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[#023 CEL] Barjouville Traditional Geocache

This cache has been archived.

Vandergore: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache définitivement.

voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance

Comme cet archivage a eu lieu à cause d'un manque de maintenance, il m'est impossible de la réactiver.

Si vous voulez refaire une cache ici ... s.v.pl. soumettez un nouveau listing.

Cordialement,

Vandergore / Geocaching HQ - Volunteer Reviewer

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Hidden : 9/4/2016
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:


Les communes d'Eure-et-Loir [CEL]

Cette cache fait partie de la série "401 communes en Eure-et-Loir [CEL]".

Il s'agit d'une idée assez simple : vous faire découvrir toutes les communes que compte notre département.

Pour relever ce défi, un groupe de géocacheurs s'est créé afin d'organiser au mieux la pose des caches. Ces dernières peuvent être de différents types et de différentes tailles.

Si vous souhaitez rejoindre le projet [CEL], contactez l'un des propriétaires de cache de la série : il se fera un plaisir de vous indiquer les communes disponibles et la marche à suivre wink.

 

#023 - Barjouville



Nom des habitants : Barjouvilloises et Barjouvillois.

Population : 1663 (recensement de 2012)

Superficie : 414 hectares

Densité : 402 hab./km²


 

Située à la porte sud de la zone urbaine de l’agglomération, Barjouville présente deux visages, deux identités.
La première, nichée au coeur d’un espace privilégié de la Vallée de l’Eure, est un authentique village dont la partie la plus ancienne, son église, ses murs en bauge et son exploitation agricole confirment un enracinement dans une ruralité à laquelle nombre de Barjouvilloises et Barjouvillois sont attachés. Au cours des dernières décennies, une urbanisation sous la forme d’espaces pavillonnaires et de logement locatifs sociaux s’est étendue sur les hauteurs de la rive ouest de l’Eure.
La seconde, à l’écart du village sur le plateau nord-ouest, s’étend en rive de la rocade, une zone d’activités commerciales réunissant une soixantaine d’enseignes principalement dédiées à l’équipement de la maison et de la personne.

 

Les armes de la commune de Barjouville se blasonnent ainsi :
D'or à la bande d'azur, chargée de trois oies au naturel, accompagnée en chef de deux Coquilles Saint-Jacques de méme et en pointe de trois peupliers de sinople.

 

Quelques mots...

Bergevilla, Beriouvilla, Berjouvilla, Barjouvilla, Berjouville". Blotti au fond d'un vallon bucolique et riant, le village de Barjouville est revenu sur le devant de la scène grâce au regain d'intérêt pour le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, qui est devenu, bien au-delà de la pratique religieuse, très à la mode, voire très "tendance"...

Certes, beaucoup d'autres villages de notre région pourraient se prévaloir de cet antique pèlerinage tant les chemins vers ce lieu saint sont nombreux. Mais l'épisode de 2010, où des pèlerins partirent de la cathédrale accompagnés d'un âne pour faire route vers Barjouville, a fait revivre une vieille tradition. Effectivement consacrée à Saint-Jacques le Majeur, l'église, située dans un environnement paisible et champêtre, présente une architecture très typique dans le Pays chartrain. Elle fut probablement reconstruite à la fin du XVIe siècle, après la destruction quasi totale des édifices religieux par les troupes de Condé lors du siège de Chartres en 1568.

Actuellement en travaux, singulièrement au niveau du clocher qui fut déposé et reposé après avoir été doté d'un tout nouveau coq rutilant et clinquant à souhait, on est surpris par la présence d'un chevet plat à trois ouvertures. Le maître verrier chartrain Lorin y installa, en 1873, trois vitraux représentant le Sacré-Coeur, St-Jacques le Majeur et Saint-Laumer. Avant les travaux, on pouvait voir les trois bâtons de confrérie de Saint-Jacques, Saint-Christophe et de la Sainte Vierge qui confirment bien la "vocation jacquaire" de cette église. A noter que le bâton de Saint-Jacques (XVe siècle) est classé.

La cloche datée de 1598 est une des plus anciennes de la région et elle a le double mérite d'avoir survécu à tous les désordres que notre région a connus et de rappeler le nom du desservant de l'époque, Michel Petit, qui fut semble-t-il également chanoine de Saint-André de Chartres et docteur en droit canon. Cette belle et humble église est en ce moment l'objet de soins attentifs dans un cadre multipartenarial dont la Fondation du Patrimoine et une association locale de sauvegarde sont parties prenantes

Une anecdote... Barjouville-les-Oies

Il ne saurait être question de parler de Barjouville sans évoquer les oies qui, vraisemblablement, n’étaient pas plus nombreuses à Barjouville qu’ailleurs. En l’an XII (1804), vu la quantité prodigieuse des oies élevées dans certaines communes, le préfet demande aux mairies d’en limiter le nombre et d’en réglementer l’accès aux pâturages. La mauvaise réputation des oies n’est déjà plus à faire : « ces oiseaux domestiques se dépouillent de leurs plumes que nos bestiaux avalent ce qui gêne leur digestion, les fait tousser et cause chez eux des maladies souvent incurables; ces oiseaux domestiques ont le bec et les incisives d’une force extraordinaire, ils pincent l’ herbe de si près qu’elle se reproduit difficilement, surtout dans un temps sec ; les matières de leur digestion sont si chaudes qu’elles brûlent l’ herbe aux endroits où ils les déposent (...) cet abus est une des causes principales de la stérilité de nos pâtures. »

En 1838, un conseiller municipal de Barjouville demande (et obtient) qu’une partie des pâtures soit destinée « au dépaissement des chevaux, ânes et vaches »et qu’une autre soit réservée « aux élèves d’oies, ce qui serait plus convenable que la réunion de tous les animaux sur toutes les portions ». La statistique agricole de 1862 dénombre 3516 oies dans le canton de Chartres-sud dont 200 à Barjouville mais aussi 298 à Morancez. Celle de 1929 fait état, pour Barjouville, de 36 oies élevées pour leur chair et leur duvet. Et, pendant une dizaine d’années encore, l’on verra, chaque matin, les oies sortir seules des cours, se rassembler en troupeau et rejoindre les prés. Elles y resteront tout le jour puis, le soir venu, la lente procession prendra le chemin du retour avant de s’égrener au fil des maisons.

 

Sources :

- Magazine "Votre Agglo", n° 12, Février 2012

 

 

Additional Hints (Decrypt)

Qnaf yr yvreer... [Attention : il faut enlever le couvercle et pas retirer la boite ! Merci car la boite est fragile]

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)