Skip to content

12 JUILLET 1998 - 20 ANS Mystery Cache

Hidden : 7/12/2018
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:


 

 

 

 

Les coordonnées indiquées ne sont pas celles de la cache

 

 

 

France, 10 juin 1998, la 16ème Coupe du monde démarre avec le match Brésil-Ecosse (2-1). La France, pays hôte, n’est pas favori et son entraîneur Aimé Jaquet est très critiqué…. Et pourtant, les deux équipes s’affronteront en finale.

 

On se souvient tous de ce qu’on faisait ce fameux 12 juillet 1998… La France en délire fêtera l’Equipe de France championne du Monde de football… C’était il y a 20 ans… et vous savez quoi ? Et bien Mr & Mme de la Team Lydia68320 fêtaient cette victoire ensemble !!!

 

A travers cette mystery, nous vous proposons de revivre cette Coupe du Monde 1998….

 

 

 

Pour trouver les coordonnées de la cache, il vous suffira de trouver les réponses aux questions (prénom et nom), de calculer la valeur des mots et de faire le calcul suivant : 

 

Nord = 48° 0(G-2)-(98+C).(A+B+C+D+F+G)-98

 

Est = 007° 2018-1998+11.E-F-8

 

 

 

Les adversaires du premier tour :

 

Avec 9 points, 3 matchs gagnés, 9 buts marqués et 1 seul but encaissé, la France présente le meilleur bilan des 8 groupes. Seule ombre au tableau : l'expulsion de Zinedine Zidane qui sera suspendu pour 2 matchs, coupable d'avoir marché sur le capitaine saoudien. Dugarry offre le premier but français de la compétition et met fin à toute discussion quant à sa sélection douteuse pour le Mondial.

 

Trouvez les adversaires :

 

12 juin 1998 France 3 – 0 ? = A

 

18 juin1998 France 4 – 0 = B

 

24 juin 1998 France 2 – 1 = C

 

28 juin 1998 : huitièmes de finale 

 

France 1 – 0 Paraguay

 

 Pour la première fois en Coupe du monde, est instaurée la règle du but en or. Et ce sont les hôtes français qui en profitent en éliminant un Paraguay remarquable et robuste. Mais d’ailleurs, qui marque ce but en or = D

 

 

 

3 juillet 1998 : Quarts de finales

 

 La France et l'Italie ne parviennent pas à se démarquer malgré de nombreuses occasions. La France manque un tir au but (arrêté par le portier transalpin) tout comme l'Italie, dans le pénalty qui suit. Alors que les deux équipes sont à égalité et que l'on se dirige vers une prolongation de séance le dernier tireur italien, di Biagio, envoie le ballon sur la barre transversale de Fabien Barthez, qui était battu.

 

France 0 – 0 Italie

 

Tirs au but

 

4 – 3

 

E = le total de la valeur des noms et prénoms des tireurs des tirs au but des bleus                               

 

Tireurs italiens :    R. Baggio
Albertini
Costacurta
Vieri

Di Biagio

 

8 juillet 1998 : Demi-finales

 

France 2 – 1 Croatie

 

46ème minutes, la Croatie ouvre le score par un but de Davor Suker, une minute plus tard, la France égalise grâce à = F, il marquera également le deuxième but du match (ses 2 seuls buts en 142 sélections) et offrira à la France son ticket pour la finale.

 

 

 

21h 12 juillet 1998 : La Finale

 

France 3 – 0 Brésil

 

Blanc suspendu, Jacquet l'a remplacé poste pour poste par Frank Lebœuf en charnière centrale. Pour le reste, Jacquet est fidèle à son traditionnel schéma à trois milieux récupérateurs et à nouveau depuis le quart de finale contre l'Italie. Deschamps évolue dans l'axe tandis que Karembeu et Petit sont décalés sur les côtés. Zinédine Zidane se voit confier l'animation du jeu et Djorkaeff évolue dans un rôle d'électron libre en soutien de Guivarc'h seul en pointe qui a été préféré à Christophe Dugarry.

