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L'étang du TRASPY ( Thury-Harcourt) Traditional Geocache

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Hidden : 5/23/2015
Difficulty:
2.5 out of 5
Terrain:
2.5 out of 5

Size: Size:   small (small)

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Geocache Description:

L'étang du TRASPY ( Thury-Harcourt)


L'Orne traverse la commune de Thury-Harcourt et reçoit sur sa rive droite le ruisseau de Traspy avant d'aller dessiner un superbe méandre en oméga à la boucle du Hom.

Thury-Harcourt

Photo ci-dessus extraite de http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-32624.html

Thury-Harcourt Thury-Harcourt est une petite ville française, située dans le département du Calvados et la région de Basse-Normandie. Ses habitants sont appelés les Harcourtois et les Harcourtoises.

     Située dans la vallée de la rivière l’Orne, ses environs très vallonnés comme à Clécy, ou bien à la Roche d'Oëtre sont un contraste saisissant avec le plateau de Caen situé plus au nord. Cette Suisse normande, faite de collines, attire les visiteurs en raison des nombreuses activités sportives qui peuvent y être pratiquées.
     La commune s'étend sur 4,9 km⊃2; et compte 2 063 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 421 habitants par km⊃2;, Thury-Harcourt a connu une nette hausse de 12,9% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Curcy-sur-Orne, Croisilles, Esson et Saint-Martin-de-Sallen, Thury-Harcourt est située à 12 km au sud-est d'Aunay-sur-Odon et à 24 km au sud de Caen la plus grande ville aux alentours.
     Située à 65 mètres d'altitude, le fleuve l'Orne, le ruisseau du Val Québert et le ruisseau de Traspy sont les principaux cours d'eau qui traversent ou bordent la commune de Thury-Harcourt. http://www.annuaire-mairie.fr/mairie-thury-harcourt.html + Wikipédia

THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT

Toponymie

     Attesté sous les formes latinisées Torei vers 1000 et Turium vers 1150.  Ces formes anciennes sont semblables à celle des noms de type Tauriac, Thoiry, Thoré, Thorey, etc. toutes issues d'un anthroponyme gallo-roman Taurus ou Torus, suivi du suffixe -i-acum indiquant la propriété.  C'est ce nom de "Thury" que criaient les barons révoltés contre le pouvoir ducal à la bataille du Val-ès-Dunes et non point « Thor aïe » (Thor aide !) selon une explication légendaire tenace. Le nom de Harcourt a été ajouté référence à Henry d'Harcourt qui tirait justement son titre du village normand de Harcourt (aujourd'hui dans le département de l'Eure). Le nom ancien est Thury, mais le marquisat de Thury fut érigé en duché-pairie au bénéfice de Henry d’Harcourt, marquis de Thury sous le nom de « duché de Harcourt » en 1709, induisant une modification du nom.  Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune reprit le nom de Thury. Wikipédia

THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT

Thury-HarcourtLes armes de la commune de Thury-Harcourt se blasonnent ainsi :
De gueules aux deux fasces d'or

 

Histoire

      Ce ne fut qu’en 1700, que le marquisat d’Harcourt fut élevé au rang de duché-Pairie. Quand Henri d’Harcourt fut élevé au rang de duc par Louis XIV, cas d’ailleurs assez rare dans les annales de la France le nom d’Harcourt remplaça ou fut accolé à Thury.

     Sous l'ancien régime, la paroisse de Thury dépendait du diocèse de Bayeux, de l’archidiaconé d'Hyesmes et du doyenné de Cinglais.

     Au cours du 17e siècle, plusieurs familles s’établissent au Canada. Avec eux s’en va le curé de la paroisse, l’abbé Lesueur. Ils fondent la paroisse Saint-Sauveur de Québec. Parmi eux, Pierre Legardeur, général de la flotte de la Nouvelle-France, donne son nom aux villes de Legardeur et de Repentigny, province de Québec.

      « Le dernier duc d’Harcourt avant la Révolution, fut François Henri d’Harcourt (1726-1802), passionné de jardins, il entrepris de réaliser un vaste parc à l’anglaise, faisant pendant au parc à la française mettant en scène les façades. Ce parc à l’anglaise se déployait sur la rive gauche de l’Orne, c’est à dire de l’autre côté du fleuve. Ce parc à la mode de ce 18e siècle comportait sur de nombreux hectares, des arbres exotiques (comme des cèdres, rares à l’époque) , des fabriques, un temple d’amour, un kiosque chinois, une tour... François Henri écrivit même un “traité de la décoration des dehors, des jardins et des parcs” (en 1774), cette modeste contribution littéraire lui valu d’être élu à l’Académie Française au fauteuil 32 (dit plus tard “le fauteuil maudit”). La Révolution mit un terme aux expériences jardinières de François Henri qui mourût en Angleterre. Le château ne fit pas trop les frais de cette période agitée et on le retrouve très pimpant quelques dizaines d’années plus tard sur les premiers clichés des photographes ou sous le pinceau de Charles Léandre (visible au Musée de Condé-sur Noireau).

