L’église Saint-Jean-Baptiste domine le village d’Ore, situé dans la charmante région des Frontignes. Son promontoire offre une belle vue sur la vallée de la Garonne et les monts de Barousse, en face. Elle est entourée par un petit cimetière qui semble coupé en deux. À gauche, c’est le pays des bosses et des herbes folles, dans lesquelles se débattent éparses des tombes pour beaucoup tordues ou rongées par la mousse. À droite, en contrebas des escaliers, c’est l’inverse : de grands caveaux bordent une allée rectiligne, comme si les familles aisées du village avaient fait sécession après leur mort. De part et d’autre se trouvent plusieurs éléments curieux ou étonnants.
Pour vous y rendre, je vous conseille de vous garer au point de parking conseillé, puis de marcher jusqu’à l’église par une des rues qui montent.
Les coordonnées renvoient au parvis de l’église. Mais la cache ne se trouve pas ici : je vous propose une petite déambulation dans les lieux pour déterminer son emplacement.
Tout d’abord, sur la façade de l’église, une date marquant l’avancée des travaux de reconstruction est gravée dans la pierre. Relevez le jour de cette date (au cours de laquelle, pour d’autres raisons, l’autre bout de la France était en ébullition).
Ensuite, promenez-vous dans le cimetière afin de trouver la tombe de celle qui au Ciel attend ses infortunés Père et Mère et parents, et comptez le nombre de lettres de son nom de famille.
Enfin, dans un mur situé sur le côté droit de l’église, à l’angle d’un autre où persistent des lambeaux d’une peinture ancienne, est encastrée à environ 1m60 de hauteur une pierre tombale plus ancienne que les autres. La première ligne en donne l’année : déchiffrez-la pour la déterminer.
Rendez-vous ensuite au point N42°58.abc E000°39.def, en remplaçant a, b et cdef par les trois réponses évoquées plus haut dans cet ordre. Là-bas, un élément du décor vous rappellera l’église et le cimetière : la cache se trouve juste derrière, sous une pierre.
Bonne recherche !