Le Clairon un autre combatif, 10 ans de carrière,
petit protégé du manadier Granon.
Ce dernier aimait entretenir la légende, du véritable géniteur de son petit, Le Clairon avait la grande taille et la longueur de l’Artilleur et la bravoure et le moral du Sanglier.
Il aimait détrousser les spectateurs dans la contre piste,
avec une certaine méchanceté ;
50 ans après Goya qui faisait de même.
Voici en détail, les combatifs Cocardiers honorés
d’une statue à leur gloire :
- Muscadet de Rouquette à (Mauguio - 34) (Biòu d’Or 1998)
- Gandar (Vauvert - 30) (Biòu d’Or 1955)
- Goya (Beaucaire - 30) (Biòu d’Or 1976)
- Camarina (Sénas – 13) (Biòu d’Or 2005, 2007, 2008)
- Le Sanglier (Le Caillar – 30)
- Le Clairon : 1963, sculpteur Socorsi (Beaucaire - 30)
- Pascalet : Manade Rébuffat, (Lunel – 34) (Biòu d’Or 1980)
Bonne recherche, discrète ; s’il vous plait !
GC6EHQG beaucaire
Né 1964, Goya était un taureau camarguais issu d’une grande dynastie camarguaise de la Manade Laurent. Tout au long de sa carrière les spécialistes de la Bouvine l’encensaient.
Il avait l’œil vif du taureau combatif, et il lisait les approches de ses assaillants qui le respectaient et le craignaient, aux dires de tous. Contrairement aux courses espagnoles, les courses camarguaises sont des grandes fêtes dans le Sud de la France
et ce type de combattants est vénéré
et chouaillé par les Manadiers.
Ces derniers interdissent que l’on blesse leurs bêtes, mais l’inverse se produit régulièrement.
Ces taureaux sont extrêmement dangereux
et celui-ci un mythe.
Il vous attend sagement à Beaucaire.
Bonne recherche et avec discrétion.