Skip to content

GOSNE - Commune D'Ille et Vilaine Traditional Geocache

This cache has been archived.

Taz35: Suite au vol du contenant, je décide d'archiver cette cache. Une nouvelle apparaitra sûrement bientôt, à un autre endroit. J'en serais le poseur ... ou pas [:)]

More
Hidden : 9/4/2017
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:



Les communes d'Ille-et-Vilaine est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.

En Ille-et-Vilaine, il y a 353 communes, à vous de jouer...

Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à cette adresse dédiée à la série :
communes.illeetvilaine@gmail.com

La liste des communes disponibles est ici

Nous sommes heureux d'étendre à l'Ille-et-Vilaine, l'idée originale d'ATMO Studio. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy.


Gosné est une commune française située dans le département d'Ille Et Vilaine, en Région Bretagne, peuplée de 1 851 habitants. Les habitants s'appelent les Gosnéens.

Géographie :

Gosné est situé à 24 km au nord-est de RENNES et à 49 km au sud du Mont St Michel, dans le pays de Fougères.

Histoire :

Gosné vient d'un terme celtique signifiant "colline". 

La paroisse et l'ancienne chapelle de Gosné sont toutes les deux attestées dès le XIème siècle. Gosné fait alors partie de la châtellenie de Saint-Aubin-du-Cormier. Nous ignorons les commencements de cette paroisse, mais les vestiges d'architecture romane que l'on rencontre encore dans son église semblent prouver qu'elle existait dès les XIème et XIIème siècles. La cure était présentée par l'ordinaire. Le recteur Jean Froc déclara en 1790 que son presbytère avait deux jardins et qu'il jouissait en outre d'une partie des dîmes de la paroisse ; il estimait 1407 livres le revenu de sa cure, mais comme il avait 520 livres de charges, il ne lui restait que 887 livres de revenu net. A la même époque, la fabrique de Gosné avait 953 livres de rente, à savoir : 900 livvres en dîmes et 53 livres en rentes et terres. Enfin, il y avait 129 livres de rentes attachées à diverses fondations faites en l'église.

La fabrique possède quelques registres de Comptes des trésoriers au XVIIème siècle ; parmi les usages qui y sont signalés, notons les suivants : En 1639, on dépensait 8 livres 10 sols en vin de communion à Pâques ; — on donnait alors le dimanche de Pâques, à tous les prêtres de la paroisse, un repas qui coûtait 3 livres 4 sols ; — on allait en procession à Ercé, à Mézières, à Saint-Pierre de Sévailles, à Saint-Fiacre en Gahard, à l'abbaye de Saint-Sulpice et autour de la paroisse ; pour aller à Mézières et à Ercé en 1639, on payait 9 sols aux porteurs d'ornements. — Le jour de l'Ascension, on célébrait un service pour tous les recteurs défunts et l'on distribuait trois mille petits pains aux pauvres de la paroisse en 1652. — Dans un inventaire de 1639, notons encore : « La grande croix d'argent dorée ornée de deux angelots et son écharpe de taffetas, une custode d'argent dorée ornée de deux angelots, quatre calices d'argent dorés, deux bannières, un vieux livre de chant sur parchemin figuré, le reliquaire où sont les reliques de saint Zenon et d'autres saints, des courtines de damas changeant avec leur parement de taffetas figuré pour mettre au-devant des autels de Saint-Nicolas et Saint-Gilles, etc. » (Pouillé de Rennes).

La paroisse de Gosné dépendait autrefois de l'ancien évêché de Rennes. On voyait jadis dans le cimetière de Gosné les cep et collier des seigneurs de Sérigné.

On rencontre les appellations suivantes : Gosneyum (en 1516), Gousné (en 1608).

