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Petit coin tranquille Traditional Geocache

Hidden : 6/9/2018
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Historique La commune de Dun-le-Poëlier est réputée pour ses gisements et ses carrières de grès, comme le grès dur quartzifié de l’Albien, appelé «la Pierre de Dun». Ce matériau était surtout utilisé pour les pavés et les bordures de trottoirs. Le premier travail consistait à attaquer la roche afin de la fendre en blocs de grès exploitables. La réalisation de cette tâche se fit d’abord avec un coin métallique et un marteau puis on utilisa la barre à mine et l’explosif. La seconde étape était pratiquée par des spécialistes car il fallait tailler dans cette roche dure des pavés ou des pierres de taille parfaites. « Dun » est un toponyme ou un élément de toponymie courant dans les régions de peuplement celtique. Celui-ci signifie littéralement « citadelle » ou « forteresse » mais aussi « colline » ou « mont ». On retrouve Dunum en latin ou Dunon en gaulois, dans plusieurs noms de villes de France et, à de nombreuses reprises, du Berry : Dun-le-Poëlier, Issoudun ou encore Dun-sur-Auron. Ceci nous laisse entrevoir une histoire très ancienne du village et de son passé gaulois ainsi qu’une importante activité humaine dans la région. Petite anecdote : « Dun » est un terme employé dans la mythologie celte pour désigner la forteresse des Dieux et des héros. Villedieu-les-poëles (Manche) et Dun-le-Poëlier (Indre) font allusion, par leur surnom, à la fabrication de la poële à frire, patella. ~~ La commune fit la une des journaux en 1954 pour une sombre histoire … 19 octobre 1954. Entre 17 h 30 et 3 h du matin, le destin du petit village de Dun-le-Poëlier vire au drame, lorsque le maréchal-ferrant, Roger Barbou, assassine l'ensemble de sa famille à l'aide d'une massue en métal. Le crime, prémédité, glace l'ensemble des habitants. La faillite de son atelier de maréchal-ferrant et de sa nouvelle activité, la vente infructueuse de cycles et de vélos, serait à l'origine de son sextuple homicide. Le déroulement des faits > 19 octobre 1954, 17 h 50. Roger Barbou entre chez ses parents, abat sa massue sur la tête de son père qui lit le journal, le tue, et se dirige dans la cuisine où sa mère, Louise, prépare le dîner. > 18 h 10. Roger Barbou s'acharne sur sa mère et la tue à son tour. > 18 h 30. Les enfants rentrent de l'école. Roger Barbou les sépare, demandant aux garçons d'aller acheter un stylo-bille rouge à l'épicerie du village. > 18 h 35. C'est au tour de Janine, 10 ans, de mourir sous les coups de son père. > 18 h 45 et 18 h 55. Les deux frères, Jean-Marie, 9 ans, et François, 7 ans, reviennent et succombent à leur tour. Roger Barbou attend ensuite le retour de sa femme qui travaille chez le clerc de notaire. > 19 h 20. C'est dans la cave que le meurtrier mettra fin aux jours de Lucienne. Puis ce sera l'heure de la douche. Rasé de près, parfumé à l'eau de Cologne, Roger Barbou ira rejoindre sa maîtresse, avant de revenir, dans la nuit, mettre le feu à la maison pour effacer les traces de son crime. > 36 heures plus tard. Le jeudi matin, il sera retrouvé, noyé et suicidé d'un coup de carabine, dans le Fouzon, par les gendarmes. Ce fait divers, qui défraie la chronique en 1954, hantera longtemps les survivants, en particulier Yvette Basset-Marié. Cette coiffeuse, filleule de Roger et Lucienne Barbou, dont les enfants, Janine, Jean-Marie et François, étaient ses compagnons de jeu.

Additional Hints (Decrypt)

Nffrlrm ibhf genadhvyyrzrag.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)