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Théodule Ribot Traditional Geocache

Hidden : 5/9/2015
Difficulty:
2.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:

Théodule Ribot peintre Français

Théodule Ribot was a French realist painter

 


Le peintre Théodule Ribot   ( né dans l'ancien presbytère de Saint-Nicolas-d'Attez​le 5 août 1823)

 

Peintre et aquafortiste "indépendant", Théodule RIBOT est un  peintre et un aquafortiste qui fit partie des "indépendants" à l'époque pré-impressioniste

 Il naquit, le 5 août 1823 à Saint-Nicolas-d'Attez, et grandit dans l'ancienne cure, à l'ombre de la vieille église, dont le chevet se trouve enclos  dans la propriété de son père, Michel-Nicolas Ribot qui était géomètre et percepteur.

Théodule RIBOT est surtout connu pour ses tableaux et gravures originaux de marmitons plumant des volailles, fourbissant les cuivres, surveillant les fourneaux, goûtant les sauces, portant des plats fumants, préparant les viandes fraîches, causant, riant, buvant, mangeant.

Quasi autodidacte, Ribot ne fut que brièvement élève dans l'atelier de Glaize.

Sa peinture et son style s’inspirèrent beaucoup de la peinture espagnole qu’il découvrit dans les collections exposées au Louvre après avoir été achetées par les princes d'Orléans.

Très  influencé par ces 4 ou 500 tableaux qui venus d'Espagne comptaient  39 Murillo, 19 Velázquez, 26 Ribera et 81 Zurbaran, il sera souvent comparé à Ribera dont les trois premières lettres du nom, par une singulière coïncidence, sont celles de Ribot

Pendant ses premières années, Ribot orphelin de père et marié a besoin de travailler. Il accepte tout : un miroitier l'emploie à peindre des oiseaux de bronze sur des encadrements; un entrepreneur l'engage pour surveiller des travaux en Algérie . Une  commande pour l'Amérique lui fait réaliser  des copies, puis des pastiches de Watteau : Ribot  commence donc  par peindre des Pierrots. Mais avec des modèles pris autour de lui, dans sa maison et ses proches; il prit plaisir à représenter sa femme, ses enfants dans les occupations journalières du logis

 

Ribot eut des débuts difficiles avec ses premières œuvres personnelles, représentant également des scènes familières. Il accrocha ses premières toiles dans l'atelier de François Bonvin avec celles de trois ou quatre autres inconnus qui se nommaient Wisthler, Fantin‑Latour, Legros…

 

 

Ayant figuré parmi "les Refusés" de 1859, ils furent fondateurs du Salon du Champs de Mars regroupés dans une commune admiration pour Courbet, et une volonté d'indépendance et de réalisme.

 

Ce n'est qu'au Salon de 1861 que les envois de Ribot furent admis pour la première fois avec six toiles dont quatre d'entre elles montraient les premiers de ses "marmitons" blancs qui surprirent très favorablement la critique et devinrent connues.

Théophile Gautier écrivit à leur sujet : "M. Ribot a trouvé le côté pittoresque de la veste et de la casquette blanches; il a saisi les aspects variés d'une intéressante et modeste institution, et traité des divers épisodes de la vie cuisinière avec une verve et une touche originales qui réjouiraient Vélasquez"

En peinture Ribot réalisa un grand nombre de scènes de genre, de cuisine, de natures mortes, où, dans une grande richesse de pâte, il sut jouer des contrastes d'ombre et de lumière. Paul de Saint‑Victor disait, un jour : « Traitée ainsi, l'ombre c'est une magie ». l'artiste passe à des tonalités précieusement grises, en sorte que, cessant de faire penser aux maîtres sombres, il fait penser aux maîtres gris, à Velazquez, d'une part, et, de l'autre, à Chardin

L'on doit à Th. Ribot des natures mortes, quelques paysages et une peinture de nus moins connue, qui comporte des morceaux d'une intensité de relief et de vie surprenante.  Son Saint Sébastien, datant de 1865, fut considéré par la critique comme le tableau le mieux peint du Salon. Il fut médaillé et acquis par l'État  pour le Musée du Luxembourg .

Dans les années 2000 il était exposé dans les collections permanentes du musée d'Orsay.

