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Zoo à BJ #31 Calumma parsonii Mystery Cache

Hidden : 1/1/2018
Difficulty:
2.5 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Bienvenue au zoo de Breux-jouy : le caméléon

Un peu beaucoup de blabla
Le caméléon est étonnant de part le fait que certains peuvent bouger leurs yeux indépendamment. Cela peut être utile aux géocacheurs pour résoudre les mysterys mais aussi pour trouver les boîtes.
La suite est source Wikipédia

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Les Chamaeleonidae

Les Chamaeleonidae sont une famille de sauriens surtout arboricoles, définie par Constantine Samuel Rafinesque en 1815. Elle contient près de 200 espèces de caméléons. Cette famille est divisée en deux sous-familles : les Chamaeleoninae et les Brookesiinae.

Ce sont des animaux qui se caractérisent par la mobilité indépendante de leurs yeux, leur langue protractile qui leur permet d'attraper leurs proies à distance, les doigts groupés en deux blocs opposables assurant une bonne prise sur les branches et leur capacité à changer de couleur, et enfin leur queue qui sert à se stabiliser.

Dimorphisme sexuel

Les mâles et femelles sont souvent très différents. Les mâles sont en général plus grands et gros, bien qu'il existe quelques exceptions. De plus, les crêtes, casques ou cornes sont en général moins développés — voire complètement absents — chez les femelles. La robe est généralement très différente ; les mâles ont la plupart du temps des couleurs plus vives et contrastées.

Les caméléons nains (genres Rhampholeon, Rieppeleon et Brookesia) font encore exception. Mâles et femelles ont généralement les mêmes couleurs, et les femelles sont la plupart du temps plus grandes.

Queue

Ce sont des lézards dotés d'une queue assez longue (entre un tiers et la moitié de la longueur totale chez la plupart des espèces). Cette queue peut s'enrouler sur elle-même, et est souvent utilisée pour assurer une meilleure prise dans les arbres.

Ceci n'est vrai que pour les caméléons arboricoles. Les caméléons nains (genres Rhampholeon, Rieppeleon et Brookesia), de mœurs quasi-terrestres, présentent en général une queue bien plus petite et moins mobile.

Vision

Les yeux des caméléons sont proéminents et dotés de mouvements indépendants. Ceci leur permet de surveiller simultanément tous les côtés à l'approche de prédateurs. Lorsqu'ils repèrent une proie, les yeux convergent sur celle-ci pour obtenir une meilleure précision.

Quasiment dépourvus de bâtonnets, les caméléons ont une très mauvaise vue nocturne − et ont un mode de vie diurne.

Langue

Pour chasser leurs proies les caméléons utilisent leur langue protractile. Composée entre autres de muscles propulseurs et rétracteurs, la langue est rangée dans la bouche sur l'os hyoïde. L'animal projette avec une grande précision sa langue (dont l'extrémité est couverte d'un mucus gluant) sur ses proies, puis ramène le tout dans sa bouche. La viscosité de son mucus est 400 fois supérieure à celle de la salive humaine.

Selon les espèces, la langue peut atteindre presque deux fois la longueur du corps de l'animal. Le caméléon projette sa langue en 1/25e de seconde (à plus de 20 km/h), s'empare d'une proie qui peut atteindre un tiers de sa propre masse, et la ramène à sa bouche en une demi-seconde. La projection puis la rétraction de la langue ainsi que la préhension de la proie associent plusieurs mécanismes physiques d'une certaine complexité. Pour les espèces les plus performantes, l'accélération entre zéro et 97 km/h se fait en un centième de seconde.

Couleurs

Les caméléons sont également connus pour leurs couleurs variées, et surtout la capacité chez certaines espèces de la modifier rapidement. Leur épiderme possède deux couches de nanocristaux qui leur permettent de changer de couleur et de refléter la lumière dans le proche infrarouge.

Le philosophe péripatéticien Théophraste pensait que le phénomène de changement de couleur du caméléon — la métamorphose — provenait de l'air qui remplit son corps : comme ses poumons occupent presque tout son abdomen, l'air prédomine, et faciliterait le changement de couleur.

Or, il s'agit principalement d'un mécanisme de communication sociale (les couleurs sombres marquent la colère, l’agressivité, avec des variations des rayures sur les flancs et des signaux visuels changeants qui se concentrent sur la face des combattants; les mâles utilisent des couleurs claires et variées pour courtiser les femelles), et non d’une technique de camouflage (Alfred Edmund Brehm est le premier à avoir défendu cette thèse au xixe siècle). Cependant la plupart des caméléons semblent utiliser le changement de couleur dans les deux buts. Le changement de couleur serait apparu d'abord comme un moyen de communication, le camouflage n’intervenant que secondairement. Le Bradypodion taeniabronchum utilise cette technique de camouflage avec une efficacité remarquable.

Les robes des caméléons permettent de les identifier : chacun a un milieu favori. Les caméléons nains, plutôt terrestres, ont en général une robe plutôt marron, alors que les espèces arboricoles arborent souvent du vert, du jaune ou du bleu.

Repartition

Les espèces de cette famille se rencontrent en Afrique, au Moyen-Orient, à Madagascar, en Asie du Sud et dans le sud de l'Europe.
Ces reptiles se rencontrent principalement en Afrique, à l'exception de la plupart des déserts, ainsi que dans les îles alentour : Madagascar, Seychelles, Comores, Canaries, Réunion, nombreuses îles de la Méditerranée. Une espèce se rencontre également dans le sud de l'Europe (Portugal, Espagne, Péloponnèse) : Chamaeleo chamaeleon. On rencontre également deux espèces dans la péninsule Arabique (Chamaeleo calyptratus, Chamaeleo arabicus), et une dernière espèce (Chamaeleo zeylanicus) en Inde, au Pakistan et au Sri Lanka. Plus du tiers des espèces de caméléons vivent à Madagascar.
Ils vivent principalement dans des zones forestières ou dans les plaines broussailleuses, humides à très humides, parfois jusqu'à plus de 2 000 m d'altitude.

