Dans les sous-sols de Lyon se cache un des plus grands mystères lyonnais. Une énigme archéologique qui, au niveau de son étrangeté et de sa construction pourrait faire passer les pyramides de Gizeh pour des travaux d'amateurs. Malgré cela, les archéologues officiels semblent décidés à ne faire aucune fouille et à ignorer cette énigme.
Une architecture unique...
Une datation problématique...
Une utilité inconnue...
Plusieurs m3 de restes humains...
Une rétention d'information…
Un système souterrain unique en Europe
Sous le flanc ouest de la colline de la Croix-Rousse se cache un immense réseau souterrain de galeries creusé plusieurs siècles auparavant.A environ 40 m sous terre se trouvent 2 galeries superposées d’une longueur de 150 m reliées entre elles par 16 puits, Au droit de ces puits, des galeries d’une longueur d’environ 30 m en cul de sac s’ouvrent de part et d’autre de la galerie supérieure. Ces galeries latérales sont toutes similaires, elles sont en pierre de taille (comme tout le réseau) et elles font 2 m de large pour 2 m de haut, ce sont ces galeries et cette forme particulière qui ont donné au réseau le nom d’ « arêtes de poisson ».
Du puits supérieur s’ouvre une galerie dans laquelle veille « le gardien ». Il s’agit d’une moraine version réduite du « gros Cailloux » du boulevard au-dessus. Cette galerie nous conduit à un nouveau réseau baptisé « réseau des fantasques ». Il est composé de deux galeries parallèles (les antennes) entre lesquelles on découvre de grandes salles. Nous ne connaissons pas les véritables longueurs de ces galeries (seul environ 300m pour chacune des galeries est accessible), des éboulements empêchant l ‘exploration complète du réseau. Une exploration qui ne semble pas intéresser les archéologues, ces terminaisons étant aujourd’hui maçonnées…
L’architecture ainsi que les éléments constitutifs des galeries montrent que tout cela ne forme qu’un seul et même ensemble.
Qui a pu créer ce réseau ?
L’utilité de ce réseau ?
Des fragments de bois retrouvés au niveau du coffrage du réseau ou dans le mortier seront prélevés en différents points du réseau. Les analyses seront réalisées par deux laboratoires distincts. Puis le résultat va tomber : sur les 4 échantillons analysés, trois d’entre eux date du changement d’ère, le dernier étant mesuré comme datant probablement du IVème siècle avant J.-C.
- Pourquoi aucune trace dans les écrits romains et notamment « La guerre des Gaules » de César ?
- Pourquoi ne trouve-t-on aucune construction similaire dans l'empire romain ?
- Pourquoi, avant la mesure, des spécialistes de cette époque estimaient-ils que cette réalisation n’était pas romaine ?
Même les archéologues sont étonnés des résultats des datations…
Walid Nazim émet l'hypothèse que le trésor des Templiers aurait été caché à Lyon dans ces souterrains
.
Si trésor il y avait il a été récupéré.
Qui ? Quand ? Comment ? De quoi était-il composé ?
Seule la réponse au « quand ? » nous est connue, la capsule du temps des arêtes est aujourd’hui vide
Quant aux autres questions, nous n’aurons probablement jamais les réponses...
Revenons à votre quête moderne et votre mystère # 5
Je vous invite à découvrir d'autres types de poissons, si vous arrivez à tous les reconnaitre, vous aurez les coordonnées de la cache finale.
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