance est accordeÌe sous reÌserve que ceux-ci soit tenus obligatoirement aÌ la main ou devant soi.
Couteaux, ciseaux ou autre
Pour garantir la sécurité des visiteurs et la protection du patrimoine artistique, le Musée interdit l'introduction d'objets pointus, tranchants ou contondants.
La documentation
Le Musée mémorial des parachutistes étend sa mission de sauvegarde de la mémoire des troupes aéroportées à travers sa bibliothÚque et son centre de documentation.
Le musĂ©e possĂšde une grande collection dâouvrages spĂ©cialisĂ©es (prĂšs de 1400 livres) sur les unitĂ©s aĂ©roportĂ©es et plus largement sur les conflits contemporains auxquelles elles ont participĂ©. Vous pourrez consulter les dossiers documentaires constituĂ©s au fil des ans par des bĂ©nĂ©voles et des passionnĂ©s.
Le musée possÚde également une collection de photographies anciennes, datées de la veille de la Seconde guerre mondiale à nos jours.
Que vous soyez Ă©tudiant, universitaire, chercheur ou historien, nâhĂ©sitez pas Ă contacter le musĂ©e afin de dĂ©couvrir les richesses de sa bibliothĂšque et de son centre de documentation.
La consultation des archives se fait sur rendez-vous.