Cette série de 12 caches s’inscrit dans le cadre du « Challenge Me 2019 » de Jalapéno (GC80Z1J). Le défi nous est lancé par le diabolique Diabolito et consiste à publier en 2019 une cache par mois…
De fait, même si elles formeront à terme une série cohérente, elles sortiront au compte-gouttes…
Cette série va faire le lien entre deux activités dans lesquelles nous avons plaisir à nous investir. Le géocaching, bien sûr, mais aussi la défense de l’environnement. Nous allons nous appuyer sur un travail extraordinaire réalisé par notre ami Christian Torcheux (groupe énergie de la Vallée du Gapeau en transition) qui a consisté à inventorier toutes les traces de la belle histoire du Gapeau et de l’homme (moulins, barrages, canaux, turbines…). Le but de cette étude est de chercher des opportunités pour utiliser le fleuve afin de développer des énergies alternatives. En route pour cette immersion dans toutes ces richesses patrimoniales…
Pour chaque cache nous donnerons la parole à Christian pour qu’il nous en dise un peu plus sur l’histoire du lieu.
Le mot de Christian
«Ce barrage de 4m de haut situé sur la commune de Méounes les Montrieux au cœur de la forêt domaniale était à l’origine le point de départ d’un canal sur la rive gauche qui alimentait 600m plus bas l’écluse dite « de Cerisy ».
C’est un site aquatique ou il y a des poissons et écrevisses endémiques protégées.
On trouve aussi une faune remarquable tel l’un des plus petit mammifère du monde ,le suncus étruscus, musaraigne méditerranéenne de 3g à l’âge adulte mais aussi le campagnol provençal, la chouette effraie, le héron cendré, le chevalier guignette, le cingle plongeur*, la chouette hulotte, le martin pécheur et la bergeronnette.
Ce sont les moines de Montrieux le vieux en 1230, à quelques kilomètres en amont de ce barrage, qui ont commencé les premiers travaux d’irrigation depuis l’occupation de la vallée durant la période romaine.
*(La présence du cingle est un signe d’une eau de bonne qualité) »