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Tour de Saint-Laurent-de-Chamousset Multi-cache

Hidden : 2/19/2019
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:


Projet des BTS Tourisme promotion 2018/2020 de la MFR de Saint-Laurent-de-Chamousset :

Dans le cadre de leur formation, les étudiants ont élaboré un circuit de géocaching : Le Malheureux et le Faisan. Ils ont été aidés par 2 géocacheurs : les4pat et Lomerca31.

Ce parcours a pour objectif de vous faire découvrir le patrimoine de notre territoire.

Le jour du lancement du circuit, les étudiants vont présenter le géocaching à différents partenaires touristiques de la MFR. Ceci va permettre de créer un moment de convivialité avec eux et de montrer leur savoir-faire en matière d’organisation d’évènements.

Cette multi d'une longueur de 2 km environ (du parking à la cache finale puis retour au parking) à pied est ponctuée d'une histoire créée par les étudiants et d'informations touristiques.

Les boîtes ont été créées par les élèves de 4ème de la MFR promotion 2018/2019.

Altitude maximum de 647 mètres. Altitude minimum 607 mètres.

Dénivelé cumulé positif de 36 mètres. Dénivelé cumulé négatif de 34 mètres.

Ils ont réalisé un autre circuit : le Malheureux et le Faisan (6 caches formant une boucle de 2,5 km) - CMF #01 (GN83NYA) à CMF #06.




« Bonjour les géocacheurs, je suis le comte Jean de Saint Symphorien, seigneur de Saint Laurent de Chamousset depuis le XVème siècle. Venez découvrir avec moi les mystères cachés et résoudre des énigmes qui vous emmèneront jusqu’au bout de la découverte de ce territoire.

Veuillez-vous garer au parking, là où je vous attends pour commencer notre aventure. »

Stage 1 :

« Je vous emmène voir un des anciens lavoirs publics de la commune qui en possédait au moins deux. De mon temps, la noblesse et les riches faisaient laver leur linge par des lavandières et des lingères attachées à la maison des maitres. Mais les gens du peuple lavaient peu leur linge. Plus tard, au 19ème siècle, on commence à avoir des préoccupations hygiénistes et les communes s’équipent. Elles édifient des lavoirs municipaux, comme plus tard encore, elles construiront des toilettes ou des douches publiques. En attendant ces temps modernes, la lessive est faite, dans de nombreuses régions, deux fois par an. Comme les moissons et les vendanges, elle entre dans la catégorie des grands travaux !! Le linge est dégraissé à la maison où à la ferme et tout le monde donne la main car c’était un travail dur ! On emprunte pour l’occasion le grand chaudron des cochons pour faire bouillir le linge. Lorsque c’est fait, les hommes de la maison chargent le tout dans la carriole et en route vers le lavoir !!! Toute la maisonnée est de la partie, même les enfants, surtout les enfants d’ailleurs, parce qu’ils attendent beaucoup de cette journée à patauger dans l’eau et espèrent un bon repas sur l’herbe ce qui est toujours le cas, car à la campagne les grands travaux sont toujours une occasion de ripailler avec ses amis et voisins ! Une fois les baquets de linges posés dans l’herbe les hommes vont vaquer à leurs occupations et laissent les femmes entre elles ! Tout en commençant à rincer le linge, elles parlent, mais elles parlent !!! Les réputations sont faites et défaites, les fiançailles entre deux familles, arrangées et les mariages futurs ou déjà célébrés, commentés dans les moindres détails, y compris les plus intimes, Bref, on apprend tout sur tout !!!

Lorsque le linge est propre on l’étend sur l’herbe au soleil pour le blanchir et puis on s’installe pour déjeuner ! Une petite sieste et on va arroser le linge pour que le travail de blanchiment se poursuive. Les pièces déjà sèches sont pliées et rangées dans la carriole. Quand tout est terminé, on rentre à la maison, tous ensemble, en chantant et contents de cette bonne journée de vacances au bord de l’eau !!!! »

Dirigez-vous vers ce site et répondez à la question suivante :

Combien voyez-vous de toits qui surplombent le lavoir ?

