de pourpre aux deux bars adossés de sinople, écaillés d’azur, accompagnés, en pointe d’une croix de guerre d’or, au chef d’argent, chargé d’une jumelle ondée alésée d’azur
Petit port de pêche jusqu'au début du XXe siècle, Équihen-Plage est devenue commune en avril 1939.
Son histoire est intimement liée à celle de la pêche.
René Bazin, dans son roman Gingolph l'abandonné, a décrit le paysage "pittoresque" d'Équihen-Plage qui s'est enorgueilli d'être le séjour de prédilection pour les artistes et les peintres : Caffier fréquentait Équihen au début du XXe siècle mais aussi Gil Franco, Chintreuil, Debrasse, Demizel, De Palézieux ou encore Rik Poot qui ont aussi travaillé et demeuré à Équihen-Plage sans oublier Jean-Charles Cazin, peintre boulonnais.
La mairie construire récemment et l'église Saint-Pierre renferment plusieurs tableaux de ces artistes.
La plage d'Équihen est sableuse, limitée par des dunes. Elle s'étend sur plus de 3 km, de l'estuaire de la Warenne (Écault) au sud jusqu'aux falaises du Cap d'Alprech (Le Portel) au nord.
Contrairement à de nombreuses stations balnéaires, Équihen a préservé son paysage sauvage et son environnement naturel. Le bord de mer n'est quasiment pas urbanisé. Il se compose essentiellement de falaises, de dunes et de criques. Il permet la randonnée et offre de magnifiques vues sur la mer.
La population dispose de plusieurs accès à la plage. Le principal, celui le plus au sud, est le seul endroit bétonné du bord de mer. Il abrite un poste de secours, un commerce, des toilettes, des douches et des vestiaires et équipements pour le char à voile, le kitesurf et le kayak de mer. Les autres accès sont plus proches des sites naturels.
La ville d'Équihen et sa plage ont reçu l'écolabel Pavillon Bleu d'Europe en 2003, 2004, 2007 et 2010, gage d'une propreté et d'une qualité environnementale exemplaire.
Source : Wikipedia
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