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Le moulin de la Butte (Pruniers) Traditional Geocache

Hidden : 10/24/2017
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


La commune de Bouchemaine est née en 1792 de la réunion de deux paroisses bien différentes : celle de Saint-Aubin de Pruniers perchée en haut du coteau dominant la Maine et celle de Saint-Symphorien de Bouchemaine à la confluence de la Maine et de la Loire. Le village de la Pointe faisait partie de la paroisse St Symphorien mais, en raison de son activité intense liée au trafic sur la Loire, il avait déjà une identité très distincte de celle du bourg.

Pruniers est une ancienne commune de Maine-et-Loire (49), aujourd'hui village de Bouchemaine. Elle fut réunie entre 1790 et 1794 à la commune voisine de Bouchemaine. La paroisse de Saint-Aubin de Pruniers devint une commune sur une courte période, avant d'être réunie entre 1790 et 1794 à celle de Saint-Symphorien de Bouchemaine, comprenant également le village de la Pointe.

Le moulin de Pruniers est un moulin tour dont les ailes Berton ne peuvent plus fonctionner car les planches ont été démontées. Situé dans le quartier "Pruniers", il est appelé "moulin de la Butte".

Les ailes Berton
Dans les années 1840 apparaît l’aile Berton. Pierre Théophile Berton (Barbonne (Marne), 1803 -Angers, 1861), ancien charron originaire de la Somme, est appelé à travailler sur les moulins à vent. Son fils, Pierre Théophile Berton fils (Barbonne, 1827 -Angers, 1894), le seconde dans ses travaux. Constatant le faible rendement des moulins, dû à la contrainte permanente et dangereuse du réglage des voilures, il met au point un système d’aile à portance réglable. Il dépose le brevet en 1841et s’installe en Anjou en 1852.
L’aile Berton se compose de planches de bois qui se superposent et coulissent latéralement pour offrir une surface variable au vent. Elles sont actionnées de l’intérieur par un mécanisme central, dispensant le meunier d’effectuer le difficile réglage des toiles en fonction du vent, qui l’oblige à grimper le long des ailes, avec les risques d’accidents qui en découlent. Ce système ingénieux ne fonctionne que lorsque le moulin tourne car il utilise la rotation de l’arbre, transmise aux manivelles qui actionnent le système Berton. Le premier modèle des ailes Berton, dit « à crémaillère », sera remplacé par le modèle définitif.
Une conséquence de l’utilisation des ailes Berton fut que l’on pouvait désormais augmenter la hauteur du moulin, pour faciliter sa prise de vent. Certains moulins, notamment en Bretagne, nommés « petits-pieds », parce que la tour reposait en encorbellement sur un soubassement de moindre diamètre, reçurent un corps plus large et plus haut sur la partie supérieure et devinrent des « grosses-têtes ».
Les ailes Berton se répandent à partir de l’Anjou, du Centre de la France, puis du Nord de la France et la Belgique, dans les années 1880, à une époque où la suprématie des moulins à vent commence à décliner face à la concurrence des minoteries industrielles. Il n’y a pratiquement pas d’ailes Berton dans le Sud de la France.


Pensez à prendre un crayon et une pince à épiler


Additional Hints (Decrypt)

Ar gbzorm cnf qnaf yr cnaarnh. Zntaégvdhr

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)