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❣ Fort Central 🏔️ Col de Tende ❣ Multi-cache

Hidden : 8/24/2017
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:






Pas de stylo.
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Trouvez les coordonnées de la cache finale aux coordonnées stipulées pour cette cache :
N 44° 0A
E 007° 00B

A: Mont Chajol + Fort Marguerie + Mont Bego + Fort Pernante. Soustraire 15.
B: (Mont Sainte Marie x 4) + (Fort Giaure x 3) + (Fort Central x 3) + Fort Pepin + (Mont Viso x 2) + 718

Cliquez ici pour vérifier les coordonnées de la cache finale.

Construit à 600 m à l’Est du col, sur un petit plateau offrant une vue dégagée, le Fort Central a été construit selon un plan trapézoïdal, autour d’une cour divisée par un casernement central. Adossé à la pente dominant la vallée de la Roya, le fort est défendu sur trois côtés par un fossé sec battu par deux caponnières installées aux angles du front de gorge. Des casernements défensifs bordent l’enceinte sur le front d’attaque et les flancs.
L’artillerie du fort comprenait des pièces sous casemates de 150 mm, 120 mm et 90 mm, le tout complété par un magasin à poudre d’une contenance de 90 tonnes. La garnison comptait 120 hommes. Le casernement central, à contrepente du fort, possédait une boulangerie, des abattoirs, un hôpital militaire, un colombier, un central téléphonique et les bureaux de l’administration. 
Afin de faciliter le ravitaillement des 6 forts échelonnés sur la crête, inaccessibles par la route en hiver, un téléphérique d’une longueur de 3,2 km fut construit par les Italiens vers 1900, pour relier le col aux magasins situés en contrebas. Désarmés pendant la première guerre mondiale pour transférer leur artillerie sur le front autrichien, les forts du col de Tende servirent de réserves de munitions et de casernement pour les troupes de réserve italiennes durant l’entre-deux-guerres.
Après la seconde guerre mondiale, le rattachement des villages de Tende, de Piene haute (Breil sur Roya), de Mollieres, de Libre, de la Brigue, de Morignole et  de bien d'autres hameaux de l'ancien comté niçois à la France en 1947 amena une nouvelle correction de la frontière qui passe désormais au nord de la ligne de crête du col. Cette modification et la vétusté des ouvrages mit un terme définitif à l’intérêt géostratégique de ces fortifications. 
Avec le traité de 1947, l'Italie perdit plusieurs communes liées par une histoire pluriséculaire au Piémont et à la province de Cuneo, trois grandes centrales hydroélectriques (Breil, Fontan, Saint Dalmas de Tende), un riche patrimoine forestier, de belles montagnes et trois refuges du Club Alpin Italien, remis au Club Alpin Français. Elle perdit aussi un important patrimoine artistique, dont la chapelle de Notre-Dame de Fontan, appelée la "chapelle sixtine des Alpes" pour les splendides fresques qui la décorent. 
Elle perdit un site archéologique unique au monde: la Vallée des Merveilles, avec ses merveilleuses et mystérieuses gravures rupestres. Les habitants de la vallée de la Roya perdirent quelque chose de plus: leur identité historique. Leur culture, que cela plaise ou non aux Français, était essentiellement italienne. 
La toponymie locale fut rapidement francisée. Les accents toniques et les significations furent oubliés. Tenda devint Tende, Briga, La Brigue, Vievola, Vieve (mais elle est récemment redevenue Vievola), Morignolo, Morignole, le village de ma mére Breglio sul Roia devint Breil sur Roya. La Valmasca, la légendaire vallée de la sorcière ("masca" en piémontais) devint Valmasque, ce qui ne signifie plus rien. Le lac des Mesce devint lac des Mèches, et même les forts du 19e siècle changèrent de nom. Le fort de la Margheria devint Marguerie, Pepino, Pépin, Tabourda, Tabourde, etc. 
La mémoire historique changea, de manière orwellienne. Pendant ma balade, j’ai eu l’occasion de parler avec un berger de Tende au nom très "français" de Lanza, qui tenait ses moutons dans le fort de Tabourda et soutenait, avec la plus grande assurance, que les forts étaient l’œuvre de Napoléon III, comme naturellement aussi le tunnel routier de Tende ! 
