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#7 - Le Frugy - Bonnes Résolutions 2016 Mystery Cache

Hidden : 6/29/2016
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
2.5 out of 5

Size: Size:   other (other)

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Geocache Description:

Une petite série qui devrait vous amener tout autour et sur le Mont Frugy, si cher aux quimpérois.


Attention ! Ceci est plutôt une cache urbaine de nuit. Veuillez être ultra discret, notamment sur la dernière partie du trajet. Cette cache vous fera découvrir un endroit méconnu du quartier Sainte Thérèse en vous faisant faire le tour de l'Institution du même nom.

 

L'HISTOIRE DE SAINTE-THÉRÈSE

L’école Sainte-Thérèse doit son existence à l’Abbé GUILLERMIT qui venait de fonder, dans le quartier de la gare, une nouvelle paroisse dédiée à la petite Sainte de Lisieux. Dès le début, il voulut doter cette paroisse d’une école catholique tenue par des religieuses et, pour réaliser son projet, il a obtenu le concours de la Congrégation des Filles de Jésus de Kermaria.

Le 03 Mars 1933 s’ouvrait, sous l’église même – dont le clocher était encore inachevé – une garderie destinée à soulager les mamans de ce quartier populaire. Confiée à deux religieuses : Mère Ambroise et Mère Marie, elle prospéra si bien, qu’au bout de quinze mois, elle comptait 90 enfants. Pendant ce temps, « la Grande Ecole » se bâtissait sur la colline de Kergoat-ar-Lez. L’ouverture officielle se fit le 27 septembre 1934 avec 134 élèves, dont 38 internes, réparties en 6 classes. La bénédiction du nouvel établissement eut lieu le 03 octobre de la même année 1934, en la fête de Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus. Après la grand-messe, la procession se dirigea depuis l’église paroissiale jusqu’à l’école par la rue Pic de la Mirandole.

A la rentrée 1934, le nombre des élèves avait doublé : 264 au total, dont 78 internes. 

En 1938 un nouveau bâtiment était construit : il abritait une vaste chapelle, un dortoir, deux grandes salles d’étude. L’avenir était plein de promesses, mais bientôt ce fut la guerre…

 

LA GUERRE 1939-1945

Dès le début des hostilités, quelques classes du rez-de-chaussée furent réquisitionnées, comme caserne de réservistes. L’Aumônier M. COMBOT, fut mobilisé et le Vicaire Général M. MESSAGER, déjà fort âgé, se fit un devoir de venir chaque matin à pied, de l’Evêché, situé à l’autre extrémité de la ville, assurer la messe quotidienne.

Cependant, l’école continuait à prospérer. Depuis 1940, elle était devenue école secondaire préparant au baccalauréat. Si l’occupation, une règlementation stricte de l’occupation des locaux, la difficulté du ravitaillement obligèrent à modérer le recrutement, l’effectif, durant la guerre resta toujours supérieur à 400 élèves. A la rentrée 1944, donc après 10 ans d’existence, il atteignait le chiffre de 507 élèves.

1945-1959 

Le grand élan fait d’espoir de confiance en l’avenir, de soif de vivre qui caractérise l’immédiat après-guerre semble se retrouver dans la vie de l’Ecole à cette époque.

 

DE 1960 A 1984

A partir de 1960, les nouvelles lois scolaires entraînent une série de mesures qui modifieront profondément la physionomie des établissements privés.

Une nouvelle fois la nécessité de s’agrandir s’impose. Pour abriter les classes élémentaires, on installe des baraques dont les dernières ne disparaîtront qu’après 1960. Déjà, on songe à une construction en dur et en 1950, est inauguré le bâtiment « Maria-Goretti » construit au-dessus du préau, en surplomb de la rue de la fontaine.

 

A Sainte-Thérèse le contrat simple est signé, mais en 1964, le secondaire et le technique opteront pour le contrat d’association. Désormais, la rémunération des professeurs par l’Etat permet un recrutement massif de professeurs laïcs. Dès lors beaucoup de sœurs choisissent de se consacrer à d’autres tâches apostoliques, d’assurer une présence d’église là où le besoin s’en fait sentir de façon urgente, de se donner gratuitement aux plus défavorisés, aux laissés pour compte, soit en France, soit dans les Pays du Tiers-Monde.

Deux évènements importants marqueront les années 70 à 80. L’année 1974 voit l’introduction , en 6ème, de la mixité, qui s’étendra d’année en année à toutes les classes et qui incitera à accueillir dans le corps professoral un plus grand nombre d’hommes. L’année 1976 voit confier la direction de l’établissement à un jeune Laïc, M. CHRISTIEN. 

Depuis 1993, les classes du lycée ont quitté la rue Kergoat-ar-Lez pour s’installer près de l’IUT, rue de Remscheid, dans un bâtiment tout neuf. Le lycée propose également deux classes de BTS “assistant de manager”.

Additional Hints (Decrypt)

N cnegve qh gebvfvèzr cbvag vagrezéqvnver, irhvyyrm fhvier yrf eésyrpgrhef oynapf. Vyf ibhf srebag cnffre geèf ceèf q'har znvfba znvf cnf qnaf yn cebcevégé. Zêzr fv vy l n qrf ibvgherf nyyrm whfdh'nh obhg. Yn obîgr fr eéiéyren à ibhf yà bù wnhar qrivraqebag yrf eésyrpgrhef.

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)