Les communes d'Eure-et-Loir [CEL]
Cette cache fait partie de la série "401 communes en Eure-et-Loir [CEL]".
Il s'agit d'une idée assez simple : vous faire découvrir toutes les communes que compte notre département.
Pour relever ce défi, un groupe de géocacheurs s'est créé afin d'organiser au mieux la pose des caches. Ces dernières peuvent être de différents types et de différentes tailles.
Si vous souhaitez rejoindre le projet [CEL], contactez l'un des propriétaires de cache de la série : il se fera un plaisir de vous indiquer les communes disponibles et la marche à suivre 
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#360 - Sours
Coordonnées GPS : Latitude 48° 24' 38'' Nord - Longitude 1° 35' 53'' Est
Situation Géographique
Perdu dans l'océan des blés de la terre beauceronne, Sours s'étend au long des berges de la Roguenette, modeste ru affluent de l'Eure. A neuf kilomètres se dresse la cathédrale de Chartres, magnifique construction classée par l'UNESCO au patrimoine mondial de l'humanité.
Le village est constitué :
Le territoire représente une superficie de 3315 hectares (33,15 KM²) dont 90% de terres de culture.
Son altitude varie entre un minimum de 136 mètres et un maximum de 158 mètres
Situation Administrative
Sours est situé dans l'arrondissement de Chartres. Il fait partie du canton de Canton Chartres 2 depuis 2014 (anciennement Chartres Sud-Est). Depuis 2011 Sours est intégré dans la Communauté de Communes (Com-Com) de Chartres métropole (47 communes et 124000 habitants).
Aspect Démographique
La population municipale de 2014 est d'environ 2000 Sourséens.
Histoire ancienne
Les premiers habitants de Sours s'abritèrent sans doute dans des maisons danubiennes construites il y a 7000 ans.
L'époque romaine laisse ses traces avec les villas gallo-romaine de Chandres et de Génerville ainsi que sa voie romaine Saint-Mathurin.
Au moyen-âge, c'est à Sours que s'implante la plus importante Commanderie de Templiers du pays Chartrain et c'est dans le hameau de Brétigny que fut signé, le 8 Mai 1360, le fameux "Traité de Brétigny" qui amenait la paix entre la France et l'Angleterre lors de la "Guerre de cent ans".
Patrimoine
Les monuments les plus importants du village sont la Commanderie des templiers et le Château de l'Aval (achevé en 1652).
L'église Saint-Germain de Sours, avec son clocher du XIIème siècle, fut reconstruite vers l'an 1800 après sa destruction par un ouragan en 1788.
Aspect Économique
L'activité économique de notre village est légère, sa vocation dans la Communauté de Communes est plutôt tournée vers l'habitat et les services à la population.
Actuellement, elle se compose comme suit :
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1 Supermarché (avec station 24H/24H),
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1 Boulangerie-Pâtisserie,
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1 Bar-Restaurant,
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des services divers (Coiffure, Ésthéticienne, Assurance, Garage),
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des services de santé (3 Médecins, 4 Kinésithérapeutes, Pharmacien, Infirmières, Diététicienne, Podologue, 3 Dentistes),
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des artisans (Maçonnerie, Menuiserie, Couverture, Serrurerie-Carosserie, Plomberie, Chauffage, Électricité),
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de petites usines de noyaux de fonderie, de conditionnement de légumes secs mais aussi de pièces détachées pour Poids Lourds.
Le village comporte également de nombreuses associations telles que le Tir, le Judo, la Gymnastique d'entretien, la Section Culturelle, les Jeunes Sapeurs-Pompiers, l'École de Musique, l'Harmonie Municipale, le Comité de Jumelage, l'association "Parc & Nature", la Randonnée, le Football, le Theâtre, etc...
La Fête patronale se déroule traditionnellement le 3ème Week-End de Septembre.
Toponymie de SOURS
Au cours de l'histoire, le nom de notre village a pris successivement plusieurs appellations différentes :
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Serae, en 930 d’après le cartulaire de Saint-Père en Vallée,
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Seorsum, en 1099,
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Sevors, en 1207 d’après le chapitre de l’abbaye, de Saint-Jean en Vallée,
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Soors, vers 1160,
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Sordae, vers 1180 d’après le chapitre de la léproserie du grand Beaulieu,
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Sohors, en 1220 d’après le chapitre du Prieuré de la Bourdinière,
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Sors, d’après le Livre des Miracles,
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Sours en Chartrain, en 1443 dans le registre des contrats du chapitre de Chartres,
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Surdae, en 1626,
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Saint-Germain de Sours, en 1736,
Depuis, on a conservé le nom de Sours, qui semblerait être d’origine Celtique.
Maisons Danubiennes
Lors des fouilles du printemps 2007, dans le coeur de village, les archéologues ont mis à jour les fondations de plusieurs maisons danubiennes reconnaissables à leurs grandes formes quadrangulaires ou trapézoïdales.