Du côté italien la mémoire n’est guère meilleure: un article, publié il y a quelques années par un important quotidien turinois sur la zone de Tende, parlait clairement des "forts napoléoniens". Les habitants de Limone aussi, à propos de la première tentative de percement du tunnel de Tende, commencé sous Charles-Emmanuel I et repris sous Victor-Amédée III, parlent de "tunnel Napoléon". C'est fou ! comment peut on effacer la mémoire ainsi .... 
Les noms des personnes changèrent aussi (seulement ceux de baptême, heureusement ! ). La loi française, en effet, n’autorisait pas les prénoms étrangers. Les habitants avaient un an, à partir de la date de l'annexion, pour opter soit pour la nationalité italienne et s’en aller en laissant tous leurs biens, soit pour la française et changer de prénom. (je rappelle ici qu'il etait interdit de parler le nissart jusqu'en 1970). Le gouvernement Français devait à tout prix éffacer l'identité culturelle de l'histoire du pays niçois. 
Les noms de famille restèrent ceux de toujours (Cotta, Guido, Dalmasso, Pastorelli, Giordano, Molinari, Rostagni etc.), mais Giovanni devint Jean, Antonio Antoine, Giuseppe Joseph, Catarina Catherine etc. Si pour les vivants le changement de nom peut être compréhensible, il l’est moins pour les morts. Le monument aux morts de Tende ne fut par chance pas changé, mais la plaque du souvenir des morts de la deuxième guerre mondiale, morts au champ d’honneur, porte des noms francisés.  
Le dernier de la liste est un jeune de Tende tombé en Algérie en combattant contre quelqu’un qui ne voulait pas être "rattaché"... À Piena Alta (Piene Haute), le monument aux morts élevé au centre de la place a disparu et la plaque posée à côté de l’église recense tous les noms des soldats en version française. 
Par chance, au fil des ans, le chauvinisme français est allé progressivement en s’atténuant. En 1979 la voie ferrée a été finalement réactivée et les contrôles aux postes de frontière se sont progressivement atténués, jusqu’aux accords de Schengen qui les ont abolis totalement. Sur les plaques routières commence à percer un bilinguisme franco-dialectal. L’unique traité complet sur l’histoire de ces villages, écrit par le professeur Giorgio Beltrutti, un des membres les plus actifs du Comité italien contre le "rattachement", a été récemment traduit en français.  
Des associations et publications locales, comme le périodique "A Vastera", ont permis de ressouder les liens, jamais tout à fait interrompus, entre habitants des villages séparés par la frontière. Même les festivités du cinquantenaire du "rattachement" se sont tenus de manière relativement sobre et modérée. Mais la vallée de la Roya reste l'une des oubliés du conseil general des Alpes Maritimes (enclavé en territoire italien) à la solde des partis Jacobins. 
Les flux migratoires vers la France continuent mais ont pris d’autres caractéristiques. La majeure partie des résidences secondaires du littoral niçois (et au-delà) est la propriété des Italiens qui ont effectué inconsciemment et sans intentions nationalistes, une sorte de "rattachement" à l’envers. Dans la nouvelle Europe des Peuples, ce qui fut une frontière fortifiée et une "ligne de partage" est désormais devenu, heureusement, une simple frontière administrative, mais l'espoir de revoir un jour le comté niçois reuni  reste marqué dans tous les esprits.... Notre identité est notre mémoire. Nous n'oublierons jamais.





Portare una penna.
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Nella prima fase della cache, trova le risposte per trovare le coordinate della cache finale:
N 44° 0A
E 007° 00B

A: Mont Chajol + Fort Marguerie + Mont Bego + Fort Pernante. Sottrarre 15.
B: (Mont Sainte Marie x 4) + (Fort Giaure x 3) + (Fort Central x 3) + Fort Pepin + (Mont Viso x 2) + 718

Clicca qui per verificare le coordinate della cache finale.

