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Fondeur de cloche Multi-Cache

Hidden : 4/6/2019
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
3 out of 5

Size: Size:   regular (regular)

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Geocache Description:


        Un peu d’histoire ….

  Le métier de saintier ou fondeur de métal est très ancien, mais jusqu’à l’aube du XIXème siècle, il était exercé de manière itinérante. 


On trouve trace d’une fonderie de cloche à Coutouvre entre 1848 et 1890.

 

C’est en effet en 1848 que Benoît Marie Victor créa une fonderie à Coutouvre et s’y établit avec son frère Philibert, de deux ans son cadet.  Leur jeune frère, Claude né en 1835, vint les rejoindre pour apprendre le métier.

 

Auparavant  Benoît Marie Victor, travaillait avec son père depuis son plus jeune âge en qualité de fondeur de cloches itinérant.

 

On sait qu’en 1845 ils fondirent une première cloche pour l’église de Coutouvre.

 Le décès Jean-Claude le père  survint en 1847 et vit la fin de l’itinérance.

Les Burnichon de Coutouvre ont fondu des cloches dans tout le département de la Loire,des cloches qui sonnent dans toute l’Auvergne, et même jusqu’à Mende en Lozère.
Jusqu’à la limite de la Haute-Loire. Les clochers de St-Genets-Malifaux ou de St-Bonnet-le-Château en témoignent. On trouve aussi des cloches signées Burnichon en Saône-et-Loire, 
dans le Brionnais ou le Charolais.

 Mais la fonderie de Coutouvre ne parvenait plus à répondre à la demande et Benoît Marie Victor demanda à ses frères Philibert et Claude de prospecter en direction de l’Ouest. Ils allèrent s’installer à Montferrand, où une fonderie Burnichon Frères fonctionna jusqu’en 1900. En sortirent des cloches qui sonnent dans toute l’Auvergne, et même jusqu’à Mende en Lozère.

 

 

Et voilà …. Une histoire

En des temps très anciens voici  cette histoire   que l’on raconte encore de nos jours.

 Une tradition orale est née dans la région , au milieu des sapins du Haut-Beaujolais. Depuis des siècles elle circule dans le Roannais et dans le Beaujolais et rapporte une histoire dans laquelle il est question des frères Burnichon,  d’une affaire de fausse monnaie, de condamnation et de fonderie de cloches.

Deux frères Burnichon vivaient dans la région au  Moyen-Age. Ce n’était pas des gens très fréquentables puisqu’en ces temps où tout le monde fréquentait les églises, le curé écrivit à son évêque que les frères Burnichon étaient  des « mauvais chrétiens ».

Les frères Burnichon auraient payé la boulangère du village avec un «  louis d’or en cuivre encore chaud ».
       Dénoncés par la boulangère et poursuivis par la maréchaussée, ils s’enfuirent à travers champs et jetèrent la «  boîte à louis » . 
Ils furent rattrapés, appréhendés et jetés en prison.Ils auraient dû être condamnés à mort, ou, au mieux, finir leur vie aux galères.

 Il n’en fut rien : le seigneur (certains disent le roi) fut séduit par la qualité du travail des contrefacteurs, et prononça le jugement suivant, qui a traversé les siècles :

Les frères Burnichon,  passés maîtres dans l’art de fondre les métaux, sont condamnés, pour la gloire de Dieu et le salut du roi de France à établir une fonderie de cloches.

 

A la recherche de la boite à Louis

La boite à Louis n’a apparemment pas  disparu et serait bien encore à Coutouvre  la famille Burnichon l’aurait gardé en un lieu secret, mais il y a quelque indices pour la trouver!

 

Les coordonnées sont sous la forme :

 

N46°04.XXX  et   E4°12.YYY

 

Étape 1 : Maison de la famille Burnichon

 

La famille des fondeurs de cloche avait fait construire une belle maison, dont le toit évoque la forme d’une cloche , vous voici devant notez le nombre de fenêtre en façade ce qui donnera : A

 

Étape 2 : La boulangerie

 

Vous voilà devant la boulangerie , aucune rancune envers la boulangère qui a dénoncée les frères , ils avaient mérité leur punition. Notez le numéro de la boulangerie ce qui donnera : B

 

Étape 3 : Monument funéraire

Benoît Marie Victor rendit l’âme à Coutouvre le 5 novembre 1897, à l’âge de 75 ans. Son épouse Benoîte Desaye l’avait précédé dans la tombe en juin 1881. Il a laissé un monument funéraire daté de 1881 qui attire l’attention des passants : une cloche en béton  dépassant le mur de clôture du cimetière, et sous laquelle reposent les corps de trois générations de Burnichon.

Ici notez l’année de naissance de Ferdinand ce qui donnera : C

 

Vous voila avec touts les indices, il ne reste que quelque petite opération pour avoir les coordonnées précises :

XXX= ( A+B+C) - 1175 et YYY= (C - B - A) - 771

Remplacer pour les coordonnées :

N46°04.XXX et E004°12.YYY

 

Vous voici en possession du secret de la famille Burnichon ,  vérifiez quand même dans le chécker les coordonnées et  allez découvrir le trésor !

 

Additional Hints (No hints available.)