Après 90 ans de bons et loyaux services, la desserte ferroviaire de la commune, ne devenait donc plus qu’un souvenir. Pendant encore presque 30 ans, le train allait passer sans s’arrêter hissant sur le plateau ardéchois les matières premières nécessaires aux entreprises de la région annonéenne et descendant une file de wagons de bois pour transformation. Il y avait jusqu’à 6 mouvements par jour.
TEXTE : Michel PIN
LE TRAIN DU 20 MAI 1979
https://www.vernosc.fr/Nouvel-article,466.html?id_document=1145