Skip to content

#06 De la Bassée à la Haute Plaine Traditional Geocache

Hidden : 11/1/2016
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

Je vous propose un petit circuit de caches reprenant le parcours créé par l'office de Tourisme du CTNVS. Actuellement, le parcours fait 9,73 km et s'agrandira au fur et à mesure.

Les papillons


Les prairies naturelles inondables

Dans la seconde moitié du XXème siècle, suite à la modification des pratiques agricoles traditionnelles, ces habitats remarquables ont énormément régressé. La quasi disparition du pâturage et de la production de foin dès la fin des années 1950, couplée à la plantation de nombreuses peupleraies et au développement de la culture des céréales comme le maïs, a provoqué une forte régression des prairies naturelles de la Bassée.
Les dernières grandes prairies inondables de la Bassée sont localisées sur les communes de Crancey, Pont-surSeine, la Villeneuve-au-Châtelot et Marnay-sur-Seine. De nos jours, ces prairies font office de reliques et hébergent des espèces remarquables menacées de disparition.

Les reptiles

Dans la Bassée, 4 espèces de reptiles peuvent être observées :

Couleuvre à collier (Natrix natrix) : La Couleuvre à collier, Natrix natrix, est une espèce de serpents de la famille des Natricidae. Elle peut arborer des couleurs allant du gris au noir, en passant par le brun et le verdâtre, mais elle est généralement reconnaissable au motif clair qu'elle porte sur la nuque et qui lui a valu son nom vernaculaire. Sa taille varie de 65 cm à plus de 1,40 m, voire jusqu'à 2 m, les femelles étant plus grandes que les mâles.

Ce serpent est largement répandu en Europe ainsi qu'en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Il vit généralement non loin des cours et plans d'eau, où il trouve les amphibiens dont il se nourrit principalement. Il peut également chasser des poissons ou des micromammifères. Il peut se déplacer rapidement et avec aisance, aussi bien sur la terre ferme que dans l'eau. Il est non venimeux et inoffensif pour l'Homme. L'espèce est ovipare et a une espérance de vie d'environ 25 à 28 ans.

L'espèce compte de cinq à quinze sous-espèces selon les auteurs. Sa taxinomie est en effet toujours sujette à débat bien que de récentes études génétiques permettent de préciser les liens de parenté entre les différentes populations. Au cours de l'évolution, l'espèce a divergé de son plus proche parent, la Couleuvre tessellée, il y a entre 13 et 22 millions d'années.

Par le passé, de la préhistoire à une époque très récente, la couleuvre à collier a été consommée par l'homme. Aujourd'hui, elle n'est pas considérée comme menacée par l'Union internationale pour la conservation de la nature même si, localement, certaines sous-espèces ou populations sont en danger d'extinction. Elle fait l'objet de mesures de protection dans certains pays où elle vit, notamment en Europe, où elle est protégée par la convention de Berne.

Couleuvre à collier

(merci à Yohann Brouillard pour l'autorisation d'utilisation des photos des reptiles)

- Lézard des murailles (Podarcis muralis) : Le Lézard des murailles (Podarcis muralis) est une espèce de sauriens de la famille des Lacertidae. Ce petit lézard originaire d'Europe a été introduit en Amérique du Nord.

Cette espèce se rencontre en Europe en Espagne, à Andorre, en France, en Belgique, aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Italie, en Slovénie, en Croatie, en Bosnie-Herzégovine, en Serbie, en Monténégro, en Albanie, au Kosovo, en Macédoine, en Tchéquie, en Slovaquie, en Hongrie, en Roumanie, en Bulgarie, en Grèce et en Turquie.

Il a été introduit au Royaume-Uni, en Colombie-Britannique au Canada et en Ohio et au Kentucky aux États-Unis.

Il habite les vieux murs, les tas de pierres, les rochers, les carrières, les terrils, les souches et apprécie spécialement les rails ou les quais de gares peu fréquentés. Ce lézard est beaucoup plus urbain que les autres espèces.

C'est un lézard de forme élancée, espèce extrêmement polymorphe, avec une variabilité extraordinaire de l'écaillure, une coloration très variable, brun, gris ou même verdâtre. La face ventrale est claire, jaune, bleu ou rougeâtre. La gorge est mouchetée de noir.

Le mâle mesure 20 cm, exceptionnellement 25 cm, la femelle 18 cm. On ne peut pas déterminer son sexe tant qu'il n'a pas atteint la maturité.

La queue de ce lézard casse facilement (autotomie), lui permettant ainsi d'échapper à des prédateurs. En effet, l'extrémité « perdue » continue à s'agiter ce qui constitue un leurre vis-à-vis de l'attaquant. Une queue de remplacement repousse progressivement mais elle est dépourvue d'écailles, et elle est uniformément gris sombre. Parfois elle peut repousser double.

