Vous allez suivre les aventures de Monsieur Caca depuis son départ de chez vous
Une fois que vous avez tiré la chasse, on le retrouve dans les tuyaux.
Il est ensuite collecté et melangé avec les eaux souillées du quartier, jusqu'a un poste de relevement. 
Une personne produit entre 250 g et B kg de déchets solides par jour6, les conséquences d'une mauvaise gestion sont vite catastrophiques pour une ville d'une certaine importance.
On le retrouve un peu plus tard avec des choses qui ne devraient pas forcement etre la. 
Voila pourquoi il ne faut pas jeter les lingettes dans les toilettes, mais dans la poubelle!
D'apres le site : https://www.strasbourg.eu/environnement-qualite-de-vie/eau-assainissement/eaux-usees/comment-fonctionne-une-station-d-epuration : A Strasbourg, il y a XXAA de conduites de collecte des eaux usées
Lorsqu'il arrive à la station d'épuration, Monsieur Caca est complètement desintegré, et presque dissout dans l'eau. On sépare ensuite les gros morceaux, le sable, les graisses. 
L'eau chargée arrive ensuite dans un bassin d'aération ou des bactéries vont dégrader les impuretés. On injecte de l'air regulierèment pour qu'elles se multiplient et tranforment la pollution en boue. 
En injectant des reactifs, on arrive à faire decanter l'eau et les boues. On recupere l'eau au dessus..
...Et les boues au dessous.
Les boues sont ensuite epandues ou sechées.
"En Europe et plus généralement dans les pays du Nord, le traitement d'un mètre cube d'eau usée produit" de XXD à XDD grammes de boues.
Le lieu de la cache virtuelle est une usine de sechage des boues de stations. Les granulés sont ensuites brulés pour la chaufferie de la Papetrie de Golbey en face.
L'eau propre est ensuite controlée et rendue au milieu naturel.
Selon l'agence de l'eau Rhin-Meuse .Quel est le nombre de resultats d'analyses disponibles, en entrée de la station d'epuration de golbey en 2013? =XCX
La station d'epuration d'Epinal est capable de traiter les effluents de l'equivalent d'une ville de 80000 Habitants,
soit plus de 20000M3 / jour.