En effet, il y a 7000 ans, les premiers paysans de la région sont arrivés par étapes successives depuis l'Europe Centrale en passant par les Balkans, puis en remontant le Danube pour aboutir dans le nord de la France en passant par l'Allemagne et la Belgique. Cette affluence a été appelé la "Vague Danubienne" durant laquelle, certains se sont sédentarisés à Sours.
Était-ce là les premiers habitants du village?
La Commanderie
La Commanderie de templiers fut créée en 1192 grâce à Alix, Comtesse de Blois, qui fit généreusement donation aux Templiers de son hébergement de Sours ainsi que de sa chapelle entourée de fossés avec, un étang, un moulin et des terres.
Sa situation géographique, près de Chartres, la prédisposait à devenir une commanderie majeure elle prit d'ailleurs rapidement de l'importance.
C'est donc à Sours que s'installa la Commanderie la plus importante du Pays Chartrain.
Le Traité de Brétigny
Cet épisode important de la Guerre de Cent Ans fut signé en 1360 au hameau de Brétigny.
Le 1er Mai 1360, Anglais et Français se réunissent alors à Brétigny (hameau de Sours) mais suite aux prétentions excessives du Roi d'Angleterre Édouard III, la paix ne peut être signée.
Le 6 Mai 1360, un orage effroyable s'abbat sur Brétigny et effraie Roi et armée.
Le Roi Édouard III et son fils (le Prince Noir) se rendent alors à la Cathédrale de Chartres et promettent à Notre-Dame de signer la paix avec les Français si elle arrête cette pluie de grêlons.
Le 8 mai 1360, le Traité de Brétigny est signé, instituant la paix entre les deux peuples belligérants.
Le Château de l'Aval
Le corps de logis actuel date du XVIIe siècle (1653, date de reconstruction du château), mais il repose sur des voûtes trappues du XIIIe siècle. C’est une enceinte rectangulaire close de murs et de fossés, jadis pleins d’eau.
À cette époque, le Château tenait une place assez importante dans l’histoire de la commune, sans toutefois égaler le rôle de la Commanderie.
Du point de vue de la hiérarchie des fiefs du territoire, nous avons découvert dans le dictionnaire topographique, les états suivants, concernant les hameaux actuels de la commune :
- Brétigny, fief vassal de la baronnie d’Auneau.
- Génerville, fief vassal de Francourville et ressortissant du baillage de Chartres pour la justice.
- La Saussaye, fief vassal de Chartres, ressortissant à Gellainville pour la justice.
- Lorville, fief de la commune de Sours, ancien fief vassal d’Auffains.
D’où un morcelage assez grand du territoire qui deviendra celui de Sours.
L'Église Saint-Germain
Le 13 Juillet 1788, un violent ouragan détruit l'église. Seule, la tour du clocher datant de la fin du XIIème siècle résiste.
L'actuelle église aurait été reconstruite, quinze ans plus tard, avec les matériaux de l'église Saint-Hilaire de Chartres qui fut détruite lors de la Révolution Française et dont les matériaux furent vendus en biens nationaux.
Retrouvez toute l'histoire détaillée de Sours dans le livre : " SOURS, petits récits et grande histoire ".
(Éditions : Les Amis de la Bibliothèque de Sours)
SOURS
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DIENHEIM
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Le Comité de Jumelage Sours-Dienheim, va bientôt fêter ses quarante ans. Ci-dessous vous retrouverez les moments-clefs et les souvenirs de cette histoire fabuleuse qui continue de s'écrire année après année, depuis que des visites réciproques entre nos deux communes ont eu lieu ... c'est à dire depuis 1974 !
Août 1976
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11 Novembre 1977
La charte de jumelage entre la commune allemande de Dienheim et la commune de Sours fut signée officiellement par les maires respectifs de l'époque : Bern NEUMER (pour Dienheim) et Denise ÉGASSE (pour Sours).
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Les 10 ans de Jumelage
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Depuis, des rencontres régulières se déroulent chaque année. En échange mutuel, une année en Allemagne et l'autre en France avec,
à chaque fois, un hébergement pris en charge par les habitants eux-mêmes, ce qui crée inévitablement des liens supplémentaires.
Les échanges sont portés principalement par une ou deux associations qui changent régulièrement.
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La commune de Dienheim, village viticole, est située au bord du Rhin dans la région de la Rhénanie-Palatinat.
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De nombreux cadeaux agrémentent ce jumelage.
Cela nous permet au fil des ans, de connaître un peu plus les origines et les coutumes de nos amis d'outre-Rhin.
La gestion de ce jumelage est assumée par une association dynamique qui nous permet chaque année, au mois de Mai, de rencontrer les " Dienheimer ".
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Pour plus de détail sur Dienheim : www.dienheim.de