Réponse : S = ?

Stage 2 :

« Continuez à arpenter les petits chemins de Saint Laurent de Chamousset, pour ensuite vous retrouver devant l’Eglise, où vous rencontrerez Saint Laurent, un martyre mort brûlé pour sa foi.

C’est le cœur du village… L’architecture de l’église est majoritairement néo-classique, caractérisée par La symétrie de sa façade réhaussée de calcaire jaune du Beaujolais. Traditionnellement, tout le village devait être présent à la messe. Si par malheur on était malade, on devait obtenir une dispense du prêtre pour s’absenter, tout comme les jeunes accouchées qui ne pouvaient se rendre à l’église que pour les relevailles, c’est -à-dire 40 jours après l’accouchement, si elle a eu un garçon, 80 si c’est une fille ! Elles devaient se faire « purifier » par le curé avant de rejoindre la communauté des fidèles.

L’église est dédicacée à Saint Laurent, un diacre d’origine celtibère et saint martyr. Sa statue porte la dalmatique caractéristique de sa charge dans l’église et la palme qui indique qu’il a souffert pour sa foi. Vers 250 après J-C, lors des persécutions engagées par l’empereur Valérien contre les chrétiens, saint Laurent est martyrisé par le feu c’est pourquoi il est représenté tenant un « grill » à la main, l’instrument de son supplice. C’est son rôle de diacre, soit l’équivalent d’un trésorier, du pape Sixte VII, qui lui vaut d’être arrêté. En effet le préfet de Rome voulait que Laurent lui remette les richesses de l’Eglise. Mais Laurent refuse et préfère tout distribuer aux pauvres. Pour se venger le préfet le condamne à une mort particulièrement cruelle. Saint Laurent deviendra ainsi le saint patron des pauvres et est fêté aux alentours du 10 aout. »

Après avoir découvert cette somptueuse bâtisse, répondez à la question suivante :

Quelle est la date inscrite sur la façade de l’église ?

Réponse : L = ?

Stage 3 :

« Sortez ensuite du cœur de Saint Laurent pour trouver une porte ornée d’un trompe-l’œil montrant une architecture de l’antiquité sur votre droite. De l’autre côté de la rue, vous apercevrez la place du plâtre où s’est longtemps tenu le fameux marché aux veaux de Saint Laurent. En 1497 j’ai obtenu de mon bon roi Charles VIII, le droit de fonder à Saint Laurent un marché tous les lundis et trois foires annuelles. Quel honneur pour ma Maison et mes paysans de pouvoir vendre dans leur paroisse le produit de leur labeur et profiter de ce commerce pour échanger avec d’autres marchands ! Les revenus de ces marchés sont considérables pour la paroisse et la contrée toute entière et le succès ne s’est pas démenti puisque en 1584 j’ai établi un marché aux veaux gras qui existe encore à Saint Laurent, bien qu’il ait été déplacé dans un lieu qui lui est mieux adapté e que les veaux gras ont laissé la place aux veaux à engraisser !

La nouvelle halle aux veaux est installée à l’entrée sud du village, une cache y est installée. N’hésitez pas à vous y rendre ! »


Lorsque vous arrivez au trompe-l’œil, veuillez répondre à la question suivante :

Combien voyez-vous de piliers sur le trompe-l’œil ?

Réponse : C= ?

Stage 4 :

« Continuez à descendre la rue et vous trouverez la bascule de Saint Laurent, elle est mise en valeur sur la place neuve et est maintenant un ornement du village. Elle est liée à un impôt municipal pour divers produits importés dans la ville en fonction de leur poids : l’octroi. C’est l’ancêtre de la TVA. Avant de se rendre au marché, il fallait faire peser les produits, ce qui donnait une source de revenus à la commune puisque c’était un service payant. Après la suppression de cette taxe en 1943, ces mécanismes ont perdu de l’importance mais seront toujours utilisés en libre-service. Les bascules seront remplacées par des ponts à bascule. »

Après cet historique, veuillez regarder le mécanisme à l’intérieur :

Combien voyez-vous de machine(s) à l’intérieur de la bascule ?