On peut observer ce lézard toute l'année dans le sud de la France.

Il se nourrit d'araignées, de lépidoptères (papillons, chenilles, teignes), d'orthoptères (criquets, grillons), de vers de terre, de pucerons, de diptères (mouches), coléoptères et même et d'hyménoptères.

L'accouplement a lieu au printemps, suivi de la ponte qui, selon les régions, intervient entre avril et juin. La durée de l'incubation est de quatre à onze semaines.

Il est principalement la proie des oiseaux et des hérissons ainsi que des chats près des zones habitées.

Lézard des murailles

- Lézard des souches (Lacerta agilis) : Lacerta agilis, le Lézard des souches est une espèce de sauriens de la famille des Lacertidae. En France, ce lézard est strictement protégé par la loi.

Cette espèce se rencontre dans la majeure partie de l'Europe et de l'Asie centrale où il atteint des altitudes élevées (3 500 m) dans le sud de l'Angleterre, en France, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Danemark, dans le sud-est de la Norvège, dans le Sud de la Suède, en Estonie, en Lettonie, en Lituanie, dans l'est de la Pologne, en Tchéquie, en Slovaquie, en Hongrie, en Suisse, en Autriche, dans le nord-est de l'Italie, en Croatie, au Bosnie-Herzégovine, au Monténégro, en Serbie, au Kosovo, en Albanie, en Macédoine, dans le nord de la Grèce, en Bulgarie, en Roumanie, en Moldavie, en Ukraine, en Biélorussie, en Russie, dans le Nord-Est de la Turquie, en Géorgie, en Azerbaïdjan, en Arménie, au Kazakhstan, au Kirghizistan, au Xinjiang en Chine et en Mongolie.

Les adultes mesurent une dizaine de centimètres du museau au cloaque. C'est un lézard corpulent à pattes courtes et à tête courte et épaisse. Sa coloration est assez variable, tirant sur le vert pour les mâles en période de reproduction. Beaucoup d'individus ont des ocelles et des marques ou marbrures sombres sur les flancs. Les femelles sont en général plus grises ou brunes.

À basse altitude, ils préfèrent des milieux plus humides et plus boisés que le lézard vert alors qu'ils occupent des pelouses ou des milieux rocailleux bien exposés à plus haute altitude.

Lézard des souches

- Lézard vert occidental (Lacerta bilineata) : Lacerta bilineata est une espèce de sauriens de la famille des Lacertidae. En français elle est nommée Lézard vert occidental ou Lézard à deux bandes.

Tout comme son proche cousin Lacerta viridis, Lacerta bilineata a une teinte de fond verte mouchetée de noir. Le ventre est vert/jaune vif, sans taches. On peut également y voir des teintes de bleu sur la gorge, notamment chez le mâle adulte, même si cette coloration peut être aussi présente chez la femelle.

Atteignant en moyenne 30 cm de longueur totale (dont les 2/3 pour la queue). Le dimorphisme sexuel est important. Outre la coloration bleu vif sur la gorge et les côtés de la tête en période de reproduction chez le mâle, les femelles se distingueraient :

  • D'après certains auteurs, par généralement deux lignes blanches sur les côtés du dos et parfois sur les flancs et les juvéniles ne posséderaient pas la robe verte caractéristique mais une coloration dorsale marron (plus ou moins claire) et le ventre ainsi que les flancs vert clair.
  • D'après d'autres observateurs, ce seraient les individus subadultes qui présentent ces deux bandes blanches bien marquées sur le dos et la queue, ce qui vaut à l'espèce son nom vernaculaire : lézard à deux bandes. Cette spécificité permet de la distinguer de Lacerta viridis.

Selon certaines croyances populaires le lézard vert serait hargneux et agressif, ne lâchant plus le doigt mordu. Il est vrai que le lézard vert peut mordre, mais uniquement pour se défendre s’il est capturé. Il pince assez fort mais n’est pas venimeux et finit toujours par lâcher prise. Sa réputation de ne jamais lâcher prise vient du fait que par réflexe, une fois qu'on est mordu, on se lève emportant le lézard qui, n'ayant plus de contact au sol, décide de ne plus ouvrir la bouche car n'ayant plus d'échappatoire. En fait, il suffit de laisser ses pattes en contact avec le sol pour qu'il lâche prise rapidement. Il s’agit d’un animal protégé par la loi en France (arrêté du 19/11/07), il est donc interdit de le tuer, mutiler ou capturer (y compris un animal déjà mort).

Lézard vert occidental

BONNE RECHERCHE

Additional Hints (Decrypt)

Wr ibhf thrggr ovra &ntenir; y'noev qnaf zba neoer.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)