Paul Cognasse, né à Angoulême le 10 février 1914, et mort le 15 mars 1993 à Saint-Bonnet-Elvert, est un peintre, sculpteur et verrier français.
Né dans une famille d'industriels aisés, ses parents le destinent à la carrière d'ambassadeur, mais Paul Cognasse passe tout son temps libre à dessiner et à sculpter, notamment la pierre en taille directe. Après de brillantes études secondaires, il se présente et obtient la même année un bac de philosophie et de mathématiques, puis fera des études d'allemand à la faculté de Poitiers, sous la direction du philosophe germaniste et esthéticien André Fauconnet.
Il fait de longs séjours en Allemagne et en Hongrie. Il épouse en première noce Laure Lévy, musicienne amateur, et de cette union naît Henri, qui deviendra peintre et sculpteur connu sous le nom de Pronzacq (1938-1988), et une fille, Claude, interprète, traductrice d'allemand et peintre amateur (1942-1991).
En 1939 il fait la connaissance en Hongrie du peintre et sculpteur Joseph de Molnar qui aura une influence déterminante sur sa carrière, lui faisant quitter la voie de la diplomatie pour celle de l'art.
Du fait de la survenue de la Seconde Guerre mondiale, le couple s'installe à Bazoches-lès-Bray (Seine-et-Marne) et Paul Cognasse devient instituteur tout en poursuivant son activité artistique.
De sa seconde union avec Jeanne Michau, dite Calern, elle-même dessinatrice et sculptrice, dont il fait la connaissance par l'intermédiaire d'un de ses élève, Simon Michau, frère de cette dernière. De cette union naîtront six filles, dont la première en 1947. Le couple d'artistes s'installe à Biot, comme beaucoup d'artistes de cette époque (Picasso, De Staël, etc.) et au Cros-de-Cagnes, à Cagnes-sur-Mer. En 1950, ils emménagent au Plessis-Robinson dans les cités d'artistes où ils bénéficient d'un atelier spacieux pour la sculpture et lumineux pour la peinture en bordure du parc Henri Sellier. Parmi les voisins le journalisteGeorges Pagnoud, les amis viennent souvent rendre visite au couple : la chanteuse Colette Magny, l'architecte Colboc. À partir de 1970, il fait seul de fréquents séjours à Saint-Bonnet où la famille le rejoint aux vacances, puis le couple finira par s'y installer définitivement.
Paul Cognasse est également passionné de musique et joue du piano tous les soirs tard dans la nuit. Il aimait à dire que la peinture abstraite ne l'était pas plus que la musique instrumentale et notamment le contrepoint que l'on trouve dans les fugues de Jean-Sébastien Bach.
Il est également passionné de linguistique et il a étudié, hormis l'allemand, le hongrois et le russe et s'est intéressé au chinois, au japonais et même aux langues mortes comme l'égyptien, le sumérien, l'étrusque et les différentes écritures anciennes telles que le cunéiforme.
Esprit universel, il mène des recherches approfondies en mathématiques et physique fondamentale allant même jusqu'à chercher le secret de la beauté de certaines œuvres musicales comme le Canon de Pachelbel.
C'est dans le cadre du 1 % artistique qu'il obtient des commandes pour la décoration d'établissements publics et travaille avec différents architectes, dont Colboc.
La peinture de cet artiste entièrement autodidacte se divise en trois phases. Une première période de peinture figurative à tendance fluctuante entre l'expressionnisme et le surréalisme, avec une influence du futurisme. Une deuxième période, de 1945 à 1957, avec des œuvres conçues à partir de recherche sur la couleur et la forme, étude de familles de courbes mathématiques et de systèmes de courbes orthogonaux. Il étudie les possibilités d'organiser l’espace et d'élaborer des systèmes de projections colorées (alors techniquement irréalisables). Il exécute des peintures fluorescentes, et organise deux expositions avec son épouse Calern à la galerie Colette Allendy, où ils font la connaissance de Xavier Zevaco. Il élabore des projets de tableaux formés de tubes luminescents ou de cellules électroluminescentes. Ces recherches basées sur des études mathématiques débouchent sur des œuvres « géométriques ». Une troisième période, dès mars 1957, se caractérise par un brusque retour à la peinture plus libre dans l'aboutissement de ses recherches.
Ne pas oublier de vous munir d'un stylo pour rédiger les logs des micros et une petite pince à épiler pour sortir certains logs. Merci de bien remettre les boîtes en place avec leur camouflage et de respecter les lieux.
La commune se Saint Simeux dont le bourg surplombe le fleuve est située sur la rive droite de la Charente. Ce village est composé de hameaux et lieux dits, mais également de bois tous situés en périphérie du plateau qui est recouvert de vignes.
Vous pourrez découvrir si vous ne les connaissez déjà "Les Corbeaux", puis vous passerez par la "Table d'orientation" ou il y a également une cache, ensuite vous arriverez sur le plateau et passerez par les abords immédiats d"'Etaules" avant de poursuivre votre chemin en direction de "Tourtron" où il y à également un superbe lavoir avec une cache que je vous invite à venir découvrir. A la suite de quoi vous continuerez vers "Les Plantes", puis" L'Etang" , vous arriverez à "Bellevue" en ayant longés sur votre droite les lieux dits " La Pelette et Pain Perdu". Il vous restera encore à passer par "Plançon" ou vous verrez en contre-bas de la route et sur votre gauche un joli lavoir privé .A partir de là vous longerez le "Bois Borgnat" et le "Bois De La Coudrelle" avant d'arriver au hameau "Les Pellières" et de poursuivre en direction de Rouffignac, de bifurquer vers le "Bois De Rouy", pour vous rendre "Chez Touchard" puis passer par "La Forgerie", "Le Bois de Vot" (qui est un hameau) avant de repartir en direction du "Plantier Des Chipres" sur le plateau de"Saint Simeux" pour prendre la direction de la cache "l'Artiste", de remonter au "Maine Michaud", puis"Chez Dallaud" pour redescendre vers le "Maine Cessac" où ce trouve la dernière cache de ce circuit.
Et s'i vous reste du temps je vous propose d'aller à "La Coutardiére", puis à "La Fond Rivaud" et au "Pont de Saint Simeux", et à "l'Ecluse", mais également de remonter vers "Le Trézidoux" et "Les Gaudichauds"où il vous reste des caches à découvrir.
JE VOUS SOUHAITE UNE EXCELLENTE PROMENADE ET UN BON GÉOCACHING A TOUTES ET A TOUS.