Il correspond au maximum de taille que l’on trouve communément dans nos futaies. Et c’est avec nostalgie que je me dit qu’au début du XXe siècle, ce maximum était supérieur, et qu’il est désormais de plus en plus rare de trouver des chênes forestiers à dépasser cette limite. Souhaitons lui encore une longue existence afin qu’il puisse atteindre les dimensions phénoménales de son illustre prédécesseur et ainsi pérenniser les légendes attachées à ce lieu. »
Ben ça alors, moi aussi j’avais le chêne des Partisans sur mes listes… Merci pour ce reportage Gilles, en plus des photos, tu nous fourni de précieux détails sur l’histoire de cet arbre légendaire. Et puis, quoi de mieux pour fêter le centième article de la catégorie “chênes” que de saluer la mémoire d’un patriarche forestier disparu, et de présenter un plus jeune en bonne santé qui a repris le flambeau… Longue vie au chêne !