Réponse : M = ?

Stage 5 :

« Descendez ensuite vers le rond-point général de Saint Laurent de Chamousset pour ensuite prendre la première rue à gauche. Essayez de retrouver ce trompe-l’œil :

Car vous rencontrerez mon ami Gabriel Fougerouse, maire de Saint Laurent de Chamousset de 1945 à 1963, décoré de l’insigne de chevalier de la légion d’honneur et de sa femme qui succédé à son mari de 1963 à 1971 et a été la première femme maire dans le canton de Saint Laurent. Elle a été décorée de l’insigne de chevalier dans l’ordre national du mérite et son but était de garder les jeunes dans le pays. Une salle lui est dédié à cet endroit. Ces deux personnages se trouvent près de l’ancien hôpital qui est aujourd’hui une maison de retraite et accueille 120 résidents.

Un hospice est signalé à Saint Laurent sous le vocable hospice Saint Bonnet dès le moyen -âge. Comme de nombreux hospices, il était avant tout destiné à accueillir des pauvres et des pèlerins c’est pourquoi ils étaient presque toujours implantés le long des routes et des voies. L’hospice Saint Bonnet est placé sur la Via Bolena qui passait par Saint Laurent. Les hospices et hôtels Dieu de ce temps-là, et encore longtemps après, étaient tenus par des religieuses, il y avait peu ou pas du tout de médecin car on ne « soignait » pas vraiment les malades. Ils étaient accueillis et nourris en laissant à Dieu le soin de les guérir… ou pas !

C’est avec la médecine et surtout la chirurgie moderne que des établissements bien équipés sont construits partout sur le territoire afin que tous les citoyens français bénéficient des meilleurs soins sans être obligés d’aller trop loin ! L’hôpital de Saint Laurent répond encore aujourd’hui aux besoins de la population locale en accueillant nos aînés pour leurs vieux jours.

N'hésitez pas à découvrir un point de vue en longeant l’ancien hôpital.

Ils ont réalisé un autre circuit : le Malheureux et le Faisan (6 caches formant une boucle de 2,5 km) - CMF #01 (GN83NYA) à CMF #06

Lorsque vous atteignez la salle, répondez à la question suivante :

Quel est le numéro de rue de la salle Suzanne Fourgerouse ?

Réponse : F= ?
Stage 6 :

« Remontez vers la croix de mission en métal, travaillée avec soin par les artisans de l’époque (XIXème siècle). A la Révolution et durant l’Empire, la France s’est déchristianisée. A la restauration (1815), le Roi Louis XVIII a voulu redonner à la France ses valeurs chrétiennes. Grâce aux dons de riches propriétaires, de nombreuses croix ont été installées aux croisements de chemins, afin de rendre la religion plus présente au quotidien. Outre la date de la fondation, on peut admirer l’ornementation qui reprend des thématiques rurales importantes aux yeux de ce peuple de cultivateurs ! Des épis de blé et des grappes de raisin, soit le pain et le vin de la liturgie catholique ! L’utilisation abondante du métal illustre les progrès de la métallurgie à l’aube de la révolution industrielle et la volonté du donateur d’offrir un objet de valeur. »

Admirez cette belle croix et répondez à la question suivante :

Quelle date est inscrite sur la croix en métal ?

Réponse : R= ?


Maintenant que vous avez trouvé toutes les réponses aux questions posées, nous vous proposons de faire un calcul pour trouver la boîte finale.

N 45 ° F*C+M*M . F*C+432’

E 004° R-L+M . F*S*C+668’

Vous pouvez vérifier votre solution avec le checker ci-dessous :

GeoCheck.org


Additional Hints (Decrypt)

Gbhg rfg qnaf yr purpxre.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)