Reproduction

Selon les espèces la reproduction a lieu une fois par saison ou de multiples fois. Les femelles de nombreuses espèces sont capables de retenir le sperme des mâles durant parfois plus d'un mois et de s'auto-féconder (nombreuses espèces de Chamaeleo, quelques espèces de Furcifer et de Bradypodion). La gestation dure en général d'un à deux mois, mais peut durer près de 6 mois chez certaines espèces (Calumma).

La majorité des espèces de caméléons sont ovipares. La majorité des femelles creusent le sol pour y pondre leurs œufs, à l'exception des petites espèces (caméléons nains, comme le Rhampholeon) qui les déposent sur le sol.

La durée d'incubation est extrêmement variable. Elle va d'une cinquantaine de jours chez les caméléons nains à plus d'une centaine de jours chez la plupart des espèces. Cette durée peut même dépasser une année et approcher deux ans chez quelques espèces (Calumma parsonii en particulier).

Certains caméléons sont ovovivipares. Ce sont généralement des animaux vivant en altitude, où les œufs auraient peu de chance de se développer. Après une gestation assez longue les petits naissent dans des membranes translucides qu'ils percent très peu de temps après. On trouve dans cette catégorie plusieurs Chamaeleo (C. jacksoni, C. werneri, C. rudis, C. ellioti, C. fuelleborni, C. affinis, C. bitaniatus...) ainsi que plusieurs Bradypodion (B. damaranum, B. pumilum, B. setaroi, B. ventrale...).

Certaines espèces sont "intermédiaires". Elles sont techniquement ovipares, mais donnent naissance à des œufs dotés d'une fine membrane, contenant des embryons bien développés et quasi-viables. Ces œufs éclosent au bout d'un mois environ (par exemple Rhampholeon marshalli).

Alimentation

Tous les caméléons sont des carnivores insectivores. Ils attrapent la plupart des insectes qui passent à leur portée. Certaines espèces − en général les plus grandes − consomment également de petits oiseaux et de petits lézards ou geckos.

Origines

Les caméléons sont peut-être issus des lézards, dont les plus anciens fossiles connus datent du Crétacé. Certains auteurs supposent que le genre Mimeosaurus (Gilmore, 1928) est l'ancêtre direct des caméléons actuels (Romer, 1966). Les fossiles anciens incontestables de caméléons sont assez rares. Longtemps, le plus vieux connu datait d'il y a vingt-six millions d'années et avait été découvert en Europe centrale, et correspondait à l'espèce Chamaeleo caroliquarti. Cependant, un caméléon de quatre-vingts-dix-neuf millions d'années a été identifié en 2016 dans de l'ambre de Birmanie, ainsi que 3 geckos. La longue langue du spécimen fossile étant identifiable au sein de l'animal bien conservé prisonnier de la résine grâce à la microtomographie aux rayons X. Cette découverte indique clairement une origine asiatique des caméléons et non africaine comme parfois admis.

L'île de Madagascar est en effet souvent considérée comme le berceau des caméléons, de par le fait que c'est là que se trouvent la majorité des espèces existantes ainsi que la plus forte variété de formes. Mais cette idée est actuellement contestée. De nombreux auteurs considèrent que les caméléons viendraient d'Afrique orientale, se basant sur le fait qu'on y trouve de nombreuses formes différentes et de par la présence de fossiles (Hillenius, 1959). Pour appuyer cette thèse des recherches génétiques (Matthey, 1957 ; Matthey & Van Brink, 1960) ont montré que les caméléons présentaient deux types de chromosomes, l'un « continental » et l'autre « insulaire ». Les caméléons de Madagascar et des îles voisines possèdent les deux types, les autres n'ayant que ceux de type continental. Ceci semble indiquer une diversification plus tardive pour les espèces malgaches.

Dans le passé, les caméléons ont eu une aire de répartition bien plus étendue qu'aujourd'hui. On les rencontrait en Afrique mais aussi en Chine (Anquingosaurus brevicephalis Hou, 1976) et en Europe Centrale (Chamaeleo bavaricus Scheich, 1983 et C. caroliquari Moddy & Rocek, 1980). Ils reculèrent vers le sud au quaternaire, durant la baisse des températures dans l'hémisphère nord, et on ne les rencontre plus qu'au sud de l'Espagne, au Portugal et en Grèce (Chamaeleo chamaeleon) pour la partie européenne. L'Arabie fut peuplée par trois séries de migrations successives, correspondant à des espèces ou sous-espèces distinctes (Chamaeleo arabicus, C. calyptratus et C. chamaeleon orientalis) (Arnold, 1980, Hillenius & Gasperetti, 1984, Necas, 1995).

À l'heure actuelle certaines espèces ont été introduites par l'homme, à la suite de libération d'animaux dans la nature. C'est en particulier le cas de Hawaï (Chamaeleo jacksonii originaire du Kenya), et de quelques colonies en Californie, en Alabama et en Australie. C'est également le cas de Furcifer pardalis introduit à La Réunion où il s'est très bien acclimaté (et où il bénéficie du statut d'espèce protégée).


Pour trouver la boite

Il vous faudra avoir les yeux un peu partout pour trouver 6 indices dissimulés dans cette page.

Indice cadeau : Nord - ñent fukk bees; Est + fanweer ñaar.

Bonne chasse

Additional Hints (Decrypt)

Fhe cynpr, p'rfg à 2 zègerf qh purzva. Ibve yn cubgb fcbvyre rg yr(f) nggevohg(f)

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)