 

Le Brésil aligne son équipe type, sans surprise. Pourtant, sur la première feuille de match communiquée à la presse quelques heures avant le match, c'est Edmundo et non la star Ronaldo qui était annoncé à la pointe de l'attaque. Simple coup de bluff destiné à semer le trouble dans les esprits français ? On apprendra à l'issue de la rencontre que victime d'un curieux malaise avec perte de connaissance le matin même du match, Ronaldo était réellement très incertain pour la finale.

 

Prenant dès le coup d'envoi le jeu à son compte, dominant outrageusement la bataille du milieu de terrain, la France se rue à l'assaut du but de Taffarel. En l'espace de quelques minutes, Stéphane Guivarc'h se retrouve à deux reprises en face à face avec le portier brésilien, tout d'abord à la suite d'un long ballon aérien de Deschamps, puis sur une ouverture lumineuse de Zidane à l'issue d'un beau travail de Djorkaeff. Mais les deux fois, Guivarc'h ne parvient pas à trouver le cadre.

 

Alors que le match tend à s'équilibrer et que le Brésil réussit quelques dangereuses tentatives de buts dans le camp français, les Bleus remettent la pression sur leur adversaire. Coincé à proximité du poteau de corner, Roberto Carlos concède ainsi un coup de pied de coin largement évitable à la 27e minute. Tiré par Emmanuel Petit, le corner trouve la tête de Zidane qui ouvre le score. 1-0 pour la France.

 

Alors que la première mi-temps touche à sa fin, Guivarc'h perd encore un duel face à Taffarel, qui dévie une frappe de l'attaquant auxerrois en corner. Tiré à nouveau par Petit sur le côté droit, le corner est dégagé par la défense brésilienne. Nouveau corner, côté gauche cette fois, tiré par Youri Djorkaeff. Démarqué au beau milieu de la défense brésilienne, sans même avoir à sauter, Zidane inscrit de la tête le deuxième but français. 2-0 pour la France.

 

Dès l'entame de la seconde période, le sélectionneur brésilien décide de jouer l'attaque à outrance. Milieu de terrain relayeur, Léonardo cède sa place à l'imprévisible Denilson, craint pour sa remarquable qualité de dribble. De plus en plus pressants, les Brésiliens se créent une occasion en or lorsque décalé par une somptueuse transversale de Roberto Carlos, Ronaldo se trouve en position de frapper au but quasiment à bout portant. Mais fermant parfaitement l'angle, Fabien Barthez bloque la frappe de l'attaquant brésilien, particulièrement amorphe depuis le début de la rencontre.

 

Le sort du match semble prêt à basculer à la 67e minute avec l'expulsion de Desailly, le patron de la défense française. Déjà averti quelques minutes plus tôt dans des circonstances peu claires, Desailly reçoit un second carton jaune synonyme d'expulsion en taclant irrégulièrement Cafu à l'issue d'une montée rageuse sur le côté droit du terrain. Jacquet fait alors sortir Djorkaeff pour le remplacer par un milieu défensif (Vieira), tandis qu'Emmanuel Petit glisse au poste plus qu'inhabituel pour lui d'arrière central à la place de Desailly.

 

Réduits à dix, les Français subissent les assauts de Brésiliens plus que jamais tournés vers l'offensive avec l'entrée d'un nouvel attaquant, le fougueux Edmundo, surnommé « O Animal » ! Mais le temps tourne sans que le Brésil ne parvienne à réellement inquiéter les Français, si ce n'est à la suite d'un bel enchaînement de Denilson dont la frappe touche le haut de la barre transversale de Barthez.

 

Alors que le temps réglementaire s'achève, Denilson oblige Thuram à concéder un énième corner côté gauche. Mais mal tiré, le corner est récupéré par Christophe Dugarry qui peut amorcer la contre-attaque. Dugarry sert Vieira, qui passe immédiatement à Petit lancé seul vers le but brésilien. La frappe croisée de Petit évite Taffarel parti à sa rencontre et termine dans les filets. 3-0.

 

22h48 : coup de sifflet finale La France devient championne du monde de football pour la première fois de son histoire.

 

« Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible. Ah ! C'est superbe ! Quel pied ! Oh putain !» Quel journaliste légendaire laisse exploser sa joie = G

 

La France est en fête, des millions de personnes descendent dans les rues et s’endormiront avec des étoles dans les yeux et une sur le cœur…

 

 

 

 

 

 

Additional Hints (No hints available.)