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Fresnoy en chaussée #1" le puits" Traditional Geocache

Hidden : 3/2/2016
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


Fresnoy en chaussée#1

le puits

 

 

la cache est une nano ,elle contient un logbook,pas de stylo

pince à épiler indispensable  pour sortir le logbookwinkwink

 

 

pour la petite histoire

 

 

Contrairement aux fontaines qui captent les eaux apparaissant à la surface de la terre, les puits sont creusés dans le sol, à des profondeurs variables (de quelques mètres jusqu’à une cinquantaine, parfois même plus), de manière à atteindre les eaux d’infiltration rassemblées dans la nappe phréatique. Souvent, en Périgord, le puits est directement taillé dans la roche calcaire ; quand ce n’est pas le cas, la fouille cylindrique, de un à deux mètres de diamètre environ, doit être stabilisée par un revêtement maçonné, en pierres sèches dans la partie inférieure immergée dans la nappe, pour faciliter la pénétration de l’eau dans le puits, et maçonnerie liée au mortier dans la partie supérieure jusqu’au niveau du sol. Au-dessus est construite une margelle, en général cylindrique, parfois carrée, exceptionnellement octogonale. On peut trouver des margelles monolithiques ; le puits communal de Saint-Amand-de-Coly doit, en Périgord, en être l’unique exemplaire. La fonction de la margelle est triple : 1-elle assure la sécurité du puiseur en le protégeant des chutes (de nos jours, la majorité des puits sont malheureusement hors d’usage – un temps viendra où on le regrettera amèrement – et les règles draconiennes de sécurité en vigueur imposent de couvrir la margelle d’une grille ou d’une plaque métallique) ; 2-son assise supérieure, en surplomb sur les autres, permet de s’appuyer commodément et de poser le seau (quelques fois une échancrure a été aménagée à cet effet) ; 3-elle permet la fixation du dispositif de puisage et éventuellement d’une couverture protectrice. En outre, le Périgord offre de nombreux puits bâtis : la margelle y est remplacée par un petit édifice maçonné, couvert de différentes manières, de dalles en pierre, de lauzes, de tuiles plates, d’ardoises (beaucoup plus rarement), et souvent fermé par une porte en bois. Le dispositif le plus rudimentaire de puisage consistait à utiliser comme balancier une longue perche en bois, munie ou non d’un contrepoids. Nous ne saurions dire s’il en a existé en Périgord, mais, si c’était le cas, ils ont disparu. Ils ne pouvaient d’ailleurs servir que pour les puits les moins profonds. D’une manière simple et moins rudimentaire, on manœuvrait le seau par l’intermédiaire d’un câble ou d’une chaîne passant sur une poulie maintenue à peu près dans l’axe du puits par une potence ; dispositif simple mais pas forcément modeste car cette potence, en fer forgé, pouvait être d’une grande qualité. Cependant, en raison du poids de la chaîne auquel s’ajoute celui du seau plein, ce dispositif devenait inutilisable dans le cas des puits les plus profonds. La solution le plus généralement employée pour y remédier fut de fixer sur la potence ou directement sur la margelle (mais, dans ce dernier cas, la poulie devenait inutile) un treuil mu par une manivelle (ou tout autre mécanisme qui réduisait l’effort à fournir) sur le tambour duquel (tambour en bois ou en métal) s’enroulait le câble ou la chaîne. Au cours du XX e siècle, l’emploi des pompes se généralisa. Il en existe une multitude de modèles mus par un levier (le balancier) ou par un système mécanique plus complexe : aspirantes, aspirantes et refoulantes, à double effet. Avec les premières, l’eau pénètre dans le corps

 

 

Additional Hints (Decrypt)

nggragvba nhk rpuneqrf

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)