Il Colle di Tenda, famoso perché citato su tutti i libri scolastici essendo considerato punto di separazione tra le Alpi Liguri e le Alpi Marittime, ha rappresentato fin dai tempi antichi un valico di grande importanza. Principale via di collegamento tra la pianura Padana e l’estremo Ponente ligure era conosciuto dai tempi dei Romani ma questi preferirono vie più sicure; per molti secoli furono i pastori transumanti a praticarlo. Il primo documento che accenni ad una strada che portasse da Borgo San Dalmazzo a Ventimiglia è del 1178. Tuttavia all’epoca l’itinerario non doveva essere dei più agevoli. Le gole impraticabili della Val Roya costringevano i viaggiatori a lunghi aggiramenti sui fianchi delle montagne. Ma a partire dal XIII secolo con la rinascita del commercio e con l’acquisizione della contea intermedia da parte dei provenzali, il Colle di Tenda venne ad assumere una notevole importanza.Per tutto il medioevo il sale fu uno dei prodotti più preziosi, uno dei pochi di cui neanche le economie più autarchiche potessero fare a meno. Era indispensabile per la conservazione dei cibi e per certe attività artigianali, come la concia delle pelli. Importante centro di produzione erano le saline di Hyeres, mentre i mercati di consumo erano quelli della Val Padana e di Pavia in particolare.
Tenda si trovava su una delle direttrici di traffico più brevi e dirette. Avere il controllo di una trafficata via commerciale significava garantirsi cospicue e sicure entrate economiche. La "gabella", madre di tutte le tasse, nacque infatti come dazio sul transito del sale. Per evitare gli esosi pedaggi spesso i carovanieri, con l’accordo dei governi, mutavano percorso; fu il caso del marchese di Saluzzo, Ludovico IV, che per avere collegamento diretto con il sud della Francia, fece realizzare nel 1478 un traforo, il primo del genere nelle Alpi, sotto il difficile colle della Traversetta, nel gruppo del Monviso.
Tuttavia né gli Angiò né i Savoia poterono impadronirsi della contea di Tenda, che per tre secoli riuscì a mantenere l’indipendenza.
Nel 1338 i Savoia giunsero al mare e pochi anni dopo acquisirono Briga, ma per transitare da Tenda continuarono a sborsare ingenti somme di denaro, tanto da indurli ad attrezzare un percorso alternativo attraverso la Visubia e la Val Gesso. Per tutto il XV secolo furono apportate migliorie alla mulattiera della val Roja; nel 1575 prende corpo il progetto di realizzare una carrozzabile che unisca Nizza con Cuneo, le Gorges di Saorge vengono per la prima volta tagliate e il percorso migliorato con posti di sosta. In quelli anni furono oltre 50.000 i muli che transitarono nelle due direzioni. Nel 1614, quando la regione già faceva parte del Ducato di Savoia, ci fu un primo tentativo di realizzare un traforo, tentativo ripreso nel 1784 sotto il regno di Vittorio Amedeo III di Savoia (la galleria di settantacinque metri circa, nota in zona con il nome di "Buco di Napoleone", appellativo ingannevole poiché lo scavo non ha in realtà niente a che vedere con l'Imperatore), che rimase tuttavia opera incompiuta.
Tra il 1782 ed il 1788 venne costruita, per volere della casa reale, la prima strada carrozzabile e, nel 1883, venne realizzato il traforo che oggi ci consente comodamente di attraversare i due versanti. Tra il 1889 e il 1907 venne realizzato un tunnel ferroviario per collegare Cuneo a Nizza con il treno.
La costruzione della galleria a quota molto inferiore ha determinato la perdita di importanza del colle, che oggi mostra nella quiete alpestre i segni di un passato prossimo se non burrascoso comunque movimentato. L'Ottocento e la prima metà del Novecento hanno infatti visto il passo verso la valle Roya al centro di vicende soprattutto militari: la costruzione delle fortificazioni sabaude del sec. XIX hanno infatti segnato la storia e l'ambiente dei monti che si ergono attorno al colle.
Correvano gli anni Ottanta dell'Ottocento: in cinque anni a partire dal 1882 la zona del valico veniva munita da casa Savoia di imponenti fortificazioni; dal forte Centrale (o Colle Alto) una strada militare molto ardita raggiungeva ad oriente il forte Tabourde e, quasi sulla vetta della cima omonima, il forte Pepin, mentre a occidente un altro elegante tracciato conduceva dapprima al forte Pernante e quindi al forte Jaure; il forte Marguerie sulla strada per la Baisse de Peyrefique completava il possente sistema difensivo. Un così terrificante apparato bellico rimase per fortuna inutilizzato, dal momento che nessun nemico risalì la valle Roya nell'ultimo scorcio del XIX secolo e neppure nel primo '900 per invadere il territorio piemontese: le costruzioni vennero quindi dismesse allo scoppio della Grande Guerra, quando i loro cannoni furono inviati nel Triveneto, e passarono infine alla Francia con il trattato di pace del 1947.
Oggi le montagne che segnano il passaggio dalle Liguri alle Marittime raccolgono nel loro silenzio le testimonianze di quel passato militare, avvolgendo e neutralizzando nello splendido ambiente naturale gli echi di una vita comunque dura per chi spese gli anni migliori della propria vita tra i sassi dei forti, echi che oggi appaiono stonati innanzi alla nuova Europa: anzi, le costruzioni in pietra, con coperture spesso erbose, paiono ben inserirsi nel paesaggio e, insieme agli aperti panorami, rappresentano certo un motivo di interesse che spinge l'escursionista a percorrere sentieri e ciò che resta delle strade ex-militari.
L'ambiente naturale attraversato dagli itinerari escursionistici è in generale caratterizzato da vaste praterie sommitali, morbidi pendii erbosi aperti a sud verso il solco della valle Roya caratterizzato nella sua parte più in quota da vasti boschi di pino silvestre; soltanto il tratto che sale dal forte Jaure alla Rocca dell'Abisso mostra un aspetto aspro: impervie bastionate rocciose fanno da sfondo a vaste pietraie che paiono difendere la prima vetta di rilievo delle Alpi Marittime.





