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CD89 #Piffonds# Traditional Geocache

This cache has been archived.

miguaine: Bonjour laburette,

Cache archivée pour permettre éventuellement à un autre géocacheur d'en placer une dans le secteur.

Cordialement,
Miguaine - "Geocaching HQ Volunteer Reviewer"

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Hidden : 4/2/2016
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Les communes du 89

Merci de copier cette partie de listing (ainsi que le descriptif du département) sur vos créations :
Série collaborative de caches posées dans chacune des communes de l'yonne Afin que chacun puisse poser librement sans qu’il y ait un projet déjà existant, merci de vous inscrire sur le tableau suivant :

Voici le lien vers le fichier de réservation :

 

 

 

https://docs.google.com/spreadsheets/d/1m9rjmJDenB63CibFsdqDbn5E_9XT81bzUQkR8sCd4qQ/edit?usp=sharing

 

Au IXe siècle le Liber sacramentorum3 cite Puteumfontis dans la liste des lieux du diocèse de Sens, au même titre que Courtenay et Domats. En effet, du point de vue de la loi féodale Courtenay et Piffonds formaient une unité4.

Il existait un château à Piffonds en 1264, propriété des seigneurs de Courtenay. Il est cité à cette date lorsque l'empereur de Constantinople Baudouin II de Courtenay y a signé une charte en faveur du prieuré de Saint-Hilaire-les-Andrésis. Déjà en 1256 Beaudoin avait dû engager les bois de Piffonds pour payer les dettes de sa femme4,5.

Charles de Valois et Catherine de Courtenay (Catherine de France) acquièrent les terres de Courtenay, Chantecoq et Piffonds en 1303. Après la mort de Catherine en 1307, leur fille Catherine de Valois-Courtenay devait en hériter. Mais lorsque son fils aîné Philippe de Valois épouse Jeanne de Bourgogne en 1313, Charles de Valois fait passer ces trois terres à Jeanne en les donnant tout d'abord à Philippe, qui à son tour les assigne à sa femme par contrat de mariage - notant toutefois qu'elles sont sujettes à un droit de réversion, selon lequel il est dit que si le couple meurt sans enfant les terres reviendront aux héritiers de Philippe et non à ceux de Jeanne. Dans ce même contrat de mariage il est également dit que le prince de Tarente, Philippe Ier d'Anjou époux de Catherine de Valois-Courtenay, pourrait dans dix ans retirer cet héritage donné à Jeanne moyennant le paiement de 15 000 livres. Et parce que Catherine de Valois-Courtenay aurait dû hériter de ces terres, Charles de Valois fait ratifier à cette dernière une charte de la même année signée de Philippe le Bel attestant ce partage.
Piffonds est donc jusqu'alors un domaine privé dont Jeanne de Bourgogne ne possède que l'usufruit, la nue-propriété restant à son époux. Mais Philippe de Valois accède au trône en 1328, et les terres de Courtenay, Chantecoq et Piffonds passent alors dans le domaine royal6.

En 1332 le roi acquiert plusieurs autres terres et fiefs pour agrandir ses domaines de Courtenay]], Chantecoq et Piffonds. Ces trois terres sont ensuite cédées à Raymond de Mareuil "pour en jouir la vie durant" comme partie d'une rente de 12 000 livres annuelles - leur nue-propriété relevant toujours du domaine royal. Courtenay, Chantecoq et Piffonds passent dans le domaine public des rois de Navarre en 1404, par lettres patentes échangées dans le cadre d'un traité de paix entre Charles VI et Charles III de Navarre. Elles sont alors unies au duché de Nemours, cédé lui aussi en 1404 à Charles III. Le tout est toujours grevé d'un droit de réversion : si le tenant des terres meurt sans enfant, les terres reviennent à la Couronne. Leur cession est donc sous forme d'apanage6. Pour plus de détails sur les tenants successifs, voir l'article Courtenay (Loiret)#Histoire.

Charles V, ayant succédé à son père Jean le Bon en 1364, devint seigneur de Courtenay et de Piffonds, qu'il donna en viager au comte Jean de Sarrebrück, bouteiller. Lors des guerres franco-anglaises, les Etats réunis à Compiègne en 1367 s'inquiétèrent de la quantité de forts où pouvaient s'établir les ennemis. Chaque bailliage fut visité par le bailli de l'endroit et deux chevaliers ; le bailli de Melun, dont dépendait Piffonds, y vint accompagné de Taupin du Plessis et de Charles de Bouville7. , son propriétaire du moment, fit détruire les tours du château de Piffonds pour que les armées ennemies ne s'y retranchassent. De ce château il ne reste que les soubassements sur lesquels est bâti le château existant de nos jours, qui date de la fin du XVe siècle. Il a été rebâti sur le même plan trapézoïdal que l'ancien. Les bâtiments, disposés à angle droit, sont encadrés de tours d'angle au nord et à l'est et des courtines les reliaient à la grosse tour d'angle du côté ouest, subséquemment transformée en colombier. Des archères en percent les murs de la salle basse au rez-de-chaussée. La date de 1472 apparaît sur une poutre du colombier, reste probable de l'ancienne aile sud subséquemment remaniée.

Le château abritait alors une tuilerie, d'où proviennent les pots de terre cuite des niches du colombier. Il abritait également une chapelle, dite chapelle de Notre-Dame, dans son enceinte - ce dernier trait assez rare à l'époque puisque la plupart des chapelles de château étaient situées hors de l'enceinte de ces derniers, généralement accolées à l'extérieur des murailles. La chapelle est mentionnée dès le 8 juin 1266 (Benoît, chapelain) et en janvier 1343 (Jean Godars, chapelain de la chapelle du château de Piffonds). Jusqu'en 1819 les jardins du château étaient prolongés en un grand parc de près de 340 hectares, une surface largement occupée par des bois qui furent vendus en 1844. Ce parc est mentionné dès le 15 novembre 1274 dans un compte de la terre de Courtenay, où l'on peut lire « au parc de Piffon 100 arpents de bois de 8 ans et tous les boissons ». Au Moyen Âge on appelait la seigneurie « Piffonds lès-le-Parc », ce qui indique l'importance dudit parc. La tour sud a été démolie par le nouveau propriétaire de 18444.

Oncle de Louis XVI, S.A.R. le maréchal de Saxe possédait des biens à Piffonds en 1771-1792 et 1802-1806. Il possédait également la moitié du département actuel jusqu'à ce que le département de l'Yonne soit formé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d'une partie des provinces de Bourgogne, de Champagne et de l'Orléanais. Depuis 2002, des membres de l'association Le clos Crève-Cœur ainsi que des résidents du Centre d'Aide par le Travail, pratiquent des plantations de vigne à Piffonds8.

source wikipédia

 

Additional Hints (Decrypt)

l'n whfgr à ertneqre yrf Q/G, rg cnffre qreevèer ha qrf 3.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)