Patrimoine :

L'église Notre-Dame-de-la-Visitation (XXème siècle), oeuvre de l'architecte Arthur Regnault. On ne trouve aucune trace de l'église primitive du XIIème et du XVIème siècles. Dédiée à la Sainte Vierge, fêtée le jour de la Visitation, cette église du XVIème siècle formait une simple croix. On y remarquait quelques restes fort apparents de la construction primitive, qui devait remonter à la période romane, comme le témoignaient l'abside et le transept méridional. Cette abside était jadis ajourée d'une fenêtre en ogive lancéolée, géminée et surmontée d'un trèfle dont les contours fortement arrondis dénotaient l'antiquité. Le transept du Sud présentait au milieu de sa muraille latérale une large ouverture murée, qui annonçait l'existence d'une absidiole dont il était accosté à l'origine. Enfin, le clocher, placé au milieu de l'église, reposait sur une base évidemment romane, quoique défigurée à la fin du XIXème siècle. Quant à la nef, elle fut relevée en partie au XVIème siècle et ornée de fenêtres flamboyantes existant encore, puis prolongée en 1788, date qui apparaissait sur le pignon de la grande porte. Les deux chapelles du Nord et du Sud furent presqu'entièrement rebâties (la première du moins) vers 1750. La sacristie présentait le millésime 1761. On avait projeté en 1781 de construire une tour au bas de la nef, et l'évêque permit d'y employer les matériaux de la chapelle Saint-Avertin, dont nous parlerons par la suite, et de la grange du trésor, adossée à l'église et appartenant à la fabrique, mais ce projet ne fut pas exécuté. Avant la Révolution, il y avait quatre autels dans cette église outre l'autel majeur : ils étaient à l'origine dédiés à Notre-Dame, saint Nicolas, saint Gilles et saint Armel, mais en 1790 ils avaient pour patrons Notre-Dame du Rosaire, saint Michel, saint Jean et sainte Anne. Cet autel du Rosaire prouve que la confrérie de ce nom était érigée à Gosné dès cette époque (Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 1 G, 3). Au seigneur de Sérigné, en Liffré, appartenaient les droits de supériorité et fondation dans l'église de Gosné ; c'est ce que déclara en 1680 René de Montbourcher, marquis du Bordage et seigneur de Sérigné, disant qu'il avait en cette église toutes les prééminences, ses pierres tombales dans le chanceau, du côté de l'évangile, ses écussons dans la vitre du maître-autel, sa lisière dedans et dehors, et ses cep et collier armoriés dans le cimetière (Archives départementales de Loire-Inférieure). A la fin du XIXème siècle, on apercevait encore à l'extérieur de l'église de Gosné les derniers vestiges de cette litre qui portait les armes de Montbourcher, d'or à trois channes de gueules, et entourait tout l'édifice, sauf la chapelle méridionale appartenant au seigneur de l'Aubouclère. — Le seigneur du Dézerseul avait également son enfeu dans le choeur de cette église, probablement du côté de l'épître, vis-à-vis celui de Sérigné (Pouillé de Rennes). Les cloches de l'église actuelle datent du XVIIIème siècle. Le vitrail intitulé "Notre-Dame de Pontmain", oeuvre du maître verrier Payan, date de 1904.

L'ancienne chapelle Saint-Avertin, aujourd'hui disparue et située jadis dans le presbytère. Saint-Avertin se trouvait au presbytère, à l'Orient de la cour ; cette chapelle, mentionnée en 1680, avait été bâtie, dit-on, par un recteur infirme, Nicolas de Launay, décédé en 1675. Mgr de Girac ordonna en 1771 d'en restaurer l'autel, mais dix ans plus tard il l'interdit et autorisa sa démolition. Elle n'existe plus maintenant, et la statue de saint Avertin qu'on y vénérait avait été placée sous le porche de l'église ; on y amenait les petits enfants qui tardaient à marcher (Pouillé de Rennes).

La croix de mission (1863).

Les bâtiments d'entrée d'un manoir (XVI-XVIIème siècle), situés au lieu-dit La Landeronde. Il s'agit de l'ancien manoir de la Lande-Ronde. Propriété de la famille de Bois-Guéhéneuc (de 1755 à 1789) et de la famille Tourneux (après la Révolution). On y trouve un cadran solaire qui date de 1708.

Le manoir du Haut-Domaine (1646). Ce manoir est restauré au XXème siècle. On y trouve un cadran solaire.

La maison (XVIIème siècle), située au lieu-dit Le Bas-Domaine.

3 moulins à eau : le Grand-Oué, le Petit-Oué et Graffard

 

Source : Wikipédia - InfoBretagne

Additional Hints (Decrypt)

Zntaégvdhr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)