Tout d’abord rendons à César ce qui appartient à César.
En m’amusant à résoudre des énigmes à travers le monde, je suis tombé sur cette série au Canada. J’ai immédiatement été séduit par ce thème que je ne connaissais pas. La qualité, tout le travail de recherche et la réalisation des énigmes reviennent à Eratosthene, inconnu en France et pourtant possédant au Canada le nombre le plus élevé de points favoris.
Je vous invite à visiter son profil en cliquant sur son lien ainsi que ses caches pour en apprécier l’originalité et l'ingéniosité.
Cette série ne pouvait pas rester qu’au Québec. Je l’ai rapatriée pour vous en faire profiter.
Pour trouver les coordonnées de cette cache, je vous propose une énigme empruntée à la cache GC6597Q faisant partie de la série placée non loin de la ville de Québec, au Canada.
Bien souvent, pendant mes recherches, j’ai fixé l’écran de mon ordinateur comme certains fixent une cheminée pour observer les flammes danser. Pour vous en convaincre, regardez des vidéos sur ce sujet : game of life. C’est captivant de regarder l’évolution complexe des cellules de vie.
Pour pouvoir résoudre certaines énigmes, il faudra utiliser un simulateur.
Mais qu’est-ce donc que ce jeu ?
Le jeu de la vie est un automate cellulaire imaginé par John Horton Conway en 1970 qui est probablement, au début du XXIe siècle, le plus connu de tous les automates cellulaires.
Règles
En préambule, il faut préciser que le jeu de la vie n’est pas vraiment un jeu au sens ludique, puisqu’il ne nécessite aucun joueur ; il s’agit d’un automate cellulaire, un modèle où chaque état conduit mécaniquement à l’état suivant à partir de règles pré-établies.
Le jeu se déroule sur une grille à deux dimensions, théoriquement infinie (mais de longueur et de largeur finies et plus ou moins grandes dans la pratique), dont les cases — qu’on appelle des « cellules », par analogie avec les cellules vivantes — peuvent prendre deux états distincts : « vivantes » ou « mortes ».
À chaque étape, l’évolution d’une cellule est entièrement déterminée par l’état de ses huit voisines de la façon suivante :
- Une cellule morte possédant exactement 3 voisines vivantes devient vivante (elle naît). (Règle B3 Birth)
- Une cellule vivante possédant 2 ou 3 voisines vivantes le reste, sinon elle meurt. (Règle S23 Survive)
Ainsi, la configuration
donne au tour suivant la configuration 
qui redonne ensuite la première.
On peut également formuler cette évolution ainsi :
Si une cellule a exactement trois voisines vivantes, elle est vivante à l’étape suivante. C’est le cas de la cellule verte dans la configuration de gauche.
Si une cellule a exactement deux voisines vivantes, elle reste dans son état actuel à l’étape suivante. Dans le cas de la configuration de gauche, la cellule située entre les deux cellules vivantes reste morte à l’étape suivante.
Si une cellule a strictement moins de deux ou strictement plus de trois voisines vivantes, elle est morte à l’étape suivante. C’est le cas de la cellule rouge dans la configuration de gauche.
La règle Normal de Conway est de type B3/S23 : il faut qu’une cellule morte soit entourée de 3 cellules vivantes pour naitre et il faut qu’une cellule vivante soit entourée de 2 ou 3 cellules vivantes pour continuer à vivre.
Description :
A partir de cette règle simple on peut commencer avec ce premier exercice :
Les coordonnées de la cache sont : N43°27. ? E005°25. ?
Pour trouver les millièmes, vous devez déchiffrer ce qui suit :
Dans le checker se trouve un indice pour la cache LJDLV 17.
L’accès aux massifs forestiers est règlementé du 1er juin au 30 septembre. Avant de partir, appelez le 08.11.20.13.13, consultez le site : Risques Feux de Forêts ou téléchargez l'application My Ballade Provence et cherchez la zone 14 "Montaiguet".
Liens vers les caches :
LJDLV 01 - LJDLV 02 - LJDLV 03 - LJDLV 04 - LJDLV 05 - LJDLV 06 - LJDLV 07 - LJDLV 08 - LJDLV 09 - LJDLV 10 - LJDLV 11 - LJDLV 12 - LJDLV 13 - LJDLV 14 - LJDLV 15 - LJDLV 16 - LJDLV 17 - LJDLV 18
