A la fin du 19éme siècle, l'artillerie fut installée sur le pont supérieur et l'intérieur des canons (rendu de ce fait plus vulnérable aux embruns) fut protégé par des tapes circulaires à vocation utilitaire, progressivement décorées aux armes du bâtiment, filetées sur la tranche et vissées sur la bouche des pièces. Une tape de bouche est donc à l'origine (plûtot récente) un bouchon fermant la gueule d'une pièce d'artillerie (en bois, métal ou caoutchouc) et qui protège celle-ci de l'humidité, des embruns et des paquets de mer (Wikipédia). Les tapes de bouches des grands bâtiments furent gravées aux armoiries de l'unité, et ces objets sont devenus avec le temps des objets de tradition des marines de guerre. Même les unités qui ne portent pas d'artillerie (comme les sous-marins ou notre Porte-avions) ont néanmoins leur propre tape de bouche symbolique.
Sur les milliers et milliers existantes, je vous propose 200 tapes de bouche. Elles apparaissent toutes chaque jour à intervalle régulier mais avec une fréquence variable (de 1 à 2 fois pour les moins fréquentes à 15 ou 16 fois pour d'autres). Hormis une seule (nombre de 15 chiffres), elles portent toutes un nombre de 12 chiffres. Le cumul de ces 200 nombres affichera les coordonnées finales (au format classique : DDMMmmmDDDMMmmm). Les fonds colorés utilisés sont liés à la fréquence.
C'est parti ! Vous avez 24 heures chrono,
pas une minute de plus !