THURY-HARCOURT  THURY-HARCOURT

Ci-dessus à gauche : le château de Thury-Harcourt, photo extraite du site : http://www.musee-charles-leandre.fr/expositions-temporaires/charles-leandre-et-l-impressionnisme/

     Le bourg de Thury présentait alors l’aspect d’un bourg cossu, avec un certain nombre de petits hôtels particuliers, une halle sur la place du marché, un important relais de poste relayé dans les années 1870 par la gare de Croisilles-Harcourt. De cette période il ne reste aujourd’hui que des traces, les combats de la guerre ont eu raison de ce cadre, se ne sont pas ici les bombardements qui ont fait le plus de dégâts, mais les combats du 12 et 13 août 1944.» http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-32624.html

     En 1852, la commune fusionne avec Saint-Bénin, rive gauche de l'Orne.

La cité des tanneurs

     Thury ne fut pas qu’une cité endormie autour de son château. Durant le 19e siècle, Thury Harcourt a été marquée par l’importance des tanneries et toutes industries liées à l’eau. Sur l’Orne : 18 tanneries en 1835, 2 moulins à farine à 2 roues, 1 moulin à tan à 2 roue. Sur le Traspy : 1 moulin à blé à 2 roues.

     « Un moulin de Thury était d’ailleurs un moulin à tan. Le tan était de l’écorce de chêne broyée qui permettait d’assouplir les peaux. Ce matériau indispensable dans l’activité des tanneries restera en usage jusqu’à l’avènement des produits chimiques.

     Les traces de cette activité sont encore bien visibles, le quartier des tanneurs ayant été épargné par les combats et les destructions. Juste en dessous du château, la tannerie “Michaud-Tabourel” offre au regard un exemple en bon état de ces tanneries.

     Au rez de chaussée se trouve le lavoir qui permettait de  tremper les peaux, le premier étage est le saloir où elles étaient traitées et enfin le troisième niveau abritait le séchoir.

THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT

     Le bas de Thury au bord de l’Orne et le quartier Saint Benin sont une illustration de ce Thury d’avant, très actif qui offre des perspectives que l’on retrouve sur les cartes postales du début du siècle. » http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-32624.html

     Le 15 mai 1873, la gare de Croisilles-Harcourt est ouverte sur la ligne Caen-Cerisy-Belle-Étoile reliant Caen à Laval par Flers.

« La mémoire des guinguettes

     Thury comme de nombreux sites de Suisse-Normande a aussi connu sa période “guinguettes”, les Caennais et habitants des environs pouvaient aisément accéder par la voie de chemin de fer et les beautés naturelles du site s’offraient à tous.

     Le site qui fut dévolu à cette activité de loisir fut “la Roche à Bunel”, au bord de l’Orne dans la boucle du Hom. La boucle du Hom est un méandre presque complet qui dessine une presqu’ile en son centre (“Hom” est un vieux mot scandinave qui signifie “île”). Le touristes de la fin du 19e siècle ne venaient pas ici pour faire de l’étymologie mais du canotage, de la baignade, danser, et manger. La vocation touristique et pittoresque de Thury était née. » http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-32624.html

     La ville fut détruite à 75 % pendant la bataille de Normandie, en juillet 1944. Pris en tenaille par la 59e division anglaise Staffordshire, la division “das Reich” qui tenait le bourg quitta les lieux derrière un écran de fumée engendré par ce qui pouvait bruler dans Thury : le château et un certain nombre d’habitations.

     La Flèche, dans la Sarthe est la ville marraine de guerre 1939-1945 de Thury-Harcourt. La ville est aujourd’hui le chef lieu et le centre administratif du canton. Wikipédia + http://www.suisse-normande.com/nos-34-communes/thury-harcourt/ + http://www.patrimoine-normand.com/index-fiche-32624.html

« La capitale du kayak-polo

THURY-HARCOURT THURY-HARCOURT

Additional Hints (Decrypt)

y'neoer à cyhfvrhef gebapf, nh zvyvrh

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)