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IN MEMORIAM Traditional Geocache

Hidden : 8/29/2016
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Hommage a Max-Firmin Leclerc et a sa femme


Né dans une famille originaire de Haute-Marne depuis plusieurs générations, Max-Firmin Leclerc abandonne ses études en 1942 et entre à la SNCF où se réfugient des jeunes gens en âge d’être réquisitionnés par l’occupant allemand comme travailleurs en Allemagne. Il commence à écrire. Après la Libération, en 1944, il s’engage au 5e régiment de génie où il aura pour mission de reconstruire des ponts ferroviaires en Alsace, puis en Allemagne dans la zone d’occupation française.

Démobilisé, il retourne à la SNCF en juillet 1946 et publie ses premiers recueils sous le pseudonyme de Max de Saint-Dizier. En 1950, il est secrétaire général de la Société des écrivains et artistes du peuple qui publie la revue Faubourgs 50. Il y tient de mai 1950 à novembre 1951 une rubrique intitulée « Le Médaillon » où il fait le portrait d’écrivains ou d’artistes tels que Louis Guillaume, Pierre Boujut, Maurice Montet, Philéas Lebesgue ou Wilfrid Lucas. Il démissionne, jugeant que le mouvement s’oriente vers la politique.

En 1951, il reçoit le premier prix de Poésie libérée du premier concours organisé par l’Union artistique et intellectuelle des cheminots français (UAICF)[1], société où il rencontre d’autres écrivains. En résultera, en 1952, la création de l’Association des écrivains cheminots, avec pour président d’honneur Maurice Genevoix[2]. Parmi les membres figurent entre autres Jean Drouillet, Jean Verdure, Henri Vincenot. Max Leclerc en est le secrétaire général. Le quotidien L’Aurore commence à publier régulièrement ses contes[3].

En 1954, il reçoit le prix de poésie Enguerrand-Homps pour son recueil de poèmes Le Cap des trente[4], qui restera inédit jusqu’en 2011. C’est à cette période qu’il s'oriente vers la réalisation télévisuelle. Il commence ses études de télévision au Centre d’études de radio-télévision de la Radiodiffusion-télévision française (RTF), où il a notamment André Vigneau pour professeur. En 1958, il est nommé réalisateur à la direction régionale de Marseille, avant de revenir à Paris en 1962. La RTF devient ORTF en 1964, et il y poursuit sa carrière jusqu'à son éclatement en 1975. Sa mise à l'écart lui inspire son roman-pamphlet La République du mépris.

Additional Hints (Decrypt)

qreevèer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)