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Find the coordinates of the final cache at the first stage of the cache:
N 44° 0A
E 007° 00B

A: Mont Chajol + Fort Marguerie + Mont Bego + Fort Pernante. Subtract 15.
B: (Mont Sainte Marie x 4) + (Fort Giaure x 3) + (Fort Central x 3) + Fort Pepin + (Mont Viso x 2) + 718

Click here to verify the coordinates of the final cache.

Built from 1880 by italian army, these forts look like french forts around the sea coast built at same time by the General Séré de Rivières. Protection by a grounded roof, ditch, invisible.
Only fort of the group to be not hidden, the Fort Central shows its four different architectural fronts vey far around and in the valleys.





Kein Kugelschreiber vorhanden.
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Begebt euch an die angegebenen Koordinaten und beantwortet die folgenden Fragen:
N 44° 0A
E 007° 00B

A: Mont Chajol + Fort Marguerie + Mont Bego + Fort Pernante. 15 subtrahieren.
B: (Mont Sainte Marie x 4) + (Fort Giaure x 3) + (Fort Central x 3) + Fort Pepin + (Mont Viso x 2) + 718

Klick hier, um die Koordinaten des Finalcaches zu überprüfen.

Das Forte Centrale (frz. Fort Central) ist eine der Festungen am Colle di Tenda (Tenda-Pass) von Cuneo im Piemont und Ventimiglia am Mittelmeer. Sie wurde 1880 erbaut, als das Gebiet zu Italien gehörte. Mit 1908 m s.l.m. Höhe liegt die Festung nur etwas höher als der höchste Punkt der Passstraße mit 1871 m s.l.m. 1947 wurde die Gemeinde Tenda, und somit auch die Festung, an Frankreich abgetreten.




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