Ribot réalisa alors une suite de tableaux de tradition religieuse, Le Supplice des coins, du Musée de Rouen, le Bon Samaritain du Musée du Luxembourg et celui du Musée de Pau, le Martyre de saint Vincent, du Musée de Lille, ainsi que le Christ au milieu des docteurs, de 1866, également acquis à l'époque par le Musée du Luxembourg.

 

Sa savante utilisation des " noirs " se retrouve dans ses dessins et dans les eaux-fortes qu'il produisit. Son oeuvre gravée est de première importance avec ses cuisiniers blancs et un nombre de scènes de mœurs populaires, des scènes de fantaisie, des intérieurs familiers. Recourant aux procédés les plus divers, Ribot employait indifféremment la plume, le crayon ou lavis à l'encre de Chine et des eaux-fortes …..

Il fut également un grand portraitiste, qui aimait de prédilection les types populaires, les physionomies accusées et primitives, les rides des vieillards, les traits nerveux des jeunes gens.

Même si ses œuvres figurent dans de très nombreux musées en France et en Europe, il fut encore plus apprécié aux Etats-Unis (où il existe une association des amis de Ribot).

En France, son  indépendance l'a isolé des courants et des "mouvements" de son époque ; les historiens avides de classification à tout prix, l'ont tout simplement négligé.

 Ribot travailla dans son atelier d'Argenteuil, mais pendant la guerre de 1870-71, celui-ci fut saccagé par les Hulans et il s’y perdit une partie des ses œuvres qui furent lacérées et souillées

C'est de son atelier de Colombes, situé dans une mansarde au-dessus de celui de sa fille, que sortirent pendant les dernières années de sa vie, ses plus puissantes oeuvres

C'est dans la catégorie des artistes ni académiques ni révolutionnaires mais indépendants qu'il faut placer Théodule Ribot et les contemporains sont en train de lui redonner la place qu'il doit occuper dans l'histoire de la peinture française. Il se voit rangé dans la lignée des Baugin et des Le Nain, des Georges de La Tour et des Chardin.

De son vivant déjà, Théodule Ribot fut honoré comme un très grand maître «indépendant». Ses œuvres furent exposées régulièrement aux Salons annuels. Elles firent l’objet de trois expositions particulières (galerie de l'Art, en 1880, Bernheim jeune, en 1887 et 1890 )

 

 

Théodule-Augustin Ribot (August 8, 1823 – September 11, 1891) was a French realist painter and printmaker.

 

He was born in Saint-Nicolas-d'Attez, and studied at the École des Arts et Métiers de Châlons before moving to Paris in 1845. There he found work decorating gilded frames for a mirror manufacturer; he also studied in the studio of Auguste-Barthélémy Glaize. After a trip to Algeria around 1848, he returned in 1851 to Paris, where he continued to make his living as an artisan. In the late 1850s, working at night by lamplight, he began to paint seriously, depicting everyday subjects in a realistic style.

 

He made his Salon debut in 1861 with four paintings of kitchen subjects.[1] Collectors purchased the works, and his paintings in the Salons of 1864 and 1865 were awarded medals.[1]

 

Ribot painted domestic genre works, still-lifes, portraits, as well as religious scenes, such as his Salon success St. Sebastian, Martyr (1865).[2] His preference was for painting directly from nature, emphasizing the contrasts of light and dark. His use of chiaroscuro to suggest psychological states grew from his admiration for Spanish and Dutch baroque masters such as Ribera and Rembrandt,[1] an enthusiasm shared by his contemporaries Courbet and Bonvin. Members of Ribot's family are the likely models for many of his figure compositions, in which the subjects engage in humble activities, such as preparing meals or gathering in groups to read to each other. The light draws attention to faces and hands, which emerge sharply from dimly lit surroundings.

 

Although the realism of Ribot's work aligns him with the most progressive artists of the generation preceding the Impressionists, he was no revolutionary, and his work met with a generally favorable response from the public and from critics.

 

In 1878 Ribot received the Légion d'honneur.[1] At about this time, in ill health, he stopped painting and moved to Colombes, where he died in 1891.

Additional Hints (Decrypt)

70 pz qh fby rager yn cyndhr rg yr cbegnvy / 70 pz bs gur tebhaq ragre gur cyngr naq gur cbegny

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)