CACHE DE NUIT EN FORET
Petit parcours de CACHE NOCTURNE en forêt sur le thème: HALLOWEEN. Pour garantir la meilleure expérience possible, veuillez attendre la tomber de la nuit.
N'oubliez pas votre lampe de poche et de bonnes chaussures
La cache n'est pas aux coordonnées même, mais de ce point, vous vous trouverez à moins de 20m de l'emplacement.
Regardez autour de vous à hauteur d'homme.
Si un réflecteur apparaît, la boîte est toute proche, chercher le deuxième réflecteur: la cache se trouve entre les deux.
Trouvez les deux réflecteurs au même endroit et bingo, vous y êtes.
Les réflecteurs sont blancs et ronds.
Noter les indices qui se trouves sur certains logbook pour avoir accès à la cache Bonus
L'expérience Russe sur le sommeil:
A la fin des années 1940, des scientifiques Russes décident de tester les effets du manque de sommeil, en poussant la chose à l’extrême. Ils scellent 5 personnes dans une salle avec des micros, des vitres sans tain et les exposent à un gaz stimulant pour les garder éveillés.
Rien ne se passe pendant 5 jours. Tout est assez calme. Les cobayes ont l’air épuisés, mais discutent de problèmes émotionnels. Leur fatigue efface toute barrière sociale. Ils parlent sans tabou. Puis les choses commencent à dégénérer…. Ils montrent des signes de paranoïa sévère et cessent toute communication convaincus de la traîtrise des uns et des autres. Mais les micros ont capté des murmures inaudibles
Au neuvième jour, l’un des hommes se met à hurler. Son cri résonne dans les micros. Il se met à courir dans la pièce et continue jusqu’à ce que sa voix ne puisse plus pousser que de petits cris rauques. Les autres ne semblent pas réagir. Et finalement, ils arrachent les pages d’un livre, défèquent dessus et « peignent » les vitres d’observation avec. Les scientifiques ne les voient plus. Les cris se sont arrêtés subitement.
Quelques jours plus tard, les scientifiques s’inquiètent car plus aucun son ne sort de la pièce mais les moniteurs d’oxygène indiquent que les sujets sont encore en vie et que la consommation d’oxygène correspond à un exercice physique très intense. Ne comprenant pas ce silence absolu, les chercheurs diffusent ce message dans la salle "Nous ouvrons la porte pour tester les microphones : éloignez-vous de la porte et allongez-vous sur le sol ou vous serez abattus. Obéissez, et l’un d’entre vous sera libre !" Nul ne répond tout d’abord. Puis, une voix finit par répondre. "Nous ne voulons plus être libres."
Une fois la porte ouverte, les scientifiques entrent et sont accueillis par un spectacle macabre. La nourriture des sujets n’a pas été touchée. Pourtant, les bouches des prisonniers sont couvertes de sang. Il leur manque des bouts de peau ici et là. Des morceaux sanglants de chair ont été arrachés, révélant leurs os par endroits.
Sans le gaz, les sujets entrent dans une folle frénésie. Ils attaquent les scientifiques, avec une force quasi-inhumaine, d’autant plus étonnante dans leur état. Ils vont jusqu’à arracher les testicules d’un garde qui meurt sous le choc. Cinq soldats perdent la vie sous cet accès de rage. L’organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d’entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire. Les trois survivants refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leurs blessures à vif. L’un meurt et les autres expriment leur contentement.
Les scientifiques intrigués veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. Un cobaye s’endort avant et meurt dans un sommeil agité. Le deuxième s’enrage et demande de retrouver au plus vite le gaz stimulant et se jette sur l’arme d’un garde et tue deux chercheurs avant d’être maîtrisé.
Le responsable des scientifiques, est furieux de la tournure des événements, pointe une arme vers le cobaye et hurle : "QU’ÊTES-VOUS ? Je dois savoir !" ;
Le sujet esquisse un horrible sourire et répond : "L’avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d’être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler". Le scientifique recule, vise le cœur et tire. Dans un dernier souffle, le cobaye murmure : "Si… près…d’être libre… "
