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La petite sirène Traditional Geocache

This cache has been archived.

PhilaCache: Bonjour Djmanumix,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver. Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,
PhilaCache
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 4/15/2017
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

un outils peut-être utile ! Ou alors il faut avoir le bras long ! Attention c'est très dangereux avec la route à côté Attention pour la survie de la Cache merci de la faire de nuit

La mise en place d'un système d'alerte dans un pays requiert d'avoir d'une part un réseau de veille permettant de détecter le problème à temps, et d'autre part une structure pouvant déclencher le système d'alerte, en relation avec le réseau de veille. Il faut distinguer les structures locales, pour les accidents industriels ou les catastrophes naturelles d'ampleur locale (par exemple inondation), et les structures nationales ou supra-nationales pour les catastrophes de grande ampleur ou dont la prévision nécessite de gros moyens (par exemple ouragan, tsunami, nuage toxique ou radioactif de type Tchernobyl, bombardement).

Le pays doit ensuite mettre en place une infrastructure pour diffuser l'alerte, en général :

  • une cellule de contact avec les médias ;
  • des moyens de contact entre les administrations locales et l'administration centrale chargée de la sécurité civile ;
  • et un moyen de prévenir massivement et rapidement les populations, en général un signal sonore (réseau de haut-parleurs ou de sirènes couvrant le pays).

Dans les pays où la population est de plus en plus équipée d'appareils « nomades » connectés à Internet (téléphones portables, smartphones, tablettes numériques) se développe la notion de médias sociaux pour la gestion des urgences, ou MSGU (en anglais : SMEM, social media for emergency management)1. Outre les moyens habituels, l'alerte pourrait ainsi être diffusée sur les réseaux sociaux.

Un des points critiques est la possibilité de diffuser l'alerte en cas de défaillance des infrastructures.

La population doit être formée à la reconnaissance du signal et à la conduite à tenir. La préparation doit prendre en compte les risques les plus probables pour chaque région. Les consignes doivent être simples, en distinguant deux types de situations : celle requérant un confinement, et celle requérant l'évacuation immédiate. Il faut donc dans l'idéal deux signaux distincts.

 

Nature du signal

En France, l'alerte aux populations se fait via le réseau national d'alerte (RNA). Ce réseau (hérité de la défense passive de la Seconde Guerre mondiale) comprend environ 4 500 sirènes réparties sur le territoire ; De Gaulle reprend cette organisation générale de la défense dans l'ordonnance 59-147 du 7 janvier 1959.

Les signaux actuels sont définis par l'arrêté du 23 mars 2007 relatif aux caractéristiques techniques du signal national d’alerte. En cas de danger, ce signal (qui ne doit pas être confondu avec le signal d'essai d'une minute seulement, diffusé à midi le premier mercredi de chaque mois) consiste en trois cycles successifs d'une durée d'1 minute et 41 secondes chacun et séparés par un intervalle de 5 secondes et d'un son modulé en fréquence :

  • chaque cycle comporte cinq périodes de fonctionnement au régime nominal. La fréquence fondamentale du son émis au régime nominal est de 380 Hz (+/- 10 Hz) (entre le fa♯ et le sol médium) ;
  • la première période a une durée de 10 secondes, les 4 suivantes ont une durée de 7 secondes ;
  • chaque période est séparée de la suivante par une durée de 5 secondes comprenant une descente en régime de 4 secondes suivie d'une montée en régime de 1 seconde ;
  • la première période est précédée d'une montée en régime d'une durée de 3 secondes ;
  • la dernière période est suivie d'une descente du régime d'une durée de 40 secondes.

C'est la nature des sirènes électromécaniques, en particulier leur régime de montée et descente en puissance, qui a historiquement déterminé ce signal, repris par les sirènes pneumatiques et électroniques. Dans le cas des sirènes électroniques, la forme du signal de base (déterminant le timbre du son) est en « dents de scie ».

Il a existé, de 1990 à 2005, un signal national d'alerte différent pour les sirènes non électromécaniques, il se composait de trois émissions d'une minute, modulées en fréquence entre 300 et 600 Hz, séparées par des intervalles de 5 secondes. Il a été abrogé par le décret du 12 octobre 2005.

Le signal d'alerte spécifique des aménagements hydrauliques comporte, quant à lui, un cycle d'une durée minimum de 2 minutes composé d'émissions sonores de 2 secondes séparées par un intervalle de 3 secondes. Dans le cas des sirènes électroniques, les émissions suivent un signal périodique en « dents de scie » de fréquence fondamentale 200 Hz (tolérance 5 Hz).

Conduite à tenir

En 2013, on estime que 78 % des personnes ne savent pas quoi faire lorsque les sirènes retentissent hors essai.

Ce qu'il faut faire

Lorsque le signal d'alerte retentit, les personnes sont invitées

  • à se confiner dans l'endroit clos le plus proche (domicile, lieu public, entreprise, école...) en colmatant les ouvertures, en coupant les ventilations, climatiseurs et chauffages, et en restant loin des fenêtres ;
  • à s'abstenir de faire des flammes, de fumer, d'ouvrir les fenêtres ;
  • à s'abstenir de téléphoner (ni téléphone fixe, ni téléphone mobile) sauf détresse vitale, afin de laisser les lignes libres pour les secours ;
  • s'informer par les médias : télévision et radios locales, ou bien France Info, ou encore France Inter sur grandes ondes (1 852 m, 162 kHz) : il s'agit de la radio de service public, et en cas de destruction de l'émetteur en modulation de fréquence (FM) le plus proches, l'émission en grandes ondes peut toujours être captée. Par ailleurs, en cas de défaillance du réseau d'électricité, il est toujours possible d'écouter la radio avec un poste à piles, à batterie, solaire ou bien à alternateur (« dynamo », manivelle permettant de charger la batterie). La station répétera en boucle la situation et les consignes à suivre.

Les enfants scolarisés sont pris en charge par l'école, c'est le lieu où ils sont le plus en sécurité. Il est donc dangereux et inutile d'aller les chercher.

Ce qu'il ne faut pas faire

  • Rester dans un véhicule.
  • Aller chercher ses enfants à l'école (les enseignants se chargent de leur sécurité).
  • Téléphoner (les réseaux doivent rester disponibles pour les secours).
  • Rester près des vitres.
  • Ouvrir les fenêtres pour savoir ce qui se passe dehors.
  • Allumer une quelconque flamme (risque d'explosion).
  • Quitter l'abri sans consigne des autorités.

La fin de l'alerte est indiquée par un signal continu de trente secondes, d'une fréquence de 380 Hz, que le signal soit d'origine électronique ou électromécanique.

Les sirènes diffusant ce signal sont installées en fixe sur des hauteurs (par exemple des bâtiments hauts) ; le signal peut éventuellement être diffusé par des haut-parleurs montés sur des véhicules mobiles. Dans les petites communes abritant un centre de première intervention (CPI) des sapeurs-pompiers, la sirène sert également parfois à appeler les sapeurs-pompiers volontaires lorsque leur intervention est requise, mais le signal est différent (un cycle unique de une, deux ou plusieurs périodes de fonctionnement au régime nominal seulement, codification dépendante de chaque municipalité si usage), le système est complémentaire des bips (pageurs), seuls les volontaires de garde disposent de pageurs, en cas de besoin la sirène retentit alors pour appeler tous les personnels disponibles quand ceux de garde ne suffisent pas.

Jusqu'en 1999, les consignes étaient indiquées sur les annuaires téléphoniques de France Télécom. Elles sont enseignées au PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1 - anciennement AFPS) et SST (sauveteur secouriste du travail).

Les lieux situés en aval d'un barrage disposent d'une alerte spéciale, sous la forme d'une corne de brume. Ce signal indique un risque de rupture imminent du barrage ou un relargage d'eau pour éviter cette extrémité, avec un risque d'inondation de la vallée. Lorsque ce signal retentit, les personnes doivent évacuer d'urgence la zone.

Des consignes spécifiques peuvent être définies en fonction des risques locaux, notamment industriels. L'information des populations est alors à la charge des mairies et préfectures.

Structure du réseau

Le réseau est constitué d'environ 10 000 sirènes dont la moitié appartient à l'État ; les autres sont la propriété des communes ou d'entreprises classées Seveso et 179 n'ont pas de propriétaire identitfié. La plupart sont reliées à la préfecture du département par le réseau téléphonique filaire. En raison de difficultés de maintenance, l'opérateur historique Orange a décidé d'arrêter d'en assurer l'entretien en 2013. Certaines sont actionnées par des boutons déportés au niveau du sol, d'autres très anciennes par des boutons situés sur les sirènes elles-mêmes, c'est-à-dire en hauteur.

Lors de la création du réseau, la pire crainte était une attaque venant de l'est (invasion, missile de longue portée), la partie est de la France est donc mieux équipée que le reste du pays.

Un projet de rénovation et de modernisation a été lancé en 2010, le nouveau réseau étant baptisé système d'alerte et d'information des populations (SAIP). Il utilise le réseau câblé du ministère de l'Intérieur. En 2012, une partie de ces sirènes est hors-service à cause d'un défaut de maintenance du réseau. En 2016, le système est en cours de remplacement ; 2 380 sirènes doivent être remplacées d'ici 2020 et seront commandées par un logiciel qui permettra de ne faire sonner que certaines sirènes et non pas toutes celles du département.

Source wikipedia

Additional Hints (Decrypt)

ceribve ha bhgvyf bh nibve yr oenf ybat ! Abve p'rfg abve ! Yn ahvg p'rfg abve rg yr wbhe p'rfg abve nhffv NGGRAGVBA CBHE YN FHEIVR QR YN PNPUR ZREPV QR YN SNVER